Le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a reçu ce vendredi 23 décembre 2016 le secrétaire général de l’UGTT, Houcine Abassi au palais de Carthage, selon un communiqué rendu public par la présidence de la République.
En marge de cette entrevue, le secrétaire général de l’UGTT a indiqué lors d’une allocution à la presse que la réunion a eu pour ordre du jour la situation générale du pays et plus précisément les dossiers économiques et sociaux mettant, par ailleurs, en exergue sa confiance en un avenir meilleur.
Le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a reçu ce vendredi 23 décembre 2016 le secrétaire général de l’UGTT, Houcine Abassi au palais de Carthage, selon un communiqué rendu public par la présidence de la République.
En marge de cette entrevue, le secrétaire général de l’UGTT a indiqué lors d’une allocution à la presse que la réunion a eu pour ordre du jour la situation générale du pays et plus précisément les dossiers économiques et sociaux mettant, par ailleurs, en exergue sa confiance en un avenir meilleur.
Plus BCE multiplie les rencontres avec Abassi , plus les mouvements syndicalistes handicapants s'intensifient . Ces mouvements virent des réclamations matérielles à celles politiques , qui vont jusqu'aux départs des ministres . Est-ce l'objet de l'accord entre les deux "amoureux" .
La femme "coupable" a été condamnée à quatre ans de prison ferme parce que ceux qui l'ont jugée prétendent qu'elle a touché intentionnellement au prestige de l'état alors qu'elle ne l'a pas faite intentionnellement. On a fait à la femme "coupable" un procès d'intention en lui prêtant des intentions qui sont invérifiables.
C'est un fait que la femme "coupable" a frappé un fonctionnaire, un fait que personne ne peut nier (sans entrer dans les détails des causalités), mais par contre la femme "coupable" n'avait pas l'intention consciente (elle n'était pas en parfaite connaissance) de toucher par son acte au prestige de l'Etat.
La femme "coupable" est en fait victime d'un système juridique superficiel et qui se limite à appliquer abstraitement la loi sans aucune analyse intelligente.
Le procès a un caractère invalide, le procès est une construction d'intentions qui ne sont pas prouvées, le procès se base sur des prémisses insuffisantes. J'insiste qu'il ne peut y avoir de délit sans intention de le commettre. Et cette intention qui seule peut former la moralité du fait doit être vérifiée et constatée comme le fait même qui forme l'objet de l'accusation.
Je suis triste pour notre système juridique, on laisse en liberté ceux qui ont l'intention de nuire à L'Etat et à son prestige (même parmi nos politiciens et nos partis politiques) et on condamne sévèrement une femme de très faible intelligence pour des intentions qu'elle n'a jamais eues!
"4 ans de prison pour la femme ayant agressé le délégué de Sidi Hassine El Sijoumi" mettent la condamnée en face de sa condamnation/punition mais ne la mettent pas en face de sa faute/délit. Ce que je propose est d'engager plutôt un dialogue entre la victime et l'infracteur en présence de représentants du système juridique afin de permettre aux concernés de s'entendre sur un plan de réparation et de laisser au juge le dernier mot afin de valider l'accord convenu entre les deux.
4 ans de prison, c'est vraiment exagéré pour les raisons que j'ai données ci-dessus. En plus, si l'on veut changer/améliorer la personne de l'infracteur il faut travailler avec lui et non contre lui.
Puis, il faut penser à ses enfants, pendant quatre ans sans leur maman à cause d'une querelle et un moment de folie!
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de ma très haute considération.
Le terroriste Amri arrêté et tué au Milan www.mediapart.fr/journal/international/231216/le-suspect-de-lattentat-de-berlin-abattu-pres-de-milan, encore un blessé, voilà où nous a mené cette politique de compromis et de laisser-aller des autorités occupés par les islamistes.
