Lors de la séance plénière consacrée à l’adoption du budget du ministère de l’Education, vendredi 2 novembre 2016, le ministre Néji Jalloul a répondu aux accusations proférées par les députés Samia Abbou Et Salem Labiadh.
En effet, accusé de corruption par Salem Labiadh concernant une affaire de vol de bons d’essence, M. Jelloul a affirmé que cette affaire date de l’année 2012-2013, et que c’est lui-même qui a transmis ce dossier à l’instance de contrôle du gouvernement conformément au principe de la continuité de l’Etat.
Revenant sur les accusations lancées par Samia Abbou et selon lesquelles le ministre de l’Education aurait désigné son frère à la tête de la commission de l’école numérique, il a répondu que son frère travaille au sein du ministère bien avant qu’il ne soit ministre, ajoutant que plusieurs membres de sa famille y travaillent, également, « Si les virer peut vous satisfaire, je le ferai ! », a-t-il déclaré sur un ton ironique.
On notera qu’à l’issue de la plénière le budget du département de l’Education nationale a été adopté avec 122 voix pour, 9 abstentions et 19 voix contre.
S.H
Commentaires (22)
CommenterJalloul.. ça me fait mal
"Zid 3ayééééééééééét!!!"
L'idéal est que ce Ministre respecté aurait du la laisser crier, jusqu'à vider son mézouéd", et continuer son travail comme il le sait bien faire.
Malheureusement, il est obligé de lui répondre; mais "youkass...él héndi bélanzass"!
DÉPARTEMENT HISTORIQUE
S'il ne donne pas d'importance aux gréves parce que il est courant de la situation financière
Ce n'est pas pour rien que Néji Jalloul reconnaît avoir l'obligation, de s'appuyer sur ses amis les "Azlèms" du RCD.
Pédagogiquement il est plus que nul. Ses décisions sont prises à la hâte. Son travail est plus médiatique que réel. Son intérêt accru pour la dénomination des écoles primaires aux noms de morts, là où nos petits enfants ne comprennent rien du tout de la réalité, n'illustre que l'avidité de Néji Jalloul de se faire applaudir même par les enfants des écoles primaires. Un esprit enfantin plutôt théâtral qu'efficace. Ses délibérations sont restreintes. Ses prises de position sont dictatoriales. Son travail se limite à des décisions vacuum par le bout du stylo. Rien de concret pédagogiquement étudié conforme à des procédés et à des méthodes rigoureusement précisés par la science pédagogique. Tout se base sur son propre avis limité à la nostalgie de son propre passé tambouriné par ses amis RCDistes, dont son frère et son entourage évoqués par Samia Abbou.
Examen de la sixième année aboli à jamais. Non l'examen de la sixième année est de retour par une coche du stylo rouge de Néji Jalloul. Il ne lui manque encore que de restituer le "Certificat de fin d'études primaires" (Ch'hèdè), pour se rappeler des youyous de sa famille et de la fête que lui tinrent ses parents en cette journée "bidon", pour un certificat plus que bidon, comme son examen de la sixième et de la neuvième année, qui n'ont aucune valeur réelle ni sur le marché de l'emploi, ni même sur le niveau scolaire de l'élève, vu que même le niveau des bacheliers ne leur aide presque plus à rien.
Au lieu de changer tout le système pédagogique de l'éducation nationale suivant les méthodes des pays avancés, à commencer par l'orientation de l'élève depuis la première année et au plus tard à la quatrième année primaire, vers plusieurs filières, afin qu'on ne lui fasse pas perdre plusieurs années de sa vie à faire le va-et-vient pour rien, vers un lieu (école) où tout le monde l'appelle:"ya B'him", alors qu'il se peut qu'il soit doué dans la mécanique, la menuiserie ou dans n'importe quel autre métier de ce monde, qu'il aime lui-même. Non, Néji Jalloul comme ses prédécesseurs, les laisse grandir à l'école primaire jusqu'à ce que leurs moustaches poussent, puis leur faire perdre encore tant d'autres années au secondaire, pour les libérer à l'âge de 20 ans et plus, avec un cerveau vide, un niveau nul et un âge avancé pour l'apprentissage d'un métier qui pourrait leur sauver l'avenir.
Néji Jalloul fait preuve de la nullité de ses pairs politiciens, qui ne travaillent que pour qu'on parle d'eux, dans l'idée de laisser leurs traces et leurs empreintes. Une maladie incompréhensible, surtout lorsqu'ils voient d'eux-mêmes où se trouvent à présent leurs prédécesseurs et combien le défunt Mohamed Charfi ramasse de damnations (killèt errahma), même des décennies après son départ.
Ces nullards n'ont pas appris à travailler pour la patrie. Ils n'ont appris qu'à penser à leur propre profit personnel, oubliant le dicton arabe : «law damèt lighaïrikè, lamè èlèt ilayk» (s'il y avait perduration de tes prédécesseurs, tu n'aurais jamais accédé à ce poste de malheur).
Il y'a un remède à l'hystérie...
Elle a un besoin urgent de se faire psychanalyser
IL FAUT DEUX SYSTEME EDUCATIF BAC TUNISIEN ET BAC POUR LES ARABES
pourquoi les embassades payent les prix en cahrge ?
.les fautes de Bourguiba qui a arabiser l'EDUCATION