Les pays et les hommes (dont Bourguiba) qui tiennent tes propos, à savoir qu'il faut toujours aller de l'avant et ne jamais regarder derrière sont des pays avec des peuples qui ne trahissent pas.
Les peuples qui trahissent sont destructifs, et avant d'aller de l'avant il y a des règles à observer, sinon c'est trop facile de re-détruire:
La première consiste à leur montrer leur trahison (étape pédagogique) afin qu'ils ne la répètent pas une fois le pays remis sur orbite par ses vrais hommes.
La deuxième règle, et si la première n'a pas suffit à certains d'entre-eux, consiste à combattre les nuisibles qui s'acharnent sur le pays, donc en particulier sur le pain des pauvres.Les montrer au peuple en lui expliquant est la meilleure manière de combattre ces rats.
Le temps et l'histoire, avec les écrits des pédagogues de la géostratégie comme ton serviteur, JW, Salahtataouine, G&G a déjà donné satisfaction. Aujourd'hui le peuple commence à comprendre et commence à regretter.
Peut-être que l'on pourra aller de l'avant une fois toute la racaille merdolutionnaire montrée du doigt et écartée par le peuple trompé.
Tu sais très bien comment le pays a été détruit et tu reconnais même la mauvaise appréciation (pour ne aps dire la trahison) de certains. L'élément essentiel fut la prétention de certains diplômés conjuguée à la bêtise, au régionalisme et à l'absence de savoir-faire en politique.
Ya si Tetem, à chacun ses billes et les perroquets diplômés, au diplômes aussi imposants que stériles ne feront pas le millième de ce que pouvait faire un meneur d(hommes qui connait le terrain comme Ben Ali.
Voilà que vous avez tout essayé, et même monté un parti dans un salon privé, mis votre argent dans le but de rectifier votre erreur essentielle due à la haine.
Béji, votre coopté, n'était même pas présent à cette réunion de famille. Disons que c'était une tentative de récupération du Hizb qui n'a leurré personne. Tentative largement échouée. Le Hizb n'est ni une histoire de salons de thés, ni une histoire de fric d'industriels en quête de pouvoir. Ces ingrats qui ont le plus profité du système avant de le poignarder dans le dos. Le Hizb est une histoire qui sort des tripes, allant du Café de la Sorbonne avec des étudiants cultivés (et pas seulement instruits) n'ayant pas le sou, aux rues de la Tunisie profonde du nord-ouest, jusqu'à Ghomrassen, Ouled Haffouz, Om La3rayes et les fins fonds du sud en passant par Ksar Hellal et les banlieues éloignées de Sfax.
Ton Nida tu peux le garder pour les nouveaux Beyet de la Tunisie qui ont déjà installé la colonisation. Rien que par la haine de certains et leur prétention démesurée.
VIVE BOURGUIBA, VIVE BEN ALI, À BAS LES TRAITRES!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
NOUS écrirons l'Histoire!
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.