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En arrêt de production, la CPG décide de…recruter !

La Compagnie Phosphates Gafsa est le centre d’une crise de production à cause des mouvements sociaux. Depuis quelques jours, plus aucune activité d’extraction ni de production n’est enregistrée même si l’unité de production de Mdhila a péniblement repris ses activités au matin du 3 septembre 2016.
Ses difficultés chroniques depuis la révolution et le fait que l’Etat réfléchit à la possibilité de fermer la CPG et le Groupe Chimique n’empêchent pas ses entreprises de lancer un concours de recrutement ! L’offre sera publiée le 20 septembre et concerne le recrutement de près de 2800 agents et cadres. Une décision pour le moins étrange si l’on exclut la possibilité de lancer ce recrutement pour « calmer » la région…
M.A
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Commentaires (24)
Commenter@G&G | 04-09-2016 11:18
| 05-09-2016 10:46
Qui t'a fait croire que Bourguiba serait mort ? Et Ben Ali, vivant ??? Est-ce qu'un Bourguiba peut jamais mourir ? Réveille-toi : dans quel monde vis-tu donc ? Des gogos de ton espèce, on peut leur faire croire n'importe quoi : Rcdiste, CON, et fier de l'être!!
pouvoir
| 05-09-2016 09:13
j'ai la conviction aujourd'hui que l'ugtt cherche par tous les moyens a semer la pagaille dans le pays pour prendre le pouvoir en compagnie de la jabha .
Le paradoxe tunisien
| 04-09-2016 22:40
Cela me rappelle l'état avec les caisses vides et l'UGTT demande des augmentations tout azimut dans tous les secteurs. Cela m'amène à cette réflexion : moins il y en a dans les caisses, plus on dépense.
solution
| 04-09-2016 14:58
elle est drolle comme solution c est la fallite de la tunisie la seule solution qui s impose c est d appliquer le proverbe pour les grands maux les grads remedes
A oublier !
| 04-09-2016 13:07
Que l'on oublie ces mines de phosphate et qu'on n'en parle plus !!!
Sur ces cinq dernières années, combien nous a coûté ce phosphate ?
Faites le bilan:
* Production: zéro ou presque.
* Salaires: pour au moins 20000 personnes, dont certains vivent à l'étranger.
* Quel est le montant du déficit ?
Sur ces cinq dernières années, combien nous a coûté ce phosphate ?
Faites le bilan:
* Production: zéro ou presque.
* Salaires: pour au moins 20000 personnes, dont certains vivent à l'étranger.
* Quel est le montant du déficit ?
Drôle de gestion
| 04-09-2016 12:12
Avec le scandale du transport du phosphate par camion au détriment du train, les sureffectifs grotesques et des recrutements intnpestifs, on se demande comment cette entreprise nationale est gérée. A noter que tout recrutement est supposé avoir eu l'agrément préalable de la tutelle et de la primature.
Surréaliste !
| 04-09-2016 11:42
On nage en plein surréalisme !
Serait-ce à l'impulsion du Cheikh
| 04-09-2016 11:27
et pour répondre favorablement et au quart de tour à ses appels enflammés concernant Gafsa ? Car tout est désormais bon pour avoir la bénédiction de Sidna Echikh !
Et on le sait, Sidna Echikh n'a que faire des équilibres budgétaires ou des finances de l'État ou de la pérennité des entreprises (ex)fleurons de notre économie !
Et on le sait, Sidna Echikh n'a que faire des équilibres budgétaires ou des finances de l'État ou de la pérennité des entreprises (ex)fleurons de notre économie !
@Elsa qui patauge
| 04-09-2016 11:18
Bourguiba est mort mais Ben Ali est encore vivant qui je souhaite un joyeux anniversaire.
G&G
rcdiste et fier
G&G
rcdiste et fier
Summum de la Gabegie :
| 04-09-2016 08:55
Ceci confirme que le 1er souci du jeune gouvernant est de préserver son poste à tout prix, et que l'intérêt suprême de la Nation n'est pas placé au centre de ses préoccupations.
Ceci confirme également que lorsqu'on associe le Syndicat au pouvoir exécutif, on ne peut prendre que des mesures criminelles à l'égard de l'économie nationale.
Un jeune PM qui valse entre la suppression d'emplois dans les établissements publics (administration & entreprises), d'une part, et la création d'emplois dans une entreprise plombée par une pléthore d'effectif, d'autre part, risquerait de perdre toute sa crédibilité s'il ne venait pas à se ressaisir et à s'entourer de conseillers de haut niveau.
Ceci confirme également que lorsqu'on associe le Syndicat au pouvoir exécutif, on ne peut prendre que des mesures criminelles à l'égard de l'économie nationale.
Un jeune PM qui valse entre la suppression d'emplois dans les établissements publics (administration & entreprises), d'une part, et la création d'emplois dans une entreprise plombée par une pléthore d'effectif, d'autre part, risquerait de perdre toute sa crédibilité s'il ne venait pas à se ressaisir et à s'entourer de conseillers de haut niveau.