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L'économie, la sécurité et le gouvernement d'union nationale au cœur d'une rencontre Caïd Essebsi-Essid
20/06/2016 | 11:46
1 min
L'économie, la sécurité et le gouvernement d'union nationale au cœur d'une rencontre Caïd Essebsi-Essid

 

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu, ce lundi 20 juin 2016 au palais de Carthage, le chef du gouvernement Habib Essid.

 

A l’issue de cette rencontre, M. Essid a indiqué, que cette entrevue hebdomadaire a été axée principalement sur la situation économique et sécuritaire. Il précisé, dans ce cadre, qu’un conseil ministériel retreint sera consacré, mercredi prochain, aux mesures urgentes capables d’activer l'économie et de pousser ses différents secteurs ainsi qu’à l’étude des progrès réalisés dans la préparation du budget de l'Etat pour l'année 2017.

M. Essid a également indiqué qu’il a présenté au président Caïd Essebsi un rapport sur la situation sécuritaire générale. Le chef de l’Etat a salué l'amélioration notable dans ce domaine, en soulignant la nécessité de maintenir la vigilance et de prendre des mesures supplémentaires en prenant en compte les risques existants.

 

Cette rencontre a également permis de discuter des avancées enregistrées dans les concertations sur l'initiative autour d’un gouvernement d'union nationale et sur la nécessité d'accélérer sa mise en œuvre.

 

I.N

20/06/2016 | 11:46
1 min
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Commentaires (8)

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dadilesage
| 21-06-2016 00:11
Vous comprenez maintenant pourquoi le Ayatollah est preque un résident de Carthage.
Avec El Jabha,Afek et UPL Nidaa Tounis aurait pu former son gouvernement dès le premier toujours avoir une majorité au Parlement. Beji Caid Essebsi a trahi la confiance de ses électeurs en faisant ce qu'il a fait. Mais il ne veut pas admettre qu'il nous vendu a l'Ayatollah sans nous demander notre opinion.

dadilesage
| 20-06-2016 23:48
C'est du théatre de mauvais gout. Le problème de la Tunisie c'est que deux vieux personnages se sont fait un arrangement hors des institutions depuis leur rencontre à Paris. C'était un quid pro quo,Les Islamistes laissent tomber la loi de l'exclusion et Essebsi les laisse gouverner librement le pays avec un droit de véto sur toutes les nominations dans l'appareil de l'état sans toucher aussi aux Islamistes déja placés dans les coins sensibles,y compris ce procureur Khwanji à Tozeur qui a le droit de croire qu'il puourrait tout faire.Bhiri a d'a bien manipulé tout le systeme judiciaire pour les 50 ans à venir et Bajbouj a réalisé son reve de devenir premier President élu de la fameuse 2 eme bull shit. C'est de cet accord hors des institution que Habib Essid etait nommé,c'est le candidat d'ennahdha nommé par le Bajbouj,quinl'a fait passer comme le candidat de Nidaa Tounis.Donc en vérité celui qui était à l'oriine de tout ce malheur c'est le Bajbouj.
Maintenant qu'il s'est trouvé coincé par les sabotages des Islamistes partout,terrorisme ,phospahates tourisme,étranglement des budgets. Les Nahdhaouis ne veulent pas de succes qui sera toujours comparé à l''chec d'ennahdha.Les Nahdhaouis prient et esperent l'échec pour qu'on ne parle plus de la Troika.
La preuve que le bajbouj etait en cahoots avec la Ayatollah,c'est que toute sa compagne electorale etait contre les Ayatollah,seulemt apres les elections il fait alliance avec eux.Il aurait pu choisir autrement,mais il etait deja compromis par ses accords de Paris.Le sort etait deja jeté.Et la pays entre dans une crise profonde.Donc le bajbouj a fait son Hissba (calcul),mais il a eu un ....,en Tunisien,ça rime avec Hissba pour finir le proverbe.
Et comme a dit Al Moutanabbi,si tu vois les Grands frapper le Tambour,n en voulez pas aux petits de vouloir danser.
C'est dire que notre bizarre systeme politique qui n'existe nulle part ailleurs sur cette planète n'est autre que le Systeme des Deux Vieux.

Najib
| 20-06-2016 18:13
la situation difficile dans laquelle se trouve la Tunisie , est-elle principalement due à un mauvais gouvernement ? A mon sens , pas du tout . L'initiative de BCE n'est qu'un échappatoire classique pour camoufler les vrais raisons de la crise , parmi lesquelles sa façon de gérer les problèmes du pays . Un gouvernement d'union nationale n'améliorera en rien la situation , car les mêmes causes produisent les mêmes effets . Il y aura , même , plus de dysfonctionnement , vue l'équipe qui deviendra plus hétérogène .
Les vrais handicaps du pays sont l'ARP , la présidence et la société civile .
L'ARP , pouvoir de base est constitué d'amalgame d'individus ayant peu de valeurs en commun , loin d'être l'élite intellectuelle , morale ou patriotique du peuple tunisien .
La présidence a besoin d'une personnalité charismatique , dynamique et prévoyante .
Quant à la société civile , l'exécutif et le législatif lui ont concédé ,par populisme et par faiblesse , trop de pouvoir , au point qu'elle est devenue maîtresse de la situation , s'ingérant dans les divers affaires de l'Etat , profitant de la rengaine "dialogue social", sans lequel rien ne se décide .
En fin de compte , on ne sait plus qui commande , qui décide et à qui incombe la responsabilité .

Pressing
| 20-06-2016 16:10
à côté de la plaque comme d'habitude !

Najib
| 20-06-2016 15:07
Nos deux chefs de l'exécutif , n'ont-ils pas soulevé la galère dans laquelle se trouvent actuellement les tunisiens , surtout les plus démunis ? Privés de services postaux durant six jours , ça fait pitié quand même !
S'ils ne l'ont pas fait , ça prouve qu'ils se soucient peu de leur peuple , ou bien, ils ont légué son sort à la société civile et en particulier à l'UGTT et à ses syndicats .

CONQUERANT
| 20-06-2016 15:04
Vous avez posé le bon et vrai diagnostic.

Je ne cesse, en effet, de le répéter depuis fort longtemps.
Seules des élections législatives anticipées, dégageant une majorité de gouvernement, pourront aider le pays à sortir de l'ornière dans laquelle des politiques à courte vue l' y ont VOLONTAIREMENT précipité.
La politique de Gribouille (ACHANKA M3A AJMA3A KHAL3A) qui consiste à associer tout le monde pour ne rien faire de constructif au final fera perdre un temps précieux à ce pays en dérive.
La gestion collective des affaires de l'État aboutit souvent à une dilution des responsabilités et à des résultats calamiteux.
Il est grand temps que l'on se rende compte de cette évidence première.

The Mirror
| 20-06-2016 13:12
L'unique parti qui a participé à tous les Gouvernements depuis les élections de 2011, c'est Ennahdha. Or, force est de constater que depuis 2011, la Tunisie s'enfonce de plus en plus dans la misère politique, dans la misère économique, dans la misère sociale et dans la misère culturelle. On peut confier le pays à tout ce qu'on veut comme nouveau Gouvernement, cela n'aboutira à rien tant que Ennahdha en fait partie. D'un autre côté, on ne peut pas exclure Ennahdha du futur Gouvernement puisqu'elle est pratiquement majoritaire au Parlement. Du coup, la dissolution du Parlement devient un impératif pour sortir le pays du chaos. Il est donc nécessaire de dissoudre le Parlement et de procéder à des élections anticipées. La nouvelle majorité qui en découlera, qu'elle soit Ennadha, Nida ou tout autre parti, assumera sa victoire et formera à elle seule le nouveau Gouvernement. Il faut donc arrêter avec les Gouvernements de Consensus, où tout le monde se cache derrière tout le monde, et profite du Pouvoir sans assumer le Pouvoir.

Bourguibiste nationaliste
| 20-06-2016 11:50
Cela devient ridicule, il faut donc arrêter avec ces rencontres qui ne riment à rien. Il faut passer à autre chose.