Avec El Jabha,Afek et UPL Nidaa Tounis aurait pu former son gouvernement dès le premier toujours avoir une majorité au Parlement. Beji Caid Essebsi a trahi la confiance de ses électeurs en faisant ce qu'il a fait. Mais il ne veut pas admettre qu'il nous vendu a l'Ayatollah sans nous demander notre opinion.

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu, ce lundi 20 juin 2016 au palais de Carthage, le chef du gouvernement Habib Essid.
A l’issue de cette rencontre, M. Essid a indiqué, que cette entrevue hebdomadaire a été axée principalement sur la situation économique et sécuritaire. Il précisé, dans ce cadre, qu’un conseil ministériel retreint sera consacré, mercredi prochain, aux mesures urgentes capables d’activer l'économie et de pousser ses différents secteurs ainsi qu’à l’étude des progrès réalisés dans la préparation du budget de l'Etat pour l'année 2017.
M. Essid a également indiqué qu’il a présenté au président Caïd Essebsi un rapport sur la situation sécuritaire générale. Le chef de l’Etat a salué l'amélioration notable dans ce domaine, en soulignant la nécessité de maintenir la vigilance et de prendre des mesures supplémentaires en prenant en compte les risques existants.
Cette rencontre a également permis de discuter des avancées enregistrées dans les concertations sur l'initiative autour d’un gouvernement d'union nationale et sur la nécessité d'accélérer sa mise en œuvre.
I.N
Commentaires (8)
CommenterCinéma rien que du ...cinéma.
Avec El Jabha,Afek et UPL Nidaa Tounis aurait pu former son gouvernement dès le premier toujours avoir une majorité au Parlement. Beji Caid Essebsi a trahi la confiance de ses électeurs en faisant ce qu'il a fait. Mais il ne veut pas admettre qu'il nous vendu a l'Ayatollah sans nous demander notre opinion.
Analyse: Ce qui est faux ne donnera pas de fruits.
Maintenant qu'il s'est trouvé coincé par les sabotages des Islamistes partout,terrorisme ,phospahates tourisme,étranglement des budgets. Les Nahdhaouis ne veulent pas de succes qui sera toujours comparé à l''chec d'ennahdha.Les Nahdhaouis prient et esperent l'échec pour qu'on ne parle plus de la Troika.
La preuve que le bajbouj etait en cahoots avec la Ayatollah,c'est que toute sa compagne electorale etait contre les Ayatollah,seulemt apres les elections il fait alliance avec eux.Il aurait pu choisir autrement,mais il etait deja compromis par ses accords de Paris.Le sort etait deja jeté.Et la pays entre dans une crise profonde.Donc le bajbouj a fait son Hissba (calcul),mais il a eu un ....,en Tunisien,ça rime avec Hissba pour finir le proverbe.
Et comme a dit Al Moutanabbi,si tu vois les Grands frapper le Tambour,n en voulez pas aux petits de vouloir danser.
C'est dire que notre bizarre systeme politique qui n'existe nulle part ailleurs sur cette planète n'est autre que le Systeme des Deux Vieux.
Le faux diagnostic engendre la mauvaise solution .
Les vrais handicaps du pays sont l'ARP , la présidence et la société civile .
L'ARP , pouvoir de base est constitué d'amalgame d'individus ayant peu de valeurs en commun , loin d'être l'élite intellectuelle , morale ou patriotique du peuple tunisien .
La présidence a besoin d'une personnalité charismatique , dynamique et prévoyante .
Quant à la société civile , l'exécutif et le législatif lui ont concédé ,par populisme et par faiblesse , trop de pouvoir , au point qu'elle est devenue maîtresse de la situation , s'ingérant dans les divers affaires de l'Etat , profitant de la rengaine "dialogue social", sans lequel rien ne se décide .
En fin de compte , on ne sait plus qui commande , qui décide et à qui incombe la responsabilité .
@The Mirror
La grève , n'est-elle pas un problème d'actualité ?
S'ils ne l'ont pas fait , ça prouve qu'ils se soucient peu de leur peuple , ou bien, ils ont légué son sort à la société civile et en particulier à l'UGTT et à ses syndicats .
Bravo the Mirror! Les vieilles lunes n'ont plus cours
Je ne cesse, en effet, de le répéter depuis fort longtemps.
Seules des élections législatives anticipées, dégageant une majorité de gouvernement, pourront aider le pays à sortir de l'ornière dans laquelle des politiques à courte vue l' y ont VOLONTAIREMENT précipité.
La politique de Gribouille (ACHANKA M3A AJMA3A KHAL3A) qui consiste à associer tout le monde pour ne rien faire de constructif au final fera perdre un temps précieux à ce pays en dérive.
La gestion collective des affaires de l'État aboutit souvent à une dilution des responsabilités et à des résultats calamiteux.
Il est grand temps que l'on se rende compte de cette évidence première.
Ennahdha assure la continuité dans l'échec
ARRETEZ AVEC CES RENCONTRES

