Le président de la République, Béji Caïd Essebsi a reçu, ce mardi 26 avril 2016, au palais de Carthage, Ridha Belhaj et Hafedh Caïd Essebsi, respectivement président du comité politique et directeur exécutif du parti Nidaa Tounes.
Selon un communiqué de la présidence de la République, Ridha Belhaj a indiqué que l’entrevue a porté sur la situation générale du pays et les travaux de la coordination des partis au pouvoir. En outre, ils ont abordé les propositions politiques susceptibles d’améliorer la situation sociale et économique.
I.L.
Le président de la République reçoit Hafedh Caïd Essebsi et Ridha Belhaj à Carthage
Le président de la République, Béji Caïd Essebsi a reçu, ce mardi 26 avril 2016, au palais de Carthage, Ridha Belhaj et Hafedh Caïd Essebsi, respectivement président du comité politique et directeur exécutif du parti Nidaa Tounes.
Selon un communiqué de la présidence de la République, Ridha Belhaj a indiqué que l’entrevue a porté sur la situation générale du pays et les travaux de la coordination des partis au pouvoir. En outre, ils ont abordé les propositions politiques susceptibles d’améliorer la situation sociale et économique.
Le Président s'entête à recevoir ce fils qui lui cause tant de dégâts. Pas seulement à lui mais à son parti et à l'image de la Politique en Tunisie au lendemain d'un soulèvement contre ces pratiques d'un temps qu'on croyait révolu. Regrettable et dommageable!
Pourquoi ne pas offrir à ces Messieurs un poste en Afrique sub-saharienne ou dans un pays de l'Est ex-soviétique ? Je pense que le pays s'en porterait mieux
En Votant au profit de BCE et nidaa, jamais je n'aurais imaginé voir cette photo au palais de Carthage. Jamais je n'aurais cru que même BCE peut tromper ses électeurs.
Reparti en Allemagne ?
Il n'était venu que pour un week-end, afin de rencontrer le trio infernal de la nahdha, avec ses deux comparses cités ci-dessus, histoire de sceller des accords sur le dos des tunisiens.
Ces "représentants" du défunt nida, vomis par les électeurs de ce parti désormais fantôme, se permettent de jouer un rôle qui dépasse leurs prérogatives.
Ils affichent un air satisfait alors qu'ils ne sont que des epsilon, avachis dans leurs fauteuils, sans la moindre idée de ce qu'est la décence.
Tout cela pour rendre compte de leur infâme mission de rapprochement avec les islamistes.
Qui sont-ils pour, soi-disant, parler de "la situation générale du pays" ou pour tenter d' "améliorer la situation sociale et économique" ?
Ils nous prennent pour des boeufs, et bénéficient de la bienveillance du "chef suprême", d'autant que l'un d'eux n'est que le dévoyé rejeton de celui-ci.
L'amour paternel n'a décidément pas de limites, quitte à y sacrifier l'estime de tout un peuple.
Dans notre pays, le népotisme a encore de beaux jours.
