Sa cravate verte commence à puer le poisson séché pourri.

En marge de sa participation au débat de l’Assemblée générale de l’ONU sur la mise en œuvre des objectifs du développement durable et à la cérémonie de signature de l’accord de Paris sur le climat, le ministre des Affaires étrangères Khemaies Jhinaoui s’est entretenu, vendredi 22 avril 2016, à New York, avec le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon.
Selon la TAP, qui cite un communiqué du département des Affaires étrangères, le ministre tunisien a profité de cette entrevue pour rappeler les défis auxquels la Tunisie fait face aujourd'hui, dans sa transition démocratique, insistant sur la nécessité du soutien de la communauté internationale.
L'entrevue a également porté, selon la même source, sur la visite de Ban Ki-moon effectuée les 28 et 29 mars dernier en Tunisie.

Commentaires (5)
CommenterC'est quoi l'intérêt? C'est de la perte du temps!
Sa cravate verte commence à puer le poisson séché pourri.
Si vous voulez mon avis!
Quelle bassesse!
Heureusement qu'il se contente d'emmerder les malheureux "fans" de BN.
Rabbi maahomme. Moi je préfère boycotter BN tant qu'il accepte de telles âneries.
ISLAM, SIONISME, ET COLONIALISME: LECON 19 (1)
Et la clef des portes de la liberté avait été offerte à des peuples étourdis par des siècles de servitude et accablés par un Islam en sa version la plus archaïque et la plus rigide, par une poignée d'êtres exceptionnels et doués d'une intelligence remarquable et d'une vision quasi-prophétique de l'avenir.
L'Islam, comme je le mentionne depuis environ cinq années sur ce digne journal électronique, représente le plus grand défi des peuples Arabes en sa version actuelle. Celle qui ôte aux êtres humains tout esprit critique et qui les plonge dans une cécité envers un univers devant lequel l'on doit se soumettre avec le fatalisme, la superstition, et les croyances primitives, aveugles, et sordides que cela implique.
Sans une modernisation de l'Islam qui ne viendra que suite à des siècles de régimes autoritaires, socialistes, et laïques, les peuples Arabes sont condamnés a un cercle vicieux et mortel qui verra d'interminables cycles de guerres intertribales et sectaires, succéder a des recolonisations ou ces mêmes peuples deviendront de simples esclaves de l'occident, n'ayant comme nourriture spirituelle que les principes d'une religion dont l'essence même est de créer un isolationnisme intellectuel irrationnel et destructeur.
Sans une modernisation urgente de l'Islam, les peuples Arabes sont condamnés à l'asservissement et même à l'extinction au profit d'un Israël qui deviendra une superpuissance au même titre que les Etats Unis ou l'ancienne Union Soviétique.
Mettre l'Islam en sourdine signifie qu'Israël ne pourra jamais gagner sa guerre contre les peuples Arabes.
Et ces mêmes peuples Arabes comprendront bientôt et surtout dans un période qui est l'aube d'une victoire majeure de l'armée Arabe Syrienne, qu'ils n'ont qu'une seule et unique option pour survivre : abandonner l'Islam pour un Nationalisme laïque et socialiste comme le préconisait Nasser, ou tout simplement mourir.
ISLAM, SIONISME, ET COLONIALISME: LECON 19 (2)
Son nom était à cette époque bien connu non pas seulement des services secrets Egyptiens, mais de ceux de l'Allemagne Fédérale avec laquelle en cette même période, nous avions débuté une coopération étroite en matière de sécurité sous le haut patronage d'Habib Bourguiba.
Comme Rached Ghannouchi était un agent du MI6, Saïd Ramadan car c'est de lui qu'il s'agit, était connu pour être un agent de la CIA notoire.
Et a une époque ou comme le fit brillement le général Ben Ali pour la Tunisie, Nasser débutait une période de répression contre des frères musulmans de plus en plus violent, ce seront les services secrets Ouest-Allemands en coopération avec le Qatar, l'Arabie Saoudite, et la Jordanie, qui faciliteront son évasion du Caire vers la ville de Munich.
En 1954, Saïd Ramadan se retrouvera en Allemagne Fédérale d'où il organisera l'attentat contre Nasser de l'année 1965.
Il faut dire que Bonn ne pardonnait pas à Nasser son support pour la République Démocratique Allemande à une époque désignée par les historiens comme étant la guerre froide.
De Munich, Ramadan se rendra à Genève ou disposant de fonds Saoudiens, il fondera le Centre Islamique de Genève en 1961 avec la bénédiction du Gouvernement Suisse et de la CIA.
En 1962, il fondera avec les Saoudiens la Ligue Mondiale Musulmane.
L'influence de Saïd Ramadan sur le reste du monde Arabo-musulman sera néfaste et globale a une époque ou un certain Ruhallah Khomeiny orchestrait des agitations répétées dans la ville de Qom, et ou Mawdoudi infiltrait par son Islam fanatique les repères de la faible démocratie Pakistanaise comme le font actuellement les islamistes Tunisiens et leur complice le Président BCE.
En 1965, l'Egypte plongera dans une violence islamique sans précèdent, triste destin qui attend la Tunisie en cette sombre et sanglante année 2016.
Nasser sera toutefois bien préparé et agira avec intelligence et fermeté comme il le promettra dans un discours en Aout 1965 qu'il prononcera de Moscou.
C'est à cette époque que l'on verra donc la création du même axe du mal qui aujourd'hui s'aligne sur la Tunisie et ses traitres du peuple et de son gouvernement virtuel.
Et l'on verra donc la création d'une alliance incluant CENTO, le Pakistan, la Jordanie, et bien sur l'Arabie Saoudite et les pays du Golfe, dont le but n'était autre que de disséminer un Islam orthodoxe contre des pays n'ayant bénéficié que de quelques années d'indépendance comme la Tunisie, l'Algérie, et l'Egypte.
Comme quoi l'histoire n'est qu'un perpétuel recommencement.
BIBLIOGRAPHIE : Gilles Kepel : Muslim Extremists in Egypt, University of California Press, 1993.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.