La situation sécuritaire, socio-politique et économique en Tunisie est DRAMATIQUE, c'est la moindre des définitions. Le pays brûle, et ce n'est pas la faute d'un bidon d'essence dans un lieu inapproprié...
De plus en plus de simples citoyens s'exclament "la Tunisie, c'est finie!".
Le petit peuple, les simples citoyens, se sentent plongés dans un sentiment d'impuissance, de colère et de frustration, face à l'injustice évidente dans des dossiers sensibles d'importance primaire, face à l'hypocrisie politique, aux mensonges à outrance des islamistes et les mascarades gouvernementales qui ne cachent plus l'impuissance à se libérer du virus mortel de l'islamisme radical juste derrière les promesses du chef khomeiniste al-Ghannouchi d'"appliquer les règles démocratiques", alors qu'il oeuvre pour la subversion...
La situation en Tunisie peut rassembler à la déstabilisation provoquée en fin 2010, janvier 2011. Sauf qu'ici on est vraiment en plein printemps.
Un printemps révolutionnaire, après 5 ans de mensonge médiatique et de célébration par le président-pion Marzouki de l'"allié révolutionnaire", le Qatar, qui faisait l'agenda de la CIA et du MI6 britannique pour nous imposer ce gourou khomeiniste récupéré de Londres avec un passeport soudanais?
Difficile prévoir ce que suivra cette oscillation sociale vers la rupture violente et la revendication des dernières vérités. Où est fini le dossier des snipers, ces assassins du peuple, parfois identifiés, par lequel tout a commencé en janvier 2011, et qui sont libres et sans souci de peines en Justice?
Où sont fini les "héros" du moment, tel le Gén. Ammar, qui fait une vacance bien rémunérée à l'étranger et ne nous dira jamais ses secrets, si chers à la CIA? Quand on écrira dans un rapport détaillé et dans la transparence ce qui c'est passé à l'aéroport militaire de l'Aouina avec Tarhouni et la BAT, avant de départ de Ben Ali et l'arrestation du Gén. Sériati?
Quand saurons-nous toute la vérité, du "pourquoi" les jeunes activistes et cyber-activistes qui ont été utilisés pour déstabiliser la Tunisie en vue d'un "printemps", sont partis en masse vers l'étranger, parfois menacés de mort par les islamistes d'Ennahdha (fréro-mafia) qui ne l'ont certainement pas remerciés pour leur avoir ouvert l'accès au pouvoir, comme dans le cas de Md Lamine Slama et son "parti pirate", Nadia Al-Fani et son film "immoral" sur la laïcité, etc. Entre-temps un certain Soros a financé la nudité féminine dans les lieux publiques et même dans les espaces sacrés, par une certaine Amina du FEMEN, qui a fait carrière, tandis que Béji Caïd-Essebsi a réçu l'"illustre mécène" des ILLUMINATI au Palais de Carthage, en le remerciant chaleureusement pour son action de "sensibilisation" à la faveur de Rached Ghannouchi et de sa "moralité du taghout" apprise sur les livres de Khomeiny.
(Rf. "POURQUOI JE CROIS QUE RACHED GHANNOUCHI EST LE MOTEUR DU TERRORISME DJIHADISTE EN TUNISIE"
http://www.letteresullacqua.blogspot.com/2016/03/pourquoije-crois-que-rached-
ghannouchi.html )