N'oublions pas toujours ceci :
Le politicien est le deuxième plus vieux métier du monde, donc il se classe automatiquement après la p.te.
D'ailleurs ils commencent les deux par un P.
Donc ils sont dénués des principes fondamentaux.
Le président de la délégation spéciale de la mairie de Sidi Bou Saïd, Mohamed Raouf Dakhlaoui, a indiqué aujourd’hui, dimanche 3 avril 2016, que Mustapha Ben Ahmed, élu sur les listes de Nidaa avant de passer ensuite au bloc Al Horra, a insulté les agents municipaux de Sidi Bou Saïd en usant de sa qualité de député.
M. Dakhlaoui a affirmé que l’incident a eu lieu, hier, lorsque les agents municipaux ont enlevé par le camion-grue une voiture de location stationnée en double file, gênant, ainsi, la circulation. Il s’est avéré par la suite que la voiture appartenait au député Mustapha Ben Ahmed.
Selon le président de la délégation spéciale, le député, fou de rage, aurait insulté les agents en les traitant de racketteurs. « Il se targuait de son immunité parlementaire pour ne pas payer les trente dinars de frais d’enlèvement ». M. Dakhlaoui conclut que pour ne pas envenimer la situation, il demanda aux agents de libérer le véhicule en leur promettant de poursuivre le député en justice.
Le président de la délégation spéciale de la mairie de Sidi Bou Saïd, Mohamed Raouf Dakhlaoui, a indiqué aujourd’hui, dimanche 3 avril 2016, que Mustapha Ben Ahmed, élu sur les listes de Nidaa avant de passer ensuite au bloc Al Horra, a insulté les agents municipaux de Sidi Bou Saïd en usant de sa qualité de député.
M. Dakhlaoui a affirmé que l’incident a eu lieu, hier, lorsque les agents municipaux ont enlevé par le camion-grue une voiture de location stationnée en double file, gênant, ainsi, la circulation. Il s’est avéré par la suite que la voiture appartenait au député Mustapha Ben Ahmed.
Selon le président de la délégation spéciale, le député, fou de rage, aurait insulté les agents en les traitant de racketteurs. « Il se targuait de son immunité parlementaire pour ne pas payer les trente dinars de frais d’enlèvement ». M. Dakhlaoui conclut que pour ne pas envenimer la situation, il demanda aux agents de libérer le véhicule en leur promettant de poursuivre le député en justice.