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Plainte déposée contre Issam Dardouri par l'un des accusés dans l'affaire Brahmi
10/03/2016 | 15:29
1 min
Plainte déposée contre Issam Dardouri par l'un des accusés dans l'affaire Brahmi

 

Le syndicaliste sécuritaire, Issam Dardouri a comparu, ce jeudi 10 mars 2016, devant le juge d’instruction après avoir été convoqué dans le cadre d’une plainte déposée à son encontre par Abdelkarim Abidi, l’un des accusés dans l’affaire d’assassinat du martyr, Mohamed Brahmi.

 

Le juge d’instruction a décidé de reporter l’audience au 18 mars prochain, apprend-on de source bien informée.

 

On rappellera que Issam Dardouri a été arrêté par la brigade anti-terroriste le 6 février 2016. Il avait vigoureusement critiqué la décision des autorités de libérer Mohamed Amine Guebli, principal suspect dans l’affaire de l’attentat du Bardo. Il avait même suggéré qu’il y avait manipulation dans l’affaire.

 

M.G

10/03/2016 | 15:29
1 min
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Commentaires (20)

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canalou
| 11-03-2016 18:05
dardouri denonce les traitres et nous les fils de resistants tunisiens de souche de pere en fils saluons son courage .Notre pays la tunisie libre a chasse tous les envahisseurs et les a oblies a se tunisifier et ce n est pas aujourdhui que nous allons nous laisser faire . NI mur de lamentations ,ni l arabie gouvernee par une tribu de dictateurs qui profite de la naivete des musulman et depense l argent du pelerinage dans la debauche et le luxe insultant . MOn pelerinage est sur les tombes de mes ancetres tunisiens et du combattant leader bourguiba qui a laisse un heritage honorable batailles en tunisie terre de mes ancetres enterres

Tunisienne
| 11-03-2016 17:12
Je crois que la police a fait sa mea culpa et ses révisions. Cependant, à contexte exceptionnel, méthodes exceptionnelles (c'est en tout cas ce que nous ont appris les grandes démocraties dans leur lutte contre le terrorisme, c'est-à-dire contre les ennemis de la démocratie, de la république et de la nation).
La police doit faire confiance à la justice, Ok. Mais la justice doit se mettre aux normes de la lutte antiterroriste mondiale, acquérir les compétences nécessaires pour instruire ce type de dossiers et, surtout, se détacher des marasmes idéologiques et politiques en étant fondamentalement républicaine (au même titre que ce qui est demandé à la police).
Salut

nazou
| 11-03-2016 16:06
La police doit changer de méthode !
A l'époque de ben ali, les services d'espionnage étrangers étaient relativement tenus à distance par une police politique.
Mais c'est fini, en faisant sauter le verrou avec des dégages , la boîte de pandore à été ouverte !

La police DOIT faire confiance à la justice.
La justice anti terroriste possède des éléments que la police n'a pas.

Il faut une justice indépendante, et je ne doute pas qu'elle le devienne.
Sûrement plus rapidement que la police.

Tunisienne
| 11-03-2016 15:51
Reconnaissez que ce qui se passe dans la justice est, pour le moins trouble et troublant (du blocage des affaires Belaid et Brahmi jusqu'à l'affaire glauque du belge, en passant par les libérations de gens sur qui pèsent de lourdes présomptions de terrorisme, tels certains des assaillants de Ben Guerdene).
Je ne dis pas que tous les sécuritaires sont blancs comme neige. Mais qu'on le veuille ou pas, ils restent notre meilleur rempart contre tout ce qui menace ce pays et il faut leur reconnaître le courage et le patriotisme, lorsqu'ils dénoncent et mettent en garde à leurs dépens. Sans oublier que ce sont eux qui s'exposent quotidiennement aux dangers...
Salutations

nazou
| 11-03-2016 15:01
Vous soupçonné la justice d'être partiale.
Ce qui reste à prouver.
Mais pour être aussi honnête que possible, portez les mêmes doutes sur les représentants de la police.

Moi je n'oublie pas, le policier 'usurpateur d'identité.
Il avait passé le pire message qui soit.
Un message d'impunité !

Tunisienne
| 11-03-2016 14:19
Ce que vous dites est soutenable en temps de paix et dans une République qui s'est munie de tous les verrous républicains nécessaires (y compris et essentiellement une justice compétente et indépendante) pour que les fondements de la République ne soient jamais remis en question.
Dans notre contexte à nous, ce qui se passe avec les sécuritaires ne peut être interprété que comme un signal fort en faveur des terroristes et de leurs soutiens!

kameleon78
| 11-03-2016 13:57
L'ombre de Bhiri plane sur le ministère de la justice. Les nahdaouis veulent étouffer l'affaire et ce n'est pas la première fois.

nazou
| 11-03-2016 13:11
Ça s'appelle un droit de réserve.
Que ce syndicaliste n'a pas respecté !!!

Il doit faire son boulot, et rien que son boulot !!

Tunisienne
| 11-03-2016 09:54
C'est la parole d'un patriote défenseur de la nation contre la parole d'un terroriste destructeur de la nation et qui ne croit même pas en la nation !
On relèvera également la célérité avec laquelle les accusations faites aux sécuritaires sont prises au sérieux et donnent lieu à des poursuites judiciaires, alors que les dossiers des terroristes sont traités avec toute la lenteur, la "prudence" et le bénéfice du doute possibles !
Bienvenue au pays des droits de l'homme (terroriste de préférence) !

Abel Chater
| 11-03-2016 09:41
Il est applaudi depuis le mur de lamentations. Ça veut dire beaucoup de choses au sujet de la crédibilité de son projet.
Il suffit de passer en revue ceux qui l'applaudissent ici, pour bien comprendre au service de qui cet Issam consacre toute sa réputation.
L'avenir nous le montrera bien.