Dernières news
Le président de la République reçoit Slim Riahi à Carthage

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu, ce vendredi 4 mars 2016, le président de l’UPL, Slim Riahi, au palais de Carthage.
Selon un communiqué publié par la présidence de la République, la rencontre a porté sur la situation générale du pays, en particulier en ce qui concerne l’économie, et les solutions possibles pour relever ces défis et réaliser le développement.
M.B.Z
Commentaires (7)
CommenterB.N. : langue de bois
| 05-03-2016 14:27
Business News : votre article me rappelle le journal TV du temps de Ben Ali. Pourquoi cette langue de bois? On s'attend à plus de votre part : dites nous ce que Slim Riahi est venu demander à Caid Essebsi, ou au moins ce que vous en pensez !
ce monsieur reçoit n'importe qui
| 05-03-2016 14:24
je ne sais pas quand est-ce qu'il va recevoir la patronne de abdallah paille.
au fait est-ce que abdallah paille existe toujours ?
au fait est-ce que abdallah paille existe toujours ?
il cherche à devenir président du gouvernement
| 04-03-2016 21:27
en contre-partie il propose de donner les débutés de l'upl au groupe de nida au parlement
un autre voyou
un autre voyou
Cet homme charmatique la patrie et l'intérêt général .
| 04-03-2016 17:41
Slim Riahi le sahalien qui pourra améliorer la situation économique comme il n'est pas égoïste de tendance d'avoir la situation des Zawalya se progresse l'intérêt général pour lui c'est quelque sacré et par le temps et l'expérience la confiance d'une majorité sera certaine .
Si j'étais Président
| 04-03-2016 16:07
Je recevrais des Hommes qui font autorité dans leur domaine;
Je mettrai Démocratie et Droits de l'Homme entre parenthèse pour un moment;
Je ferai en sorte que le Chef du Gouvernement soit une Référence et un beau parleur à la fois; les tunisiens en ont besoin de cette "autorité" qui fera les meilleurs choix et qui surtout, fera admettre à tous les tunisiens l'indispensable exercice de souffrance qui les sauvera; Et les tunisiens comprendront que la pommade, la comédie, le sur-place ne mènent nulle part. Seule l'abnégation au travail et l'innovation sont salvatrices.
Et enfin, je ne manquerai pas d'inviter la société civile à sortir un soir inonder les centre-ville, bougies à la main, pour dénoncer le terrorisme devenu le sport favori de certains Etats hypocrites qui ont opté pour la guerre par délégation.
La Tunisie aurait réellement mérité son Prix Nobel si elle avait achevé sa Révolution en se soulevant contre l'obscénité occidentale.
Je mettrai Démocratie et Droits de l'Homme entre parenthèse pour un moment;
Je ferai en sorte que le Chef du Gouvernement soit une Référence et un beau parleur à la fois; les tunisiens en ont besoin de cette "autorité" qui fera les meilleurs choix et qui surtout, fera admettre à tous les tunisiens l'indispensable exercice de souffrance qui les sauvera; Et les tunisiens comprendront que la pommade, la comédie, le sur-place ne mènent nulle part. Seule l'abnégation au travail et l'innovation sont salvatrices.
Et enfin, je ne manquerai pas d'inviter la société civile à sortir un soir inonder les centre-ville, bougies à la main, pour dénoncer le terrorisme devenu le sport favori de certains Etats hypocrites qui ont opté pour la guerre par délégation.
La Tunisie aurait réellement mérité son Prix Nobel si elle avait achevé sa Révolution en se soulevant contre l'obscénité occidentale.
Attention, ça va saigner
| 04-03-2016 15:30
Le grand, l'immense, l'inégalable bête politique a été voir le Président.
Attendons nous a un grand remu ménage politique.
Quand Slim Riahi entre en scène, ça va saigner.
Il est aussi brillant que son ministre du commerce.
Je me tort de rire.
Attendons nous a un grand remu ménage politique.
Quand Slim Riahi entre en scène, ça va saigner.
Il est aussi brillant que son ministre du commerce.
Je me tort de rire.
Phrase fétiche : "la situation générale du pays"
| 04-03-2016 15:09
Un leitmotiv pratiqué jusqu'à l'écoeurement.
Rien ne doit être révélé, rien ne doit transparaître. Aucune bribe d'information. Pas le moindre détail.
Le citoyen ordinaire, pauvre mortel, se contentera d'apprendre qu'en toutes circonstances des personnalités se rencontrent et parlent de "la situation générale du pays", laquelle est on ne peut plus catastrophique.
Il devra se contenter de cela.
Rien ne doit être révélé, rien ne doit transparaître. Aucune bribe d'information. Pas le moindre détail.
Le citoyen ordinaire, pauvre mortel, se contentera d'apprendre qu'en toutes circonstances des personnalités se rencontrent et parlent de "la situation générale du pays", laquelle est on ne peut plus catastrophique.
Il devra se contenter de cela.