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L'Inde veut installer un centre de montage des marques Mahindra et TATA en Tunisie, pour conquérir l'Afrique
18/02/2016 | 18:20
1 min
L'Inde veut installer un centre de montage des marques Mahindra et TATA en Tunisie, pour conquérir l'Afrique

 

L’ambassadeur de l’Inde en Tunisie, Prashant Pise, a affirmé, mercredi 17 février 2016, dans une déclaration à la TAP, en marge de la célébration du 51ème anniversaire du programme de la Coopération technique et économique indienne (ITEC) organisé par l’ambassade indienne le jour même, que les opportunités de coopération entre la Tunisie et l’Inde sont importantes et prometteuses.

 

M. Pise estime que ces opportunités vont se développer et se diversifier, notamment dans les domaines de la recherche scientifique, de la technologie, des sciences agricoles de l’industrie pharmaceutique ainsi que dans les secteurs du phosphate et de l'industrie automobile.

Il a précisé qu’outre les excellentes relations que partagent les deux pays, l’Inde est le premier client dans le secteur du Phosphate, avec des importations annuelles de l’ordre de 500 millions de dollars.

 

Autre point, Prashant Pise a souligné que son pays veut développer la coopération davantage dans le domaine de montage des véhicules, avec ses deux géants, présents en Tunisie, Mahindra et TATA. L’objectif étant de faire de la Tunisie un centre de montage de ces deux marques et de leur distribution sur le continent africain.

 

I.N

18/02/2016 | 18:20
1 min
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Commentaires (15)

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BHN
| 19-02-2016 14:14
Enfin de belles opportunités qui se présentent à la Tunisie. D'autant que si cette info se confirme, celà va créer de l'emploi, acquérir un transfert de technologie, de compétence, etc,etc..
C'est avec ce genre de pays et de partenaires tel que l'Inde, grand pays émergent d'1 Milliard d'habitants faisant parti des pays du BRICS, que nous pourrions eventuellement sortir de la nasse auquelle nous, nous trouvons depuis plus de 5 ans.

bizertin
| 19-02-2016 11:41
Je parie que si l'etats fait appel aux ingénieurs et techniciens tunisiens ,ils peuvent faire des miracles.

EL OUAFY
| 19-02-2016 11:35
L'ancien président Ben Ali était trahi par certains saboteurs , assoiffé de pouvoir
qui cherchaient que leurs intérêts personnels
sans donner au peuple aucune importance mais grâce à bons dieux que certains intellects Tunisiens et Tunisiennes ( les avocats ont conclus que ce président avait été chuté sans preuve quoi qu'il en soit les inconvenants les avantages sont considérables et que la théorie sur l'appréciation de gérance de Ben Ali n'est pas confirmée à sa pratique et le résultat est constatable par n'importe .
Une société civile très ravis
une économie qui se progresse le jour le jour
une sécurité très solide et l'honneur revient à Sidna Amar 4x4 04 .
Mais l'espoire demeure toujours si en laissant tranquille l'actuel président Badji Caid essebsi en évitant la création de la déstabilisation ( les manifestations et les grèves uniquement pour cette période de transissions n'oubliez pas que B C E son age est avancé et qu'il ne peut pas supporter ce genre de parasite laissez le qu'il concentre
pour récupérer ce que ladite révolution a ravagé dont ses créateurs n'ont pourvu de compétence dans la gérance de l'état .

red skin
| 19-02-2016 10:46
Les hommes d'affaire indiens représentent un grand danger dans tous les secteurs économiques qu'ils investissent. Mittal n'a-t'il pas acquis des aciéries en Europe qu'il a ensuite fermées pour mieux asseoir son hégémonie dans le secteur?
En Tunisie, deux entreprises indiennes ont actuellement le monopole des lignes électriques à Haute Tension clé en main grâce à la politique de dumping qu'elles pratiquent. Elles ont peu à peu éliminé les entreprises de montage locales qu'elles ont pratiquement ruinées en leur imposant des prix ridiculement bas. Depuis, elles entreprennent la majeure partie de travaux y compris le génie civil, les travaux de montage étant l'apanage des ouvriers indiens importés à l'occasion en masse avec l'accord tacite de certains responsables.

Ex pessimiste
| 19-02-2016 04:57
Enfin, une bonne nouvelle, pourvu qu'on soit capable de la saisir car, la concurrence est surement aux aguets avec des arguments solides.

Occasion inespérée car en plus de son impact sur l'emploi des jeunes et sur l'acquisition d'un savoir-faire forgé par des compétences reconnues mondialement, elle pourra contribuer au retour de certaines règles, disparues depuis quelques années mais qui sont indispensables si on veut que le pays retrouve sa place parmi les pays en voie de développement et non de sous-développement. Il s'agit de l'amour du travail, la discipline, l'application stricte du règlement, le respect de la hiérarchie.

En fait, si ces deux géants sont ce qu'ils sont aujourd'hui, ce n'est pas grâce à l'absentéisme du personnel ni aux arrêts de travail et aux revendications répétées. La réussite de ces entreprises n'est pas due uniquement aux qualités exceptionnelles de leurs dirigeants, c'est le fruit d'un long travail de groupe impliquant tous les niveaux du personnel.

Pour qu'un tel projet puisse avoir l'impact espéré, il doit être accompagné, à l'échelle nationale, par une action rectificative visant la réappropriation par nos compatriotes, des qualités du Tunisien des années soixante. Là où nous en sommes, seul un responsable, grand communicateur, auquel le peuple voue encore un certain respect, pourra réussir cette action rectificative.

Professeur de droit
| 19-02-2016 03:53
Tata et Mahindra sont devenus des puissantes multinationales dont les décisions d'investissement s'annoncent sur le marché mondial, et non par l'ambassadeur indien local. Je suis certain que le dipomate n'a fait qu'esquisser une idée, que les journalistes, raisonnant à la tunisienne ont pris une décision.
Sans compter que l'option n'a aucun sens pour ces gros industriels, depuis la suppression du régime exportatrice à 0% d'impot, qu'ils peuvent trouver ailleurs.

Léon
| 18-02-2016 21:15
C'était même dans le plan de sauvetage de la Tunisie, prévu par Léon. Espérons que cela se fasse. Gros pourvoyeur d'emploi, directs et indirects avec un transfert de technologie très intéressant pour un pays qui fait de la recherche.
Je l'avais proposé à un constructeur français mais en vain. C'est à se demander si la France voulait nous aider ou pas.
Ce sera le début de la sortie de crise.
Merci aux indiens. Pensez aussi aux iraniens et aux japonais. Il est temps de tourner le dos à ceux qui ne veulent pas de nous et nous tournent le dos. L'héritage de Bourguiba et Ben Ali va certainement donner ses fruits dans une Tunisie réconciliée. Pourvu que le Peuple qui a trahi ne trahisse plus et mette de côté ses haines et rancoeurs. Sinon toute la bonne volonté du Monde n'y fera rien.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

EL OUAFY
| 18-02-2016 20:54
Optimiste et l'obéissance envers le président B C E c'est la garantie d'une situation digne et prospecte .
L'installation de ce usine pourra diminuer le chaumage et l'acquisition d'un savoir-faire .

aldo
| 18-02-2016 20:47
à tous , si tunisiens que nous sommes ayants compris ceci , cela ne peut que avantager que notre TUNISIE .

Tounsi Blid
| 18-02-2016 19:59
je veux pas jouer les rabajoies mais dans ce contexte de troubles sociaux et d' insécurité par rapport à Daesh ...
Malgré la qualité de nos ingénieurs et Techniciens :le Maroc -l' Algérie ou même l' Egypte sont mieux placés que nous.