@safsaf123 l'essence n'est pas chez en Lybie néanmoins, eux ont du pétrole, et vendent sans doute à perte... ce qui n'est pas bon non plus! N'allons pas d'un extrême à l'autre. Ensuite, il faut être un peu patriote et avoir du bon sens. Pour que je daigne mettre une seule goute d'essence de Libye dans mon réservoir, il faudra me payer très très cher.... La qualité et les conditions de transports de ce carburant sont tout simplement douteuses! A un mment, il faut cesser de ne voir que le prix et privilégier la qualité!

Le ministre du Commerce, Mohsen Hassen a présidé, ce mardi 16 février 2016 au siège du ministère, la première réunion de la Commission nationale de suivi des prix, de la garantie de la périodicité de l’approvisionnement du marché et de la lutte contre la contrebande et le commerce parallèle, précise un communiqué datant du même jour.
Un groupe de travail a été créé lors de cette réunion pour assurer le suivi et la direction de ces travaux. Il devra se réunir à partir de la semaine prochaine, périodiquement et chaque fois que cela sera nécessaire. Il se chargera de la préparation du programme des réunions de la Commission nationale ainsi que du suivi de la mise en œuvre des décisions issues des commissions nationales et régionales.
Au cours de cette réunion, M. Hassen a expliqué que cette commission aura pour mission de combattre la contrebande et le commerce parallèle, qui ont fait perdre à la caisse de l’Etat 1,2 milliard de dinars annuellement, dont 500 millions de dinars en recettes douanières, se référant à une étude menée par la Banque mondiale en 2013.
Ce fléau est préjudiciable pour les règles de la concurrence et contribue à semer la confusion dans la périodicité de l'approvisionnement, affirme le ministre, précisant que 50% des légumes et fruits frais sont échangés en dehors des réseaux légaux.
Le rôle de cette nouvelle commission sera donc de trouver des solutions économiques et sociales afin de réduire le commerce parallèle, notamment à travers le développement des régions par la création de zones-franches, par exemple. Le ministère appuiera tous ceux qui veulent passer à la légalité, a souligné M. Hassen, l’objectif final étant de faire baisser l’économie parallèle à 20% de l’ensemble de l’économie –NDLR qui représente actuellement 50% de l’économie nationale–.
I.N
Commentaires (6)
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@safsaf123 l'essence n'est pas chez en Lybie néanmoins, eux ont du pétrole, et vendent sans doute à perte... ce qui n'est pas bon non plus! N'allons pas d'un extrême à l'autre. Ensuite, il faut être un peu patriote et avoir du bon sens. Pour que je daigne mettre une seule goute d'essence de Libye dans mon réservoir, il faudra me payer très très cher.... La qualité et les conditions de transports de ce carburant sont tout simplement douteuses! A un mment, il faut cesser de ne voir que le prix et privilégier la qualité!
Sommeil profond
Ce pseudo ministre semble se remettre d'un sommeil profond de plus de deus ans. Les dernières statistiques parlent d'un chiffre en 2015 de plus de dix milliard de Tnd.
Et il pense pouvoir arrêter ce fléau. La poudre aux yeux est la seule chose où nos politicards excellent.
arrétons l'hypocrisie!
commerce. parallèle.
Et ailleurs
il y a du boulot pour decorrompre ce pays
cherchez d'abord a comprendre les causes de la contrebande
Quand on sait que la contrebande de certains produits comme les hydrocarbures ou l'acier est dû à un grand écart des prix entre les nôtres et ceux des voisins. De plus dans le domaine des hydrocarbures ou l'opacité est la règle et que certains nous parlent de subventions de ces produits alors que le prix du baril du pétrole a été divisé par plus de 3, à croire que même si le prix du baril du pétrole est de 2 dollar on nous dira qu'il y a toujours subventions. Pour l'acier et avec le foulath on n'est pas compétitif et que cette entreprise dilapide chaque année des milliards de subventions. Rien que l'année dernière une aide de 32 millions de dinar a été donnée a cette société (pour moins de 3500 employé, soit près de 10000 DT par employé).
Pour finir, il faudrait un jour aussi se poser la question de la responsabilité des sociétés de leasings dans ce trafic. 80% des voitures utilisées dans la contrebande ont été acheté avec des crédits de ces sociétés de leasings. Il faudrait aussi aborder de façon seraine la question de la douane ou beaucoup de douaniers jouent le jeu de la contrebande. A quand l'obligation pour ces douaniers de déclarer leurs biens annuellement et de justifier l'origine de ces biens pour eux et leurs proches.

