alexametrics
dimanche 22 juin 2025
Heure de Tunis : 23:08
Dernières news
Le Cloud et la Sécurité au cœur de la 3ème conférence de l'itSMF Tunisie
28/01/2016 | 17:14
2 min
Le Cloud et la Sécurité au cœur de la 3ème conférence de l'itSMF Tunisie

 

Plus de 200 professionnels, tunisiens et internationaux, de la gestion des services informatiques ont été réunis, ce jeudi 28 janvier, dans le cadre de la 3ème édition de la conférence annuelle de l’association itSMF Tunisia (Information Technology Service Management Forum). Tenue en présence du ministre des Technologies de la Communication et de l’Economie numérique, Noômane Fehri, cette rencontre avait pour thème « The news Style of IT ».


Ainsi, cette journée a réuni les premiers responsables informatiques et métier des grandes entreprises tunisiennes et des administrations publiques. Les sociétés de services, les cabinets de conseil, les éditeurs et les universités, nationaux ou internationaux, y ont également pris part.


A cette occasion, Noômane Fehri a déclaré : « Les entreprises sont appelées à augmenter leur productivité, réduire les coûts, améliorer la qualité de service et développer leurs côté innovateur. C’est là le rôle des directeurs des systèmes d’information (DSIs). C’est par le biais des nouvelles technologies que nous pouvons développer nos entreprises et notre économie nationale. On a mis dans nos plan 100.000 jobs, dont 100%seront dans le domaine privé ».


De son côté, Hatem Mestiri, président de l’association itSMF a précisé: « itSMF Tunisie cherche à développer et à promouvoir les « Meilleures Pratiques » grâce aux apports des recommandations de l’ITIL (Information Technology Infrastructure Library), la Bibliothèque pour l'infrastructure des technologies de l'information. On a une grande opportunité entrepreneuriat dans le domaine des technologies, surtout que la Tunisie a un nombre important d'ingénieur avec une grande expérience qui travaillent dans d'importantes sociétés tunisiennes et internationales. Notre objectif est la promotion de la Tunisie et de son expertise dans le domaine de la technologie à travers la diffusion des meilleures pratiques pour la gestion des services IT.», a-t-il ajouté.


l’ITIL fournit un ensemble cohérent des Meilleures Pratiques issues aussi bien des secteurs publics que privés internationaux, et s’appuie sur un mécanisme dûment éprouvé de certifications, d’accréditations, d’organismes de formations, de sociétés de conseil et d’outils. L’objectif est d’aider les DSIs, dans une démarche pragmatique, à atteindre les objectifs métiers de l’entreprise, délivrer les services informatiques dans le respect des conventions de service négociées avec les maîtrises d’ouvrage, et d’utiliser les processus permettant une amélioration continue de la qualité et la maîtrise des budgets.


Rappelant que l’itSMF Tunisia est une association professionnelle, ayant pour objectif de développer la maturité et la gouvernance des fonctions informatiques dans les entreprises et les administrations tunisiennes et ce à travers la mise en place d’une organisation orientée services, l’alignement de la stratégie de l’informatique à celle de l’entreprise et par le déploiement des bonnes pratiques internationales ITIL et autres. itSMF Tunisie est un maillon du réseau itSMF international.


D’après communiqué

 

28/01/2016 | 17:14
2 min
sur le fil
Tous les Articles
Suivez-nous

Commentaires (2)

Commenter

Dr. Jamel Tazarki
| 28-01-2016 19:45
Le devoir du Gouvernement tunisien est de favoriser par des investissements directs le domaine de la production des logiciels en Tunisie sans même chercher à faire de profit. Nous devons conquérir le monde via internet par nos services et nos logiciels gratuits. Nous devons convaincre le monde que nous sommes capables et que l'on a une mentalité de collaboration et que l'on est généreux avec notre savoir en l'offrant gratuitement sur Internet. Nous devons offrir des logiciels informatiques dans tous les domaines possibles sur internet et au monde entier. Il faut que nos chômeurs informaticiens, physiciens, mathématiciens, biologistes, chimistes, philosophes, linguistes et tous les autres créent une communauté virtuelle de projets informatiques sur Internet. L'Etat tunisien doit prendre en charge toutes les dépenses et tous les salaires. Cette communauté virtuelle sera soumise à des contraintes de temps et à des obligations de résultats. On y pratiquera le travail collaboratif au moyen d'outils qui favorisent la coordination et le travail en commun. Les logiciels informatiques qui vont être produits par cette communauté virtuelle seront mis à disposition du monde entier gratuitement. En effet, les firmes étrangères cherchent des logiciels gratuits, alors donnons au marché international ce qu'il a dont besoin. Vous allez voir, en quelques mois la Tunisie va en profiter. Nous pourrons faire de la Tunisie en quelques mois le nouvel eldorado de l'informatique, et nous serons ainsi parmi les premiers exportateurs de logiciels dans le monde entier.

On ne peut pas se permettre de laisser des concitoyens hyper diplômés et intelligents traîner dans les cafés. Je propose des connections internet gratuites pour les étudiants et les chômeurs diplômés. Il faut aussi leur garantir le droit de circuler en transports en commun gratuitement. Ces privilèges sont indispensables pour un retour à l'emploi (CV par mail, recherche des jobs ailleurs que dans son département, etc.).

Offrir une connexion internet a un chômeur, c'est lui donner des chances supplémentaires de retrouver un emploie plus facilement .... Une connexion internet est une espérance de vie pour un chômeur. Aujourd'hui, Internet est en plein essor. Beaucoup d'emplois à l'échelle internationale sont en ligne dépassant même les offres publiées au bureau de chômage ou dans les journaux des pays occidentaux. Les moteurs privés de recherche d'emploi en ligne sont un moyen obligatoire afin d'être informé des postes vacants à l'échelle internationale. Selon leur conception, ces moteurs de recherche en ligne dénichent les emplois qui sont annoncés vacants sur les bourses et les marchés de l'emploi du monde entier (même directement sur le site des entreprises).

Il faut vous faire connaître et on ne va pas tarder à vous proposer des emplois à l'étranger extrêmement bien payés. Et attendant, on doit vous donner en Tunisie les moyens à vous connecter gratuitement à internet afin de lire aussi des livres informatiques et scientifiques numériques (digitales) sur votre ordinateur, ....

L'Etat tunisien ne peut pas créer en quelques mois 250000 nouveaux emplois pour nos diplômés en chômage. Au contraire, il faut que nos chômeurs académiciens créent des entreprises afin de faire fonctionner l'économie du pays. Il n'y a pas que les mathématiques, l'informatique et les technologies modernes. Nos chômeurs académiciens peuvent s'engager par exemple dans l'hydro culture et l'aquaculture. Ils peuvent ainsi révolutionner l'agriculture tunisienne. Ils n'ont besoin ni de terrains agricoles et ni de terres fertiles. L'agriculture sans terre ne nécessite que le bon sens et la bonne volonté. On peut devenir un riche paysan sans posséder de terrains agricoles et de bétail.

Il faut que nos chômeurs académiciens soient capables de s'investir à fond dans toutes sortes de projets même s'ils n'ont rien avoir avec ce qu'ils ont appris auparavant. Et pour cela, il faut leur donner la possibilité de se connecter gratuitement à Internet afin de créer une communauté tunisienne virtuelle à l'échelle internationale. L'Etat Tunisien est dans l'obligation de financer et d'organiser cette communauté virtuelle qui groupera l'intelligence tunisienne.

On n'a pas encore réalisé l'importance d'Internet pour la création de l'emploi en Tunisie. En effet, nous avons 250000 chômeurs académiciens d'une grande intelligence mais qui manquent d'inspiration afin de lancer leurs propres projets. Et pour cela il est impératif de se ressourcer et de s'inspirer sur Internet. Le web est un univers sans limites pour notre inspiration' Et oui, même les plus créatifs ont souvent besoin d'inspiration. L'idée n'étant pas de copier, de plagier ou de dupliquer, mais simplement de trouver des pistes d'inspirations qui pourront engendrer nos élans créatifs. Réjouissons-nous : Internet est là pour nous aider !

Jamel

Une chanson pour tous ceux qui veulent aller toujours plus haut:
https://www.youtube.com/watch?v=owtiI5_lXm4

Dr. Jamel Tazarki
| 28-01-2016 19:36
Il est temps que le Tunisien s'engage dans des communautés scientifiques informelles sur internet, qui satisfont à son aspiration d'être reconnu en tant que scientifique, avec ses convictions propres. L'efficacité se mesure dans ces communautés à la capacité de créer des solutions ou d'analyser des problèmes de manière autonome.

La question qui se pose, est comment permettre aux (académiciens) Tunisiens d'accroître leurs ressources collectives nécessaires afin d'améliorer leur savoir et leur vie. Le moyen le plus efficace et le plus souple sont les réseaux de communication qui permettent à l'information de circuler depuis et vers la communauté tunisienne et peuvent ainsi renforcer nos ressources collectives. Internet répond bien à une telle vision. C'est en effet un véritable "média" de communication. Il peut être intégré dans une grande diversité de projets ayant des objectifs tels que la participation, la formation, l'éducation, la recherche participative, l'assistance technique et l'appui institutionnel. En somme, cet outil présente un réel intérêt pour le développement de notre pays.

Lorsqu'un projet fait intervenir des personnes qui ont besoin de communiquer et de partager de l'information par-delà les distances géographiques et les catégories sociales, entre des organisations et des systèmes de production, il devient nécessaire de mettre à leur disposition des systèmes flexibles de communication et de diffusion de l'information, qui sont Internet.

Les résultats des projets Internet ne sont pas seulement humains et sociaux mais aussi techniques et scientifiques. Internet est fondamentalement un outil qui permet de renforcer le savoir humain. Ainsi, les résultats assignés à un projet Internet devraient être mesurés en termes d'amélioration de l'accès au savoir et de sa diffusion. Il faut montrer à nos académiciens comment tirer parti de la souplesse d'Internet afin de satisfaire leurs besoins d'information et de communication pour atteindre leurs objectifs de développement.

Les interactions entre les individus à l'échelle internationale représentent le plus fort potentiel d'évolution que les nouvelles technologies de l'information et des communications permettent, voire imposent de prendre en compte à l'échelle planétaire. Il est temps d'aller au-delà des limites des frontières nationales pour se pencher sur une autre voie, la richesse d'innovation des échanges interhumains sans les contraintes inutiles de la race et du pays d'origine. Nous allons vers un monde plus collaboratif et responsable.

Quand les contraintes d'interactions entre individus dans une entreprise ou dans une communauté close n'ont pas de sens par rapport à ce qu'il est désormais possible de faire au dehors, elles sont alors perçues davantage comme des freins.

Il faut s'adapter à la culture du coopératif et du partage sur le développement de nos projets technologiques et sociaux sur Internet. Il s'agit d'aller beaucoup plus loin à présent. Le dialogue et l'interaction sont une nécessité à l'évolution non seulement de notre société mais aussi de ceux des pays du nord et de la race humaine en général. Il va falloir repenser la vie sociale et internationale en réseaux inter-reliées par les outils de la mobilité, du travail coopératif et du partage de la connaissance.

Je fais appel par cette occasion à tous les académiciens tunisiens de participer à partir de la Tunisie et via Internet à des projets scientifiques à l'échelle mondiale.


Jamel