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Les ouvriers de l'hôpital régional de Ben Arous en grève
18/01/2016 | 11:11
1 min
Les ouvriers de l'hôpital régional de Ben Arous en grève

 

Les ouvriers de l’hôpital régional de Ben Arous ont entamé une grève de trois jours à partir d’aujourd’hui 18 janvier 2016 suite au refus de leurs revendications professionnelles et sociales, tout en exigeant la réouverture du service d’urgences et d’enfants.

 

Mohamed Sghaier, le secrétaire général du syndicat de l’hôpital a souligné sur les ondes de Mosaïque FM, aujourd’hui 18 janvier 2016, que l’hôpital régional de Ben Arous se trouve confronté à une demande croissante des patients alors qu’il manque des moyens nécessaires pour les accueillir. 

 

« L’hôpital a un déficit notable de soins et de biens médicaux. La situation à l’hôpital de Ben Arous est catastrophique. Nos revendications sont légitimes par rapport à la situation des ouvriers à l’hôpital.» a-t-il déclaré.

 

E.B.

 

 

18/01/2016 | 11:11
1 min
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Commentaires (2)

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HAMMA JERIDI
| 19-01-2016 09:33
C'est malheureux ce que font les tunisiens amoureux de la grève, au point qu'elle est devenue une sorte de drogue. Ils ne peuvent plus s'en passer. C'est la délire, c'est honteux. Notre pays passe par une situation catastrophique sur tous les plans et nos amis de la santé, qui ont la chance d'avoir un travail respectable, alors que des milliers de diplômés attendent avec impatience une occasion d'emploi. C'est le non sens. La grève est devenue pour un grand nombre de citoyens, l'arme facile, c'est une vraie drogue ou épidémie qui risque de ravager notre chère nation et la rêve de nos enfants. Le pays est en train de s'endetter pour pouvoir se nourrir, alors que la moitié des fonctionnaires et des travailleurs du secteur privé, guidés par des caprices ou de gestations non suffisamment réfléchies des syndicats, faisant des démonstrations de force, bloquent le travail et font plonger le pays dans la misère. Il faut travailler et revendiquer et non faire le contraire. Où allons nous? Pauvre Tunisie qui est en train d'être sacrifiée par ses propres enfants. Pensons à autre chose que la grève, notre pays ne supporte plus cette escalade et cette démonstration de force.
Il faut travailler et sacrifier pour que notre pays puisse répondre aux revendications et aux améliorations demandées. Soyons conscients en ce que nous faisons, l'arbre ne peut pas donner ses fruits instantanément, il faut savoir patienter et ne pas tuer la poule aux oeufs d'or. Selon cette allure des drogués de la grève, des Sittings et des blocages, le pays n'ira pas très loin et tout le monde sera sans doute perdant. Réveillons nous avant que cela ne soit trop tard???.

Abdel
| 18-01-2016 13:37
Ou est Mr le Ministre de la Sante' ? Il s'occupe des problemes de Nidaa et de son propre positionnement au Parti et au Gouvernement ? Il devrait resoudre les problemes des Hopitaux et des citoyens malades aulieu d'etre tous les jours sur les plateaux de TV pour soigner son image Personnelle . EGOISME EXAGERE' ?