Le pouvoir en tunisie cherche sans espoir un preneur, les tunisiens aussi, c votre occasion, presenter vous a la tete d un nouveau parti sans LES CHABBI et vous allez etre surprise de la reaction positives des tunisiens qui ne cherche que l espoir loin des freres musulmans et des rcdistes ou autre profiteurs. Presentez vous et le pouvoir viendra a vous

Le parti Al Joumhouri a examiné, hier, samedi 16 janvier 2016, à Sousse les préparatifs pour son congrès, prévu avant fin 2016, ainsi que les prochaines élections municipales.
La réunion des cadres du parti s’est penchée sur les préparatifs des prochaines municipales et la situation générale dans le pays en cette étape délicate que traverse la Tunisie, a dit Maya Jribi, secrétaire générale du parti. Et d’ajouter que son parti commence à retrouver sa santé et qu’il connait, actuellement, le retour d’un grand nombre de ses cadres et militants.
«La situation dans le pays requiert la mise en œuvre d'un programme axé sur trois priorités: le développement, les libertés et la sécurité », a-t-elle précisé. Le congrès du parti prévu avant fin 2016 accordera une place de choix à la femme, aux jeunes et la modernité, a-t-elle encore assuré.
Concernant l'alliance Nidaa-Ennahdha, Maya Jribi a estimé que les Tunisiens ont été victimes du "vote utile".Chaque parti a appelé à voter pour lui, dans l'unique but que l'autre n'accède pas au pouvoir, a-t-elle indiqué.
S.H (Selon TAP)

Commentaires (15)
Commenterc est votre occasion personelle, les chabbi sont grilles
Le pouvoir en tunisie cherche sans espoir un preneur, les tunisiens aussi, c votre occasion, presenter vous a la tete d un nouveau parti sans LES CHABBI et vous allez etre surprise de la reaction positives des tunisiens qui ne cherche que l espoir loin des freres musulmans et des rcdistes ou autre profiteurs. Presentez vous et le pouvoir viendra a vous
oui vivement le retour du PDP
s'approcher des islamistes pour etre consensuel etait une forme de moderation et c'etait e premier avec el etakattol qui ont compris qu'il fallait compose avec la realite, pourtant c'etait l'argument pour les supprimer d la course des elections
ensuite avec toute l'indescence du monde la premiere chose qu'avait fait les detracteurs du jomhouri c'etait de revenir sur la demarche justement du jomhouri
haram aalikom hlaal aalina
Mutation
Il faut comprendre que le "Jomhouri" est grillé, cela ne sert à rien d'essayer de redorer le blouson. ("èch tanfa3 ettabssima...ba3d el mahabba oufèt!).
Je vous conseille de faire un nouveau parti, dont vous serez à sa tète (et surtout évitez à mon avis d'intégrer M. Chabbi Junior, car lui aussi est grillé);
Essayez de le meubler le plus possible de jeunes, intelligents, leaders, et percutants, misez sur la jeunesse et vous allez voir le résultats aux prochaines élections.
Bon courage.
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Maya, relève toi !
vous êtes la Marianne de Tunisie
Vous êtes l'une des rares femmes politiques les plus sincères et les plus patriotes. Je vous considère comme la Marianne de Tunisie et j'admire votre courage. vous avez tout donné à la Tunisie, sans demander une compensation comme beaucoup d'autres qui n'ont même milité pour la Tunisie, mais pour la Omma islamiya et qui exploitent leur militantisme comme un fonds de commerce. Je ne suis pas toujours d'accord avec les options de votre parti et je considère que vous payez terriblement le prix de votre association avec les Chebbi.
Je pense que vous pourrez avancer beaucoup plus vite si vous trouvez le moyen de prendre votre envol toute seule, avec d'autres hommes et femmes sincères qui ont une grande confiance en vous.
Avec mes respects et mes hommages.
Maya Jribi, une grande militante
Malgré le harcèlement incessant dont il était l'objet, son siège, encerclé nuit et jour par la police, était le lieu de rencontre de tous les opposants et des opprimés; de Mustapha Ben Jaafar à Moncef Marzouki, de Radhia Nasraoui à Samia Abbou. Les islamistes y trouvaient refuge pour faire entendre leur voix. N'est-ce pas Ali Laarayedh, Zied Doulatli et autres?
Maya Jribi, Néjib Chebbi, rachid Khéchana, Mouldi Fahem n'hésitaient pas à chaque fois, à dénoncer haut et fort, la répression du régime de Ben Ali, la corruption des Trabelsi et autres proches du pouvoir. Ils prenaient la défense des dirigeants d'Ennahdha qui, ironie du sort, se sont retournés contre eux après la Révolution.
Je me souviens que la grande militante Maya Jribi entourée des militants de son parti, est allée jusqu'à braver le dispositif sécuritaire musclé pour tenter d'entreprendre une marche protestataire sur l'avenue Bourguiba. Elle avait eu le courage de le faire au plus fort de l'hégémonie du système Ben Ali.
Pendant de longues années, les dirigeants du PDP ont sillonné de long en large toutes les régions du pays et, partant, sont au fait des problèmes qui se posent sur tous les plans. Ils sont au fait de tous ces dossiers et ont des programmes pour y faire face et contribuer à sortir le pays de la crise, contrairement à ceux qui ont pris le train en marche et ont profité de la Révolution pour servir leurs intérêts partisans et personnels sans se soucier de la situation des millions de Tunisiens qui ploient encore et davantage sous le chômage, la marginalisation et la pauvreté.
N'en déplaise aux opportunistes et aux intrus, la Tunisie a un besoin pressant de militants vrais et sincères de la trempe de Maya Jribi et Néjib Chebbi.
Les Tunisiens se doivent de reconnaître leur mérite et leur rendre justice.