
Lors de son passage à l’émission de « Mella N’har » animée par Aïda Arab, sur les ondes de Shems Fm, aujourd’hui vendredi 8 janvier 2016, Abdelhamid Jelassi, vice-président du parti Ennahdha, a reconnu l’existence d’un manque de communication entre la direction et la base du mouvement.
M. Jelassi a été franc en indiquant que les militants de base ressentent un manque de proximité, d’où la nécessité d’un important travail en profondeur, notamment au niveau du dialogue, ce qui exige des efforts accrus de la part des dirigeants qui doivent se mettre au diapason de l’étape.
Abdelhamid Jelassi ajoute qu’il n’est pas aisé de muter de la phase de la résistance et du militantisme sous la dictature à celle de la construction démocratique, avant de préciser que les soubresauts constatés au sein de Nidaa Tounes sont compréhensibles. Ceux-ci sont dus au jeune âge de ce parti, alors qu’Ennahdha, plus ancien et plus structuré, parvient à régler ses différends à l’intérieur même du parti.
S.H
Commentaires (7)
CommenterLa base de Nahda existe, celle de Nidaa introuvable
@ waf-waf : Excellent!
Bonne journée
L'ISLAMISME MENE A LA RUINE DE LA TUNISIE
Encore là ?
Ecrit par A4 - Tunis, le 31 janvier 2014
Arrogants, ils se croyaient vainqueurs
Incompétents, les voilà vaincus
Ils ont fini, mais avec lenteur
Par être presque enfin convaincus
Que l'on ne peut être à la hauteur
Quand on a la haine comme seul vécu
Frustrés, ne voyant plus les limites
Affamés et jamais rassasiés
Ils ont tenté mais sans réussite
Une greffe bizarre de vieux chameliers
D'un chardon sec, une plante maudite
Sur notre vert rameau d'olivier
Sanguinaires, ils n'ont fait que du mal
Stupides, ils voulaient se faire un nom
Guidés par un vil instinct bestial
Ils ont envoyé leurs gorillons
Descendre dans le froid matinal
L'ami moustachu au c'ur de lion
Qu'espéraient-ils, ces haineux bipèdes
Ces ignorants atteints de myopie
Que l'aigle royal de nos pinèdes
De nos hirondelles et chants de pies
Tombe amoureux de leur guenon laide
Ses feuilles mortes et eaux croupies ?
Qu'espéraient-ils, j'aimerais savoir
Que l'on me dise en toute clarté
Comment ces ignares aux idées noires
Vantant la mort en déchiqueté
Peuvent-ils parler à l'auditoire
De liberté ou de dignité ?
Voilà qu'ils s'en vont, qu'ils quittent la scène
Nous voilà épuisés mais vainqueurs
Les voilà partis, c'urs pleins de haine
Comme partent les chiens aboyeurs
En traînant leur gourou, sa bedaine
Et son titre de roi des tueurs !
Il dévoile en partie les peines subies par La Tunisie.
D'abord les militants de base dont ils parlent, sont tous défunts, et qui sont des Ulémas, de vrais Cheikhs et d''éminentes personnalités ; ils n'étaient pas concernés par ce devenu pseudo parti qui ne s'est formé, par la suite, sous un autre nom de nahdha que lorsque quelques membres (la plupart jeunes sauf Gnannouchi le refoulé à cause de ses frasques inhumaines) partirent vers Paris et Londres en tant que refugiés politiques.
Le nom est improvisé, nahdha, veut dire « renaissance » dont ils n'espérèrent aucune renaissance, au pays, que la renaissance de leurs comptes bancaires.
Ces individus, proches de parentés et issus en majorité d'une ou deux mêmes villes du sud (de plus les plus mauvais de ces dites villes), ont été engagés par les occidentaux, qui préconisaient un autre remplaçant à Ben Ali, et ce pour réaliser leur abominable objectif celui de mettre main basse sur le pétrole libyen, tout en promettant l'éden pour leurs recrutés en question.
Donc de narrer des expériences ou d'anciens cela n'a aucun sens, ni une justification pour essayer de dégrader nida tounis (ceci démontre son dédain et à vouloir trouver une fausse distinction à son parti. Toutefois les données changèrent ces jours-ci sur le plan international, de même que les responsables, ce qui mena ce parti vers l'inconnu. Se trouvant ainsi entre le marteau et l'enclume, la traversée du désert commença, surtout que le peuple tunisien les renia par des élections démocratiques, et les duperies d'utilisation de l'Islam comme fonds de commerce à monnayer avec les citoyens, fut découverte par tout le monde, et leur côte chuta dès 2014 d'une façon claire. La Tunisie, le Président de la République, le chef du gouvernement se trouvèrent ainsi devant un dilemme épineux (malgré les interventions internationales de leurs responsables actuels conscients du mal causé par leurs prédécesseurs à ce pays), surtout que ce présumé patri causa plus qu'un tracas et des problèmes au pays (est-cela l'expérience dont il parle ?), soit lors de la gouvernance provisoire (assassinats, incitations saugrenues de toutes sorte, des connivences et des corruptions inadmissibles et incorrectes, ou actuellement, la situation se dégrade en Tunisie, justement en raison de cette bande qui a survécu suite aux manigances, corruptions et duperies des élections, et qui ne veut pas lâcher ce qui ne pourrait plus (vu les antécédents) être récupérable. Comme si ce parti, devenu un fardeau à La Tunisie, devrait figurer coute que coute ; c'est aberrant, il ne peuvent vivre en Tunisie qu'en devant des responsables alors qu'ils ont des propriétés soit en Tunisie ou ailleurs, sans compter les affaires et les sociétés fructueuses en leur nom ou au nom de leurs proches ; et cherchent à intégrer des mieux instruits (quoique incompétents) pour dissimuler leur insuffisances et leurs lacunes d'enseignement et d'ignorance de la religion et de ses principes adéquats.
Voilà l'une des raisons des peines subies, soit par la majorité des tunisiens ou des partis (dont Nida Tounis), et qui se répercutent, depuis déjà cinq de souffrance, sur l'évolution et le travail de La Tunisie qui continu à supporter les malheurs après avoir supporté amèrement ceux du R.C.D. ; tout cela pour que ce parti persévère.
Et ils osent critiquer et dénigrer les combats pour le progrès et l'indépendance menés pendant des siècles, de la part des tunisiens et de leurs illustres et éminentes personnalités. C'est incroyable et inadmissible !
base??
Ghannouchi et son Ennahda sont la bosse de la peste à la tête et au corps de la Tunisie!!!
Et il a aussi pas compris que le peuple tunisie ne veut pas que l'Ennahda partage le pouvoir qu'il en ont plein le dos.
Le salafisme a déjà détruit assez dans la Tunisie.!!!