La présidence de la République a annoncé, mardi 22 décembre 2015, la prorogation de l’état d’urgence pour deux mois, décrété sur tout le territoire tunisien après l'attentat terroriste du 24 novembre contre un bus de la Garde présidentielle ayant fait 12 victimes.
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a décidé la prorogation de l'état d'urgence sur tout le territoire pour deux mois, soit jusqu'au 21 février 2016.
I.L.
L'état d'urgence prorogé jusqu'au mois de février 2016
La présidence de la République a annoncé, mardi 22 décembre 2015, la prorogation de l’état d’urgence pour deux mois, décrété sur tout le territoire tunisien après l'attentat terroriste du 24 novembre contre un bus de la Garde présidentielle ayant fait 12 victimes.
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi a décidé la prorogation de l'état d'urgence sur tout le territoire pour deux mois, soit jusqu'au 21 février 2016.
Avec les alertes des US et de la GB,voila BCE qui donne le KO final a la saison touristique.les ennemis de la transition de la Tunisie sont decides a eteindre tout espoir de changement democratique,mais travaillent pour le retour de la dictature familiale Essebsi/Ghannouchi
Non! C'est nos frères libyens qui semblent tenir les rênes et mener leur pays vers un avenir meilleur; ceci ne fait pas la joie de certains qui espèrent toujours se voir accorder le butin d'Ali Baba.
Quel rapport diront certains ?
- Pourtant selon les événements survenus depuis 1989 à ce jour tout est clair.
Toujours rien compris (en faisant semblant de ne pas comprendre) que veut 1989 peut-être en changeant le 1er neuf par un sept.
- Pourtant on est loin des l'analyse de John Wayne ; un contexte tout à fait différent.
Se sont des bonnes nouvelles et pour que les chacals féroces seront bien visibles et ils ne pouvons pas se cacher .je rêve d'avoir la Tunisie toujours en état d'urgence pour la garantie d'un situation meilleur .
En quelque sorte c'est la mini-guerre qui continue pour deux mois encore et peut-être pour plus longtemps. Une guerre qui oppose deux clans. D'un côté le clan gouvernemental, mieux armé, bien équipé par toutes les puissances occidentales, ces mêmes puissances qui « adorent » la Tunisie, une terre d'accueil, d'hospitalité, de jasmin, de soleil et surtout pacifique, c'est-à-dire rendue, corps et âme à l'Occident.
Chacune de ces puissances trouve bien son compte. Pour tous les dons et les générosités qu'elles ne cessent de faire pleuvoir sur les nouveaux-anciens dirigeants du pays, elles ont fini presque par les blinder lui mettre entre les mains une machine de violence terrifiante. De l'autre côté se trouve le clan composé de « terroristes » ne disposant, en fin de compte, en tout et pour tout, que de quelques grenades ou explosifs, de quelques kalachnikovs et surtout de la clandestinité ou des grottes sur les montagnes le tout avec un atout considérable ; ils mettent leur propre vie dans la bataille. Ce qui n'est pas le cas dans l'autre clan gouvernemental. Aucun des dirigeants ou des responsables n'est prêts à mettre de son côté, sa propre vie ni même une infime partie de son patrimoine ou de renoncer un tout petit peu au luxe et confort extravagant de leur train de vie.
Entre les deux se trouve, pris en otage, le peuple. Chacun des deux clans essaye d'attirer le peuple vers ses mirages avec des promesses d'une vie meilleure. En tout cas quel que soit le gagnant de cette mini-guerre ou dans une grande guerre, le sort du peuple ne changera jamais tant que les infrastructures actuelles de la société ne soient pas radicalement arrachées et remplacées par d'autres infrastructures n'ayant aucune relation avec le Dieu Marché et tous ses monstres. D'ailleurs ces mêmes infrastructures sont bien celles qui ont enfanté les uns et les autres dans ces deux clans.
Ca n'est plus à comprendre.
Dans la constitution il devrait être d'autres chemins pour lutter contre le terrorisme!
Toujours l'état d'urgence n'attire pas des touristes,ca fait seulement du peur!
