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Béji Caïd Essebsi s'entretient avec le président du conseil du gouvernement libyen
21/12/2015 | 14:26
1 min
Béji Caïd Essebsi s'entretient avec le président du conseil du gouvernement libyen

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, s’est entretenu lundi 21 décembre 2015 au palais de Carthage avec le président du conseil du gouvernement libyen, Faïz Sarraj.

 

Au cours de l’entretien, M. Sarraj a exprimé sa gratitude à la Tunisie pour le soutien qu’elle a présenté aux différents protagonistes libyens ainsi que pour son rôle dans l’aboutissement à un gouvernement de consensus national en Libye. Il a également souligné, auprès du chef de l’Etat, l’importance de construire une solide coopération entre les deux pays, dans les différents secteurs.

 

E.Z.

21/12/2015 | 14:26
1 min
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Commentaires (4)

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NAFOUSY .
| 21-12-2015 22:09
Marzouki il connu bien le Maroc ou est bien traité car sa mère est une marocainne selon les médiats non crédibles .
ne le pas traiter comme les fils nobles de Trablsi qui ont la relation sanguine avec les Libyens c'est une fierté pour eux et la certitude qu'ils sont bien respectés et surtout dans la périphérique de Ben Ghazi ou leur tribut ombreuse et pesante .

alouch
| 21-12-2015 17:43
c. un provisoire comme le marocain tartour

kameleon78
| 21-12-2015 15:32
Dans ce pays, il y a deux gouvernements dans deux régions qui se haïssent mutuellement, la Tripolitaine et la Cyrénaïque, l'une est proche de la Tunisie et l'autre de l'Egypte et pas seulement géographiquement, ce sont deux communautés qui n'ont rien à voir l'une avec l'autre au niveau de leur culture, donc il n'y aura jamais une qui prendrait le dessus sur l'autre et je pense qu'à terme la Libye comme l'Irak sera démantelée. Béji perd son énergie pour rien à les rapprocher, ils se haïssent.

Bourguibiste nationaliste
| 21-12-2015 14:35
SOYONS TRES PRUDENTS: KARZAÏ AVAIT MAL FINI EN AFGHANISTAN
J'invite le gouvernement tunisien à la grande prudence car M. Sarraj, certes adoubé par la communauté internationale, ne représente que lui-même et n'a aucune assise sociale ni politique en Libye, en dehors de quelques centaines d'individus cooptés par l'ONU pour constituer la fameuse et fumeuse société civile. J'invite donc à la grande prudence dans un dossier que la diplomatie tunisienne maîtrise très mal.