L’UGTT annonce avoir accepté, à contre cœur, l’offre du chef du gouvernement dans les négociations salariales du secteur privé. « Une offre ne répondant pas aux revendications des travailleurs ni à leurs aspirations ».
Dans une déclaration samedi 19 décembre 2015 à la TAP, Houcine Abassi, secrétaire général de l’UGTT, explique que son organisation avait accepté la proposition soumise par le gouvernement par amour du pays et par conscience de la phase si délicate qu’il traverse.
Il est à indiquer que le gouvernement avait arbitré ces négociations qui opposent le patronat à la centrale syndicale. Un arbitrage que Houcine Abassi dit avoir consenti par « respect » au gouvernement, mais aussi du fait du blocage du processus suite aux divergences entre l’UTICA et l’UGTT.
E.Z.
Négociations salariales : L'UGTT a accepté à contre cœur l'offre du gouvernement
L’UGTT annonce avoir accepté, à contre cœur, l’offre du chef du gouvernement dans les négociations salariales du secteur privé. « Une offre ne répondant pas aux revendications des travailleurs ni à leurs aspirations ».
Dans une déclaration samedi 19 décembre 2015 à la TAP, Houcine Abassi, secrétaire général de l’UGTT, explique que son organisation avait accepté la proposition soumise par le gouvernement par amour du pays et par conscience de la phase si délicate qu’il traverse.
Il est à indiquer que le gouvernement avait arbitré ces négociations qui opposent le patronat à la centrale syndicale. Un arbitrage que Houcine Abassi dit avoir consenti par « respect » au gouvernement, mais aussi du fait du blocage du processus suite aux divergences entre l’UTICA et l’UGTT.
Les quatre chevaliers récipiendaires du Graal (Prix Nobel de la Paix (sociale)) sont en fête, et il serait con de la part de M. Abassi de demander 'plus qu'il ne faut' au profit d'une classe qui ne vaut rien, et qui doit, s'il le faut, crever et alléger le poids insupportable de la démographie...Et surtout, il ne faut pas fâcher nos hommes (et femmelettes d'affaires) en leur retranchant quelques sous: ils ne sauraient alors se sentir assez riches pour se payer un Whisky ou l'offrir à un ami qui avait trop bossé pour empêcher un glissement vers le chaos social...Vous m'avez compris?
De quoi s'agit-il ? C'est quoi cette offre ? S'agit-il de faire payer les augmentations salariales dans le secteur privé par l'Etat ? Si c'est le cas, c'est vraiment désolant ! Encore une fois, c'est le pauvre contribuable qui paye pour les riches ! Bien qu'ayant un legs (1947), L'UTICA est le chouchou du pouvoir. Elle est, comme toujours, choyée par le pouvoir en place. Ses membres n'ont pas acquis l'art de négocier ; ils ne pensent qu'en chiffres arables ! Les "hommes d'affaires" extirpent la plus-value, mais ne présentent qu'un salaire de misère qui arrive, à peine, à "renouveler la force de travail. De surcroît, rares sont eux qui payent les impôts, bien qu'ails aient les mêmes facilités pour gagner des crédits bancaires.
Enfin une entente. Maintenant, pensons au Développement de notre pays, le début de l état de droit et la fin de la crise. Prenons l exemple économique de la Turquie, et non son expérience politique.
