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Conseil de la Choura : Noureddine Bhiri reconduit à la tête du bloc parlementaire d'Ennahdha

Le mouvement Ennahdha a annoncé, dimanche 13 décembre 2015, que le Conseil de la Choura a décidé de renouveler sa confiance en Noureddine Bhiri, en tant que président du bloc parlementaire du parti à l’Assemblée des représentants du peuple.
Les députés qui avaient présenté leur candidature à la présidence du bloc parlementaire sont Yamina Zoghlami, Badreddine Abdelkafi, Sahbi Atig, outre Noureddine Bhiri candidat à sa propre succesion.
Les travaux de la 40ème session du Conseil se sont tenus samedi afin de passer en revue la situation générale dans le pays et d’examiner les préparatifs du prochain congrès du mouvement.
I.L
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06/05/2025
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Commentaires (5)
CommenterAUCUN INTÉRÊT
| 14-12-2015 13:21
Ah ! Oui ! Bien sûr ! Il a bien voté pour la réduction des taxes à l'importation des alcools de luxe, pour les aider à soûler la gueule pour moins de pognons. Par contre il serait pour l'austérité à la caisse de compensation.
Normal !
| 14-12-2015 13:08
Avec ses 100 mille kamikazes ...
La planque en attendant de s'attaquer à quiconque.
| 13-12-2015 20:29
Avec ou sans ce pseudo-parti qui n'a aucun rôle, et qui ne fait rien, rien ne change.
Sauf de provoquer des embrouilles et des sabotages. Et surtout de regarder avec un 'il lâche, avec une indifférence étrange, lorsqu'il s'agit d'un malheur qui survient dans le pays.
Comme des assassinats insensés, des grèves anarchiques, des troubles inadmissibles, des conflits impensables et surtout des déficits économiques dus à des coups bas et des interminables sabotages ; complètement incurieux de leurs origines.
Alors là, apparemment seules les passivités et les nonchalances, qu'on peut lui qualifier. Sinon aucune utilité ni à l'ARP ni ailleurs ; les responsables désignés par ladite réconciliation, sont présents pour la forme.
D'ailleurs, ce n'est pas parce qu'ils veulent le mal pour le pays, pour prouver les déroutes des autres partis, mais certainement, quelles que soient d'autres données, c'est qu'ils n'ont aucune compétence pour assumer des tâches qui ne peuvent jamais leur revenir.
Donc avec la planque (connue pendant quatre ans outre les énormes bévues) rien ne tronque. Et le grand problème dans tout cela, et malgré les contraintes qu'ils occasionnent, ils s'accrochent avec cet ultime espoir, croyant pouvoir dupliquer leurs précédentes arnaques, refusables devant la majorité du peuple avertie et éveillée.
Sauf de provoquer des embrouilles et des sabotages. Et surtout de regarder avec un 'il lâche, avec une indifférence étrange, lorsqu'il s'agit d'un malheur qui survient dans le pays.
Comme des assassinats insensés, des grèves anarchiques, des troubles inadmissibles, des conflits impensables et surtout des déficits économiques dus à des coups bas et des interminables sabotages ; complètement incurieux de leurs origines.
Alors là, apparemment seules les passivités et les nonchalances, qu'on peut lui qualifier. Sinon aucune utilité ni à l'ARP ni ailleurs ; les responsables désignés par ladite réconciliation, sont présents pour la forme.
D'ailleurs, ce n'est pas parce qu'ils veulent le mal pour le pays, pour prouver les déroutes des autres partis, mais certainement, quelles que soient d'autres données, c'est qu'ils n'ont aucune compétence pour assumer des tâches qui ne peuvent jamais leur revenir.
Donc avec la planque (connue pendant quatre ans outre les énormes bévues) rien ne tronque. Et le grand problème dans tout cela, et malgré les contraintes qu'ils occasionnent, ils s'accrochent avec cet ultime espoir, croyant pouvoir dupliquer leurs précédentes arnaques, refusables devant la majorité du peuple avertie et éveillée.
C'est pour pousuivre les explois d'ENNAHDA,
| 13-12-2015 13:29
1. Ennahdha a refusé le Projet de Loi de Protection de la Révolution,
2. Ennahdha a refusé le Projet de Loi sur la Justice transitionnelle,
3. Ennahdha a trahi les tunisiens, en s'alliant à l'ancien régime RCD, sous sa nouvelle étiquette Nidha Tounes.
4. Ennahdha a approuvé la loi de réconciliation
5. Ennahdha a approuvé la loi de finance 2016
Aujourd'hui, si Ennahdha s'aplatit devant Béji Caied Essebsi, c'est uniquement pour rester au Pouvoir, même symboliquement, et échapper à la prison.
2. Ennahdha a refusé le Projet de Loi sur la Justice transitionnelle,
3. Ennahdha a trahi les tunisiens, en s'alliant à l'ancien régime RCD, sous sa nouvelle étiquette Nidha Tounes.
4. Ennahdha a approuvé la loi de réconciliation
5. Ennahdha a approuvé la loi de finance 2016
Aujourd'hui, si Ennahdha s'aplatit devant Béji Caied Essebsi, c'est uniquement pour rester au Pouvoir, même symboliquement, et échapper à la prison.
OSLO OU LE SUMMUM DU SOUS-DEVELLOPEMENT ET DE LA BASSESSE COLONIALE
| 13-12-2015 13:23
Depuis la révolution, les Tunisiens arborent gaiement ce que j'ai appelé le facies du sous-développement et de la recolonisation.
Il s'agit d'expressions de visage qui expriment un contentement et même une jouissance extrême en présence de blancs ou de sionistes véreux.
Des blancs et des néo-colons en compagnie desquels nos néo-indigènes semblent éprouver une espèce de plaisir ultime mêlé à un sentiment de sécurité.
Car pour les Tunisiens, les blancs même s'ils sont sionistes et machiavéliques comme John McCain, valent mieux et sont plus justes qu'un leader originaire de Sousse ou de Monastir.
Car le régionalisme et les haines intertribales, symptômes absolus de sous-développement, sont les tares et les maux qui poussent les peuples musulmans à se trahir et à trahir leurs leaders.
Sihème B., la gueuse négroïde au pantalon blanc moulant, a cultivé une haine pour Ben Ali toute sa vie car elle est originaire des oasis du Sahara Tunisien ou l'on passe sa vie a méditer sur le Simoun et les couchers de soleil en sirotant du thé, en attendant le touriste blanc a qui l'on exhibera des souvenirs mal confectionnés et des vipères du désert dans des paniers en oseille.
Il en est de même pour le Président Moncef M. dont la négritude et l'aspect négligé de pygmée, ont été ses facteurs principaux de motivation dans son militantisme qui l'a approché du régime féodal du Maroc, et fait haïr les régimes Républicains de Bourguiba et de Ben Ali qui l'ont éduqué.
Ce facies de réconfort et de servitude fut très bien illustré par Mehdi J. lorsqu'il se rendit à Washington pour y rencontrer un clochard des ghettos converti au sionisme nommé Obama.
«Missié ! Missié ! » avait l'air de crier notre Premier Ministre assis sur un fauteuil à la Maison Blanche, le visage jovial.
Mais il y a hélas mieux.
Comme lorsque BCE reçut George Soros au Palais de Carthage dans lequel jadis pensaient et méditaient de grand hommes comme Bourguiba le Bismarck Tunisien, et Ben Ali le Giap Tunisien, et quand notre faux Bourguiba serra a deux mains le dos courbé, la poigne moite et souillée de ce sioniste dégoutant qui rêve d'un monde Arabe détruit par l'islamisme, et d'un Israël qui deviendrait un grand Royaume comme dans la Bible.
Oslo fut toutefois une véritable consécration de cette recolonisation d'un peuple aussi bas que stupide, lorsqu'une délégation de fumistes et de faussaires ayant comme passion le dollar et non la Patrie, alla recevoir des tableaux d'honneur pour avoir vaillamment et au gré de tous, maintenu l'emprise islamiste sur la Nation Tunisienne.
Et notre beau monde a exhibé médailles et diplômes d'un air réjouit et disant a l'univers : « Nous sommes recolonisés ! Nous sommes enfin devenus blancs de peau ! »
Le clou de ce carnaval de bassesse dans une capitale Norvégienne embarrassée par tant de servitude, fut bien sur la sérénade du sous-développement hurlée par la Diva de la révolution du Jasmin.
D'une voix aussi aigue que le crissement des pneus d'une 404 bâchée, notre cantatrice de la bassesse a crié faim, famine, croutes de pain, et cartouches à une audience aussi glaciale qu'indisposée.
« Je mennnnnnnnnnnns comme je respiiiiiiiiiiiiire » semblait hurler a la mort notre chanteuse au visage triste comme une journée sans pain.
Hélas, il faut se rendre à l'évidence. La révolution Tunisienne a mis à nu la personnalité coloniale d'un peuple sans dignité.
Il y a aujourd'hui ceux qui vénèrent les sionistes de l'occident, et ceux qui vénèrent les Cheikhs véreux et riches d'Arabie.
Pendant ce temps, Nationalisme et intégrité font leur apparition dans les mouvements d'extrême droite qui florissent en France et en Amérique.
L'Occident a aujourd'hui ses General De Gaulle qui défendront leur Patrie avec honneur, pendant que les Tunisiens recolonisés continueront à vendre la leur.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Il s'agit d'expressions de visage qui expriment un contentement et même une jouissance extrême en présence de blancs ou de sionistes véreux.
Des blancs et des néo-colons en compagnie desquels nos néo-indigènes semblent éprouver une espèce de plaisir ultime mêlé à un sentiment de sécurité.
Car pour les Tunisiens, les blancs même s'ils sont sionistes et machiavéliques comme John McCain, valent mieux et sont plus justes qu'un leader originaire de Sousse ou de Monastir.
Car le régionalisme et les haines intertribales, symptômes absolus de sous-développement, sont les tares et les maux qui poussent les peuples musulmans à se trahir et à trahir leurs leaders.
Sihème B., la gueuse négroïde au pantalon blanc moulant, a cultivé une haine pour Ben Ali toute sa vie car elle est originaire des oasis du Sahara Tunisien ou l'on passe sa vie a méditer sur le Simoun et les couchers de soleil en sirotant du thé, en attendant le touriste blanc a qui l'on exhibera des souvenirs mal confectionnés et des vipères du désert dans des paniers en oseille.
Il en est de même pour le Président Moncef M. dont la négritude et l'aspect négligé de pygmée, ont été ses facteurs principaux de motivation dans son militantisme qui l'a approché du régime féodal du Maroc, et fait haïr les régimes Républicains de Bourguiba et de Ben Ali qui l'ont éduqué.
Ce facies de réconfort et de servitude fut très bien illustré par Mehdi J. lorsqu'il se rendit à Washington pour y rencontrer un clochard des ghettos converti au sionisme nommé Obama.
«Missié ! Missié ! » avait l'air de crier notre Premier Ministre assis sur un fauteuil à la Maison Blanche, le visage jovial.
Mais il y a hélas mieux.
Comme lorsque BCE reçut George Soros au Palais de Carthage dans lequel jadis pensaient et méditaient de grand hommes comme Bourguiba le Bismarck Tunisien, et Ben Ali le Giap Tunisien, et quand notre faux Bourguiba serra a deux mains le dos courbé, la poigne moite et souillée de ce sioniste dégoutant qui rêve d'un monde Arabe détruit par l'islamisme, et d'un Israël qui deviendrait un grand Royaume comme dans la Bible.
Oslo fut toutefois une véritable consécration de cette recolonisation d'un peuple aussi bas que stupide, lorsqu'une délégation de fumistes et de faussaires ayant comme passion le dollar et non la Patrie, alla recevoir des tableaux d'honneur pour avoir vaillamment et au gré de tous, maintenu l'emprise islamiste sur la Nation Tunisienne.
Et notre beau monde a exhibé médailles et diplômes d'un air réjouit et disant a l'univers : « Nous sommes recolonisés ! Nous sommes enfin devenus blancs de peau ! »
Le clou de ce carnaval de bassesse dans une capitale Norvégienne embarrassée par tant de servitude, fut bien sur la sérénade du sous-développement hurlée par la Diva de la révolution du Jasmin.
D'une voix aussi aigue que le crissement des pneus d'une 404 bâchée, notre cantatrice de la bassesse a crié faim, famine, croutes de pain, et cartouches à une audience aussi glaciale qu'indisposée.
« Je mennnnnnnnnnnns comme je respiiiiiiiiiiiiire » semblait hurler a la mort notre chanteuse au visage triste comme une journée sans pain.
Hélas, il faut se rendre à l'évidence. La révolution Tunisienne a mis à nu la personnalité coloniale d'un peuple sans dignité.
Il y a aujourd'hui ceux qui vénèrent les sionistes de l'occident, et ceux qui vénèrent les Cheikhs véreux et riches d'Arabie.
Pendant ce temps, Nationalisme et intégrité font leur apparition dans les mouvements d'extrême droite qui florissent en France et en Amérique.
L'Occident a aujourd'hui ses General De Gaulle qui défendront leur Patrie avec honneur, pendant que les Tunisiens recolonisés continueront à vendre la leur.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.