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Tunisie – Monastir : Saisie de tracts incitant au jihad dans un foyer universitaire
21/11/2015 | 11:45
1 min
Tunisie – Monastir : Saisie de tracts incitant au jihad dans un foyer universitaire

 

Neuf tracts incitant au jihad en Syrie ont été saisis jeudi dernier dans un foyer universitaire à Skanes (Monsatir), selon une déclaration à la TAP de Mourad Ben Salah, secrétaire général du syndicat régional des forces de l’ordre.

 

Une enquête a été ouverte pour déterminer la ou les personnes à l’origine de ces tracts et les poursuivre juridiquement, indique M. Ben Salah.

 

Par ailleurs, Chiheb Bouden, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a appelé à la vigilance et au renforcement des dispositifs de sécurité autour des établissements universitaires pour les protéger contre d’éventuels attentats terroristes.

 

Le ministre a indiqué, vendredi, que les circonstances nationales et internationales actuelles exigent une surveillance accrue des établissements en question « Ceux-ci pourraient être une cible pour les terroristes », a-t-il averti, selon l’agence TAP.

 

E.Z.

21/11/2015 | 11:45
1 min
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Commentaires (5)

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Mansour Lahyani
| 22-11-2015 12:27
Vous ne dites pas tout, BN ! Il paraît que ces tracts incitaient au nikah jihad, pas seulement au jihad !!! Comme quoi, les jihadistes manipulent à la perfection une des règles fondamentales du marketing : s'adresser à une cible en utilisant les médias adéquats. De fait, il fallait bien fournir à ces étudiantes qui s'ennuient ferme dans leurs dortoirs une bonne raison de fantasmer : quoi de mieux que le nikah el jihad (plus correct que le jihad ennikah) pour faire vibrer leurs fantasmes'

mizaanoun
| 22-11-2015 11:33
L'homme qui a lancé cet appel en 2011 aux jeunes tunisiens pour s'enrôler dans « les brigades internationales » qui sont acheminées, à travers la Turquie, pour aller combattre en Syrie, n'est autre que Ghanouchi.

La Syrie ou le régime syrien ne plaisait pas aux familles mafieuses du Golfe et particulièrement la Maison Saoud et par conséquent il ne plaisait pas aux usaméricaine et non plus à François Hollande qui voulait, comme ses successeurs, faire tomber un gouvernement arabe. Ça constitue le plus prestigieux trophée d'un locataire de l'Élysée. D'autant plus que la chute du gouvernement de Damas comblera de joie tous les Netanyahu.

Et curieusement il ne plaisait pas non plus au même Ghanouchi et son camarade Marzouki. Ils voulaient installer en Syrie leurs « Frères Musulmans syriens » au pouvoir à Damas.

Tous ont cherché à un remake libyen en Syrie et voilà ça fait cinq ans que les combats font rage et le gouvernement syrien et Bachar Al Assad sont toujours là bien debout et ce sont toutes les oligarchies du Golfe qui tremblent à présent et leurs protecteurs qui ne savent plus que leur faire. Le morbide Fayçal Saoud est mort sans voir la Syrie « libérée » comme il l'avait souhaité.

Le même Ghanouchi avait apporté sa « bénédiction » à l'attaque de l'OTAN contre la Libye tout comme le « philosophe » franco-sioniste Bernard Henri Levi. Aujourd'hui en Libye il n'y a plus rien que des boucheries entre les innombrables clans, et, leurs « bagarres » débordent de temps à l'un ou l'autre des pays voisins comme la Tunisie. Et avec un peu plus de chance ou de malchance les mêmes bagarres finiront bien par s'installer en Tunisie. Et ce qui se passe du côté de l'université de Skanès-Monastir n'est qu'un des différents signes avant-coureurs comptabilisés tous les jours par les professionnels du ministère concerné et chapeauté par l'octogénaire R.C., l'homme qui est toujours disposé à traquer à mort tout ceux qui osent s'opposer au régime en place sans jamais prendre en considération sa couleur.
Le fameux « Printemps » dont on a parlé à la veille de 2011 n'a fleurit nulle part. Partout où il est passé, jusqu'à présent il n'a donné lieu qu'au deuil et aux vagues de milliers d'expatriés qui cherchent refuge dans la « généreuse » Europe. Pourtant aucune de ces vagues ne s'est trompée de chemin et s'est dirigée vers le Golfe des milliardaires du pétrole.
De toute manière ce chaos général dans le monde arabe arrange parfaitement les stratèges de l'Empire. Un empire qui est totalement en faillite et semble s'accrocher à n'importe quoi pour éviter son naufrage inévitable. Un naufrage qui emportera, entre autres beaucoup d'individus de ces retardés congénitaux comme Ghanouchi en particulier

EL WOUAFI
| 21-11-2015 23:57
Votre ladite révolution est injuste et ce depuis sa parution c'est une erreur du siècle c'est ladite révolution qui générait les failles dans toutes les domaines c'est la catastrophe,cette révolution est un outil faite uniquement pour briser les résultats concrétisés par les sacrifices des hommes dignes et loyales à leur patrie la Tunisie .
mais en a une possibilité pour rattraper ce retard immense c'est d'obéir l'actuel Président Badji Caid Essebsi méme avec du silence et la certitude que le pays sortira de cette situation qui n'est pas digne il faut garder ce président pour ne pas rader la deuxième occasion comme la première occasion par ceux qui ont trahi le première Président sans tenir compte du résultat qui nous le vivront dans l'actuel Miroir Insulte SATAN c'est mieux pour vous
et dira la vérité sur la bonne gestion du passé et avant le 11 Janv 2011 le début du printemps noir avec ses mauvaises conséquences sur la société civile .
mois Vraiment je me suis trompé d'avoir mal traité mon ancien président Ben Ali et maintenant je suis réveillé après avoir constater ces failles qui sont pires que la période de Ben Ali c'est les années d'or que connait la Tunisie dans l'histoire et sans précédent .mois j'étais sur effet d'hypnotisme et maintenant je me suis réveillé comme j'ai décidé d'obéir mon actuel Président et je resterais en étroit avec lui sans dénigrement et je participe à la construction de mon pays la Tunisie la verte que je l'aimerais aujourd'hui et demain . Attention aux chacals féroces qui sèment la peur et les doutes entre le peuple mais grâce à bon dieux que les anciens policiers sont regagnés ces postes de services ils ont la capacité de contre carré ces chacals dans un bref délais .

takilas
| 21-11-2015 17:40
C'est à dire une dictature new-look; qui donne à ennahdha ce qu'il espérait (avec arrière-pensées mafieuse) depuis toutes qu'il commença à commettre toutes sortes de ses barbaries, soit les précédentes, ou les récentes.

The Mirror
| 21-11-2015 12:32
Maintenant, que notre révolution est foutue, que notre pays est dans l'anarchie, que l'Etat tunisien emprunte de l'argent pour payer les salaires de ses employés, que le banditisme est légalisé, maintenant, il est temps de poser la question : qui a conduit notre bel pays à cette situation moyenâgeuse.
Aujourd'hui, on fait vivre les tunisiens dans un quotidien soigneusement choisi, dans lequel un événement vient rapidement chasser un autre ; cela empêcherait le citoyen de réfléchir et de prendre un peu de recul.
Aujourd'hui, je peux avancer avec certitude, trois noms qui ont causé la décadence du pays :

' Rached Ghanouchi : en refusant en 2013 le Projet de Loi de Protection de la Révolution, Ghanouchi, Chef du parti Ennahdha au Pouvoir à cette période, devient le principal responsable du retour de l'ancien régime avec tout ce qui va avec,
' Samir Dilou : en refusant le Projet de Loi de la Justice transitionnelle, Dilou, Ministre des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle de 2011 à 2013, devient le principal responsable du retour des anciens tortionnaires du peuple tunisien,
' Hamadi Jébali : Jébali a fait un mauvais départ. En effet, dès sa désignation dans le poste de Chef du Gouvernement, et avant même de mettre les pieds au Palais de la Kasbah, Hamadi Jébali a déjà divisé les tunisiens en parlant de la sixième Khilafa. Dans son exercice du Pouvoir, Jébali dirigeait le pays avec des mains tremblantes. Pour chaque décision prise par Jébali, il suffisait que deux gamins crient dans la rue leur mécontentement, pour que Jébali revienne sur sa décision. Cette politique peureuse et hésitante de Jébali a coûté cher à la Tunisie, puisque l'Etat tunisien, en tant que autorité, a quasiment disparu.

Je pense en toute sincérité que, sans ces trois hommes, la Tunisie aurait méritée, sous l'élan de sa révolution, un destin tout autre.
Evidemment, je n'ai parlé là que des crimes stratégiques, qui ont détourné la Tunisie de sa révolution du 14 janvier 2011. Je ne m'attarderai pas sur les facultés de médecine que Abdellatif El Meki, ministre de la Santé, distribuait à droite et à gauche, comme s'il les sortait de ses poches, je ne m'attarderai pas non plus sur le nombre d'employés du ministère de l'Agriculture, qui est passé de 15 mille à 32 mille, sous le règne du ministre de l'Agriculture Mohamed Ben Salem, et j'en passe.