
Le chef du gouvernement, Habib Essid, a participé au sommet Europe-Afrique consacré au phénomène de la migration, qui s’est ouvert hier mercredi 11 novembre 2015, à la Valette, à Malte, avec la participation de plus de 50 pays, d’après un communiqué de la présidence du gouvernement.
Le phénomène de la migration représente l’un des sujets les plus préoccupants dans le monde aujourd’hui, à cause de sa croissance et de son intensification après l’arrivée de centaines de milliers d’immigrants syriens en Europe.
Les pays méditerranéens trouvent que la solution ne réside pas à empêcher les immigrants de franchir les frontières maritimes ou terrestres, mais plutôt à trouver des solutions plus efficaces qui aideront les pays du Sud à améliorer leurs conditions économiques et sociales.
E.S
Commentaires (4)
CommenterSyndrome Mzali
Il se plait dans ses voyages
C'est bien fait pour l'Europe !!!!!
La vidéo du taxiste est plus que parlante !!!
Mais les merdocrates occidentaux s'entêtent avec la syrie !!!!
Sauf l'Allemagne.
Des solutions?
J'en connais une: travailler.
Comme je l'ai dit déjà ici, j'ai travaillé 3 mois à Tunis, cet été. Je donnais des formations.
Alors, horaires d'été officiels: 8h > 13h, même en dehors du ramadan.
En fait, les stagiaires arivaient vers 9h-9h30. Café. On commence à 10h-10h30.
Midi: arrêt, on reprend vers 14h-14h30.
16h30: stop, la prière arrive.
Pas un jour, je n'ai vu quelqu'un prendre des notes. Pas de cahier, pas de stylo, ils n'ont même pas imprimé les supports que j'avais emmené en clé USB!
Un jour, je me suis même amusé à acheter des cahiers et des stylos. J'en ai donné à chacun. Ils étaient contents, mais le lendemain, pas de cahier ni de stylo!
Et pendant le cours, on téléphone, on est sur facebook...
De retour en France, j'ai donné un stage de 3 jours dans une entreprise.
A 8h30, tout le monde était là.
10h, 15mn de pause.
12h à 12h30: repas.
16h: repause de 15mn.
Et le soir, vers 18h, je disais stooooop!
En 3 jours, chaque stagiaire a rempli un cahier de notes!
Voilà, faites la différence. Au rythme tunisien, il n'y a rien à espérer ni à attendre.

