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Le nouveau DG du CHU de Sfax reprend ses fonctions sous une escorte policière

C’est sous une escorte policière renforcée que Chokri Tounsi, nouveau directeur général du CHU de Sfax, a repris ses fonctions à la tête de l’hôpital Habib Bourguiba, ce lundi 28 septembre 2015.
Dans une déclaration à la TAP, Adel Zouaghi, secrétaire général de la section régionale du syndicat de la santé de Sfax, a indiqué qu’une partie du personnel avait protesté, aujourd’hui, contre la nomination de M. Tounsi en raison de sa qualité de militaire.
Il a ajouté que ces protestations se poursuivront jusqu’à ce que le nouveau DG soit « écarté ». De son côté, Chokri Tounsi a considéré qu’il s’agit de protestations « passagères » qui seront endiguées par voie de dialogue.
E.Z.
Commentaires (4)
Commentersolidaire avec cette décision
| 29-09-2015 10:51
Arrêtons de dire n'importe quoi ? ne divisez pas encore la société ? militaire ou civil, ce sont des tunisiens d'abord, l'essentiel c'est que ce monsieur gère convenablement l'hôpital. On ne discute pas la nomination des responsables, c'est du ressort du Ministère de la santé, si non c'est le gabegie, la section syndicale de sfax doit se concentrer sur les problèmes de ses adhérents et de défendre leurs intérêts et les sensibilisent sur leur devoir envers leur travail et leur nation, le reste ce n'est pas de son ressort. Laissons le Ministre fait son travail, nous sommes solidaire avec lui. Allah yarhmek ya farhat hached. La démocratie ce n'est pas semer le trouble dans le pays.
Pourquoi ne pas transformer l'hôpital en une caserne militaire?
| 28-09-2015 21:36
La dictature commence par d'actes de piétinement contre toute volonté émanant de la société civile. Nidaa Tounes passe maintenant à la deuxième phase de ses intrigues contre notre transition démocratique en Tunisie. Comme ils ont constaté une entente inébranlable entre le peuple tunisien et son armée, les intrigants de Nidaa Tounes poussent quelques militaires à sortir de leurs casernes et de leur encadrement hiérarchiquement militaire, afin de les engager dans une confrontation inévitable avec la société civile.
Le plan est clair et les résultats sont incalculables.
Ce qui m'étonne énormément, c'est la fluidité et la facilité avec lesquelles notre état-major se fait emporter et se fait avoir par les intrigues de Mohsen Marzouk.
Où est le mal, si les militaires refusaient d'entrer en confrontation avec leur peuple tunisien, pour un poste civil, à la tête d'un hôpital civil sans la moindre importance militaire?
Pourquoi l'armée tunisienne n'insiste-t-elle pas à avoir plus d'hôpitaux militaires avec toute la hiérarchie due à cette institution, au lieu d'aller travailler sur un terrain qui n'est pas le sien?
Le plan est clair et les résultats sont incalculables.
Ce qui m'étonne énormément, c'est la fluidité et la facilité avec lesquelles notre état-major se fait emporter et se fait avoir par les intrigues de Mohsen Marzouk.
Où est le mal, si les militaires refusaient d'entrer en confrontation avec leur peuple tunisien, pour un poste civil, à la tête d'un hôpital civil sans la moindre importance militaire?
Pourquoi l'armée tunisienne n'insiste-t-elle pas à avoir plus d'hôpitaux militaires avec toute la hiérarchie due à cette institution, au lieu d'aller travailler sur un terrain qui n'est pas le sien?
Pourquoi une escorte policière?!
| 28-09-2015 19:27
Mais ça aurait du être une escorte militaire d'ailleurs cette escorte policière est-elle autorisée par Le fameux PROCUREUR GENERAL auprès du Tribunal d'Appel de Sfax???
La Tunisie sortira--t-elle *** elle pu!
Avec les premières pluies de l'automne, l'inondation est proche!
La Tunisie sortira--t-elle *** elle pu!
Avec les premières pluies de l'automne, l'inondation est proche!
Faux problème
| 28-09-2015 19:03
Il y eu à plusieurs reprises des administrateurs civils nommés à la direction de l'hôpital militaire principal de Tunis .Ce n'est pas faute de compétence au sein de l'armée de même qu'il y a de nombreux enseignants civils à l'académie militaire et nombreuses institutions de l'armée .Alors de grâce cessons cette querelle et soyons sérieux et pragmatiques.