VIVE BEN ALI et abats les traîtres qui ont vendu notre pays

A l’occasion de la visite de Christine Lagarde en Tunisie, une conférence de presse a été tenue ce mercredi 9 septembre 2015 au siège de la Banque centrale. Chedly Ayari, gouverneur de la BCT, Slim Chaker, ministre des Finances et Yassine Brahim, ministre de l’Investissement et de la Coopération internationale y ont pris part.
Mme Lagarde s’est montrée compréhensive quant à la situation particulière dans laquelle se trouve la Tunisie et du retard que celle-ci pourrait engendrer au niveau des délais de la mise en œuvre des réformes déjà convenues. Elle avait, ainsi, indiqué qu’au vu des circonstances actuelles, il était évident de repousser les dates butoirs de calendrier.
« Par conséquent, aujourd’hui, le programme de SBA (ndlr Stand-By Arrangment) a été décalé à décembre 2015, alors qu’il était fixé au départ pour juin 2015 », a-t-elle déclaré. La présidente du FMI a indiqué que son institution restait ouverte à toute proposition venant de la Tunisie dans le cadre de ce plan de réforme.
« Si en 2016, la Tunisie souhaite poursuivre le partenariat, le financement et mettre en œuvre d’autres réformes qu’elle juge nécessaires, le FMI sera évidemment prêt à étudier cette demande et le conseil d’administration aura à cœur d’y répondre de manière favorable », a-t-elle ajouté.
A la question de savoir, si la Tunisie sera capable de parachever le programme de réforme avant décembre 2015, Christine Lagarde a emprunté sa réponse dans le langage tunisien « Inchalah ! », a-t-elle souhaité.
De son côté, Slim Chaker a affirmé que la Tunisie ne stagne pas « On ne fait pas du surplace et on ne reculera pas », a-t-il assuré. Mme Lagarde a, par ailleurs, ajouté que le programme de réforme proposé, offre une grande flexibilité et permet à la Tunisie beaucoup d’appropriation. « Le FMI trace les grands objectifs et c’est aux autorités tunisiennes d’ajuster ces derniers aux circonstances sociopolitiques du pays », a-t-elle dit.
E.Z.
Commentaires (7)
CommenterVive Ben Ali
VIVE BEN ALI et abats les traîtres qui ont vendu notre pays
@Gg
Les emprunts non souverains ont été contractés pour faire croire à la Tunisie que son économie se porte bien.
Je ne comprends pas pourquoi le départ de Ben Ali était si important pour les américains. Ils étaient prêts à payer des sommes astronomique pour que la nostalgie n'envahisse pas les tunisiens.
Puis politiquement, il se sont appuyés sur les factions dures islamistes afin de stopper toute velléité de retour à l'ancien régime, avant bien sûr de les jeter à la poubelle et de se retourner contre eux.
C'est une habitude américaine et si j'étais islamiste je ne leur ferai jamais confiance. Çà n'était pas le cas des imbéciles de chez nous.
Ils ont été utilisé et ont signé les accords de prêts afin que les tunisiens ne se rendent pas compte de la note salée de leur révolution.
Les politiciens ont trahi le peuple. Ils ne l'ont pas mis devant ses responsabilités: Révolution ou prospérité! Fromage ou dessert!
Les peuples sont libres de choisir s'ils assument leurs choix. Sinon c'est un autre choix qui s'impose: Dictature ou Colonisation! Fromage ou dessert encore une fois.
Mais les gueux sont-ils capables d'assumer un quelconque choix? Ils ne sont même pas capables d'assumer leur rôle au sein de leurs famille.
VIVE LA MERDOLUTION.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
on est traité comme les enfants turbulents .
Que c'est dangereux tout cela...
En fait, le DT semble scotché au USD. Au point que je demande si les USA ne soutiennent pas le DT. C'est facile pour eux, vue la différence de puissance économique.
Quel en serait l'outil? Le FMI, la Banque Mondiale, bien sûr.
Ce qui mettrait la Tunisie dans la situation de devoir accepter ce que veulent les USA, sinon attention, il va falloir rembourser la dette.
Et accepter quoi?
Bon, je délire, je sais....
Fichtre!
Lagarde veut nous violer.
au moins Dsk assume son personnage de pervers !
La dernière chance

