
Le dirigeant CPR et ancien porte-parole du président Moncef Marzouki, Adnène Mansar, s’est amusé à faire, dans un post Facebook, son pronostic concernant le candidat fraudeur de l’élection présidentielle ayant reçu des fonds étrangers et qui risque 5 ans de prison outre une amende allant de 10 à 50 fois la valeur des fonds.
Ainsi, M. Mansar déduit, se référant aux indices de la Cour des comptes et par le fait que le candidat soit également le président d’une association, que le candidat fraudeur ne peut être que l’une de ces trois personnes : Slim Riahi, Mehrez Boussayen et Noureddine Hached.
Pour lui certaines personnes "rémunérées" veulent changer la vérité «pour diriger les accusations vers l’ancien président Marzouki, qui ne préside aucune association, ce qui prouve que le rapport de la Cour des comptes ne se rapporte pas à lui ni de près ni de loin».
Adnène Mansar a annoncé que le cabinet de Moncef Marzouki va déposer une plainte pour diffamation, faux et usage de faux contre le site Tunisie Telegraph et tout autre "falsificateur".
Notons que bien que M. Mansar dénonce les accusations portées au président honorifique de son parti, il ne se prive pas d’entacher la réputation de trois autres candidats à la présidentielle.
I.N


Commentaires (16)
Commenter#7IL EDDOUSSI ....
CE MANSAR EST UN FAUX JETON .
Il prend les citoyens pour des ignorants
blata
matez moi cette expression !
Mansar a oublié de cité l'assosation dela familles DAIMI
IL PARAIT QUE !!!!!!!!!!!!!!
Deux des trois seraient innocents alors !
Je me suis toujours demandé, comment cet individu incapable de se comporter comme un être normal (je ne parlerai pas là de gentleman) a pu faire partie des dirigeants d'un parti politique et occuper le poste de conseiller et porte-parole du président ! Il est vrai que le parti n'était que le CpR et que le président n'était que ce déchu arrivé au pouvoir accidentellement par la volonté de ses employeurs islamistes.
Amuseur public
A quand sa marionette à Canal+ ou bien c'est lui donné trop d'importance? ouais laissons tomber