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Béji Caïd Essebsi à bord d'une frégate de fabrication tunisienne
07/08/2015 | 14:27
1 min
Béji Caïd Essebsi à bord d'une frégate de fabrication tunisienne

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a hissé aujourd’hui 7 août 2015 le drapeau tunisien à bord de la frégate « Istiklal » accostée à la base de la Marine tunisienne à la Goulette. Il s’agit en effet d’un navire fabriqué par des Tunisiens dans le cadre du partenariat public-privé.

 

 

La frégate répond aux normes internationales et est dotée d’un système de contrôle intégral et d’une propulsion hydraulique. Selon un communiqué de la présidence de la République, le navire se distingue par son coût de construction réduit. « 40% moins cher que les prix du marché international ».

 

Notons que le chef de l’Etat était accompagné des ministres de l’Intérieur et de l’Industrie ainsi que du chef d’Etat-major de la Marine, de la présidente de l’UTICA et du directeur du groupement privé constructeur de la frégate.

 


07/08/2015 | 14:27
1 min
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Commentaires (36)

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1/raisonnable
| 09-08-2015 10:57
Empotée par des torrents d'eau, elle auscultait le ciel tout en remerciant le Dieu ,pour ce précieux liquide (themra)qui donne une année fructueuse inchallah

Forza
| 09-08-2015 09:51
Il faut dire d'abord qu'aucune entreprise dans le monde ne fait aujourd'hui un produit à 100% par elle-même car ce n'est pas rentable. On peut dire que c'est une frégate tunisienne si elle est conçue en Tunisie et par des tunisiens, c.à.d. le design, le développement, le montage et le test se font par une entreprise tunisienne et je pense que c'est le cas car la frégate n'est pas construite d'après une License d'un constructeur étranger. Maintenant, cette frégate est un premier pas. La Chine a bien montré comment on peut commencer petit et développer ses culpabilités continuellement. Les chinois et pour attaque une nouvelle technologie, commencent par leurs marchés (voir leurs champions en télécoms, transport ferroviaires, bâtiment etc.), après ils attaquent les marchés du tiers monde moins difficiles a pénétrer coté qualité et enfin de compte ils s'attaquent aux marchés plus demandant comme ceux de l'Europe, le Japon et l'Amérique. Donc les tunisiens peuvent commencer petit a maitriser certains aspects technologiques et se développeront peu a peu. Pour faire, il faut travailler plus sur l'intégration maghrébine et africaine car la Chine par exemple a utilisé la taille de son marché pour imposer aux fournisseurs étrangers un minimum de transfert technologique, aussi l'accès prioritaire a un grand marché est nécessaire pour développer un produit jusqu'à sa maturité.

Abel Chater
| 09-08-2015 02:42
@kane
Sorry mon ami, mais ta question dépasse toutes les normes ***.
Une frégate est un bâtiment de guerre couvert par des tonnes de blindage en acier contre des probables tirs d'armes ennemi.
Notre bâtiment de guerre «Indépendance», le premier navire de fabrication à 100% tunisienne est long de 26,5 mètres et large de 5,6 mètres développant une charge utile de 80 tonnes, avec une vitesse de 25 n'uds et un équipage de 12 membres.
Imagine s'il te plaît toutes ces tonnes d'acier en préfabriqué prêtes pour le montage et reviens nous donner ton idée là-dessus.
Je te demande pardon pour l'ironie de mon discours, mais trop c'est trop.
Avec mes salutations et le fond de mon respect.

Yass
| 09-08-2015 02:19
Frégate 100% Tunisienne?
L'électronique embarquée, le moteur et l'armement de bord (canon(s), torpilles et/ou missiles sont tunisiens?
Permettez moi d'avoir de gros doutes (façon polie de dire que c'est impossible, la Tunisie n'en a pas les compétences.).

Faire un bateau de pêche en bois et équipé de matériels étrangers (e.g. moteur, électronique de bord, armements) est une chose, une frégate, une toute autre histoire.

Un peu d'humilité.

Shalom @ toutes et à tous.

samth
| 08-08-2015 21:31
Ta liberté s' arrête à partir du moment qu' elle entrave sur celles des autres . La première des libertés le respect , Mr John Wayne est certes un amoureux de l' écriture mais des insultes aussi quand ça devient un rituel c' est de l' acharnement , un problème psychologique de comportement et d' attitude ça devient du bas de gamme et c' est dommage pour cet homme qui a certainement donné en tant que fonctionnaire de rabaisser de son niveau à chaque Tome de ses commentaires

kane
| 08-08-2015 17:17
cette frégate est fabriquée ou montée en Tunisie? Car ce n'est pas du tout la même chose.

amal
| 08-08-2015 14:37
on s'en tape. !

Elle est de fabrication tunisienne à 100%, il y a des pays intéressés par ce type de biens qui répond aux normes internationales ALORS TANT MIEUX !

C'est tout ce qui compte.

Nous avons fabriqué en fonction de nos moyens, de nos pouvoirs et nous avons prouvé aux autres et à nous mêmes que nous sommes tout aussi capables de...

QUI PEUT FAIRE PETIT PEUT FAIRE GRAND
il suffit de changer l'échelle, n'est-ce-pas ?

Aujourd'hui c'est une flouka..demain ce sera un paquebot, inch'Allah !

BRAVO et MERCI à TOUS CEUX QUI ONT UN ESPRIT CONSTRUCTIF.

VIVE LA TUNISIE LIBRE et SOUVERAINE !

A bas ceux qui cherchent sa destruction par tout moyen !!!

JOHN WAYNE
| 08-08-2015 13:30
Que le Professeur Mezri Haddad ait la trempe d'un chef d'état ne fait pas le moindre doute. L'homme en question allie culture générale, patriotisme, et courage intellectuel.
Le Professeur Haddad ferait un homme politique brillant ou l'est-il déjà, lui qui se bat en solo contre l'émirat dégoutant du Qatar, intellectuellement et par le biais de la justice Française.
Mais dans une situation ou la Tunisie est plongée dans un état de pré-guerre civile et ou la Libye est rongée par des guerres sectaires et intertribales interminables, ne peuvent créer de différences que ceux qui savent conduire des véhicules blindés ou ceux qui savent comme moi-même, se servir d'un Steyr ou d'un FAL de fabrication Belge.
L'initiative d'un parti neo-Bourguibiste est certes louable mais contrairement à la réponse de Rachid Barnat dont je ne lis guère les articles même d'un derrière hémorroïdien distrait, l'on se doit de se poser la question suivante :
Mezri Haddad a-t-il besoin d'un parti politique lui qui a défendu tout au long de cette révolution de traitres la Tunisie de Bourguiba ?
La réponse est non.
Avec ou sans parti politique, Mezri Haddad est un Bourguibiste pur et dur et donc par définition un patriote, un nationaliste, et un laïque qui comme Bourguiba voit en la religion et l'état un mélange combustible, corruptible, et anti-souveraineté.
Je pourrais même dire que Mezri Haddad n'a pas besoin de parti politique en ce moment, mais qu'il doit continuer avec acharnement son militantisme qui depuis la révolution des traitres allie courage et ténacité.
Si le parti de Mezri Haddad devait inclure dans ses lignes politiques une exclusion des partis religieux en Tunisie, l'homme ferait immédiatement l'objet d'une campagne de dénigrement et très probablement aussi d'une campagne de violence inédite au nom de la « révolution et de la sauvegarde de ses valeurs sacrées ».
L'initiative d'un parti prônant les valeurs politiques de Bourguiba est intéressante mais possède en elle-même une application pratique limitée.
Quel membre des administrations Tunisiennes infiltrées par le Qatar et la CIA, autoriserait-t-il la création d'un tel parti à un moment ou la Tunisie penche dangereusement vers le wahhabisme aidée de loques et de traitres comme BCE et sa clique dégoutante et ricanante « génération OTAN » de Carthage ?
Aucun cela est sûr.




JOHN WAYNE
| 08-08-2015 13:29
A l'heure ou le Président d'un pays jadis souverain inaugure des chaloupes en radotant et en titubant, au même moment ou l'Egypte encore plus grande et encore plus puissante, écrit l'histoire dans le sillage de navires qui paisiblement remontent son deuxième canal de Suez, l'heure est au réalisme et au pragmatisme.
Les Tunisiens sont la cause du mal et leur révolution est la raison pour laquelle la Nation Tunisienne en ce moment s'éteint.
La révolution Tunisienne n'était qu'un vulgaire coup d'état de la CIA ayant commandité l'armée Nationale afin de chasser le Président d'un pays souverain à l'exil sur fond de révolte populaire. Cette révolution a mis au pouvoir les frères musulmans Tunisiens comme planifié par Washington et ses alliés d'Arabie et du Golfe. A suivi a cette fracture de l'histoire de la Tunisie souveraine, le complot le plus odieux contre le monde Arabe depuis la création de l'état d'Israel et la deuxième guerre du Golfe. Un autre pays souverain mais riche en pétrole cette fois ci, était depuis longtemps dans le collimateur des puissances colonialo-sionistes qui aujourd'hui gouvernent la Tunisie.
Alors que la Libye pliait sous le poids des bombes et des missiles et que ses leaders étaient tués sous couvert d'un mandat de l'ONU, une poignée de traitres Tunisiens, hauts gradés, anciens et nouveaux Ministres de la Défense, et faux Bourguiba, signaient à Doha un pacte qui achèverait la Nation Libyenne et son leader Kadhafi au profit d'Al Qaeda.
Aujourd'hui et dans une Tunisie qui est depuis le 14 Janvier 2011 aussi grabataire que son Président et même défunte, le seul remède possible est un renversement salvateur de l'histoire.
L'armée qui a trahi le général Ben Ali doit procéder à un mea culpa et réparer ce qu'elle a détruit, c'est-à-dire la Nation Tunisienne à qui elle grandement nui en s'attaquant à son Président au nom de la démocratie, de la sauvegarde d'un peuple sur lequel l'on ne doit pas tirer, mais aussi au nom de la CIA et du Qatar, esprit pro-colonial oblige.
Ce n'est que dans le cadre d'un putsch nationaliste que les plaies de la Nation pourront être pansées.
Une prise de pouvoir de l'armée effacerait cet accident douloureux de l'histoire nommé révolution.
La Tunisie ne peut être sauvée que dans le cadre d'un contexte de loi martiale et de gouvernement militaire qui imposera un cesser le feu au ridicule que la révolution Tunisienne a importé.
Ce n'est qu'une fois les mosquées fermées, les leaders politiques et imams proches du Qatar et leurs alliés droit de l'hommistes mis hors d'état de nuire, que la Nation y verra clair et que des homme comme Mezri Haddad pourront alors avec leurs compatriotes, rédiger au Palais de Carthage des plans de renflouement d'une Nation transformée en esquif fabriqué entièrement en Tunisie, par un peuple qui n'a prouvé au monde que sa stupidité et sa bassesse coloniale.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

Forza
| 08-08-2015 12:16
Si je me rappelle bien ce projet était conçu avec les libyens et je me rappelle bien que les libyens voulaient aussi en acquérir. Je ne sais pas bien sûr l'aboutissement vue la situation difficile en Libye. Marzouki a inauguré le prototype en 2014 et c'est une entreprise de Sfax qui la construit et c'est bien de voir que le prototype est devenu une frégate opérationnelle. On apprend du lien ci-dessous que la frégate est de construction tunisienne sauf pour le moteurs importés d'Allemagne et les pompes a eau importées de Suède mais même les plus grands constructeurs importent.
Lien :
http://fr.allafrica.com/stories/201405080426.html