
L’agence de notation Moody’s a publié un nouveau rapport concernant la Tunisie, lundi 22 juin 2015. Elle y explique que la Tunisie tire avantage de la transition politique réussie mais que cependant elle reste exposée aux problèmes sécuritaires, notamment avec la Libye.
Moody’s avait donné au pays en mai 2015 une note souveraine Ba3 stable. Elsa Parisi-Capone, analyste chez Moody’s et co-auteure du rapport, explique que cette note demeure pourtant limitée au vu du potentiel de croissance et du climat d’investissement actuel que l’on connaît. Et d’ajouter qu’un gouvernement d’union nationale permettra de réduire le risque politique, ce qui épargnera au pays la polarisation rencontrée lors de la transition politique.
L’agence de notation prévoit une réduction progressive du déficit de la balance courante et ce notamment grâce à la relance de la demande européenne qui est le principal partenaire commercial de la Tunisie, la baisse du prix du pétrole et la hausse des exportations agroalimentaires après la production record d’huile d’olive durant la période 2014-2015.
Moody’s incite à rapidement mettre en œuvre les réformes structurelles convenues dans le cadre du programme mis en place avec le Fonds monétaire international (FMI), dont notamment la recapitalisation des banques publiques, ce qui aurait un impact positif.
C.Z.B.
Si les banques s'écroulent, le pays s'écroulera avec !!!
Déjà qu'il tient par miracle !
Il faut une trêve sociale d'au moins deux ans, pour permettre à la machine économique de démarrer !!!
Encore faut-il que nos politicards rangent leurs idéologies respectives au placard !!
Mais ça.... cons comme ils sont, on peut toujours attendre !et rêver !!
les banques tunisiennes sont faiblement capitalisees, et n ont pas l experise, ni la capacite de suivre leurs clients dans les operations de negoce internationales....
IMPORT. EXPORT, ok...le reste ? ? ?
PRIVATISER une bonne partie du capital donnerait un SANG CONCERNE a ces banque, au lieu de ces conseils d administration COONIVENTS avec des directions generales, qu ils gardent plusieurs annees APRES LEURS RETRAITES, bloquant les jeunes cadres pleins de capacites nouvelles, que les anciens n ont CERTAINEMEN PAS, tel un ancien PDG de la banque de l habitat,ex, comite cental du RCD, d ou il avaiy ete RENVOYE, qui fait ENCORE le jour et la nuit dans la banque ISLAMIQUE........
le secteur est laisse SANS CONTROLE, a des mains AVIDES, et tres souvent ETRANGERES AU DOMAINE.....UNE ABSENCE DE L ETAT DESOLANTE...car ses representants dans ces conseils d administrations ne sont la que pour RECOLTER LES JETONS DE PRESENCE, de dizaines de milliers de dinars PAR PRESENCE benuouioui.....
DESOLANT CE GOUVERNEMENT.....pour qui on a vote..
Les audits faits par le ministère des finances l'a clairement confirmé : pour la seule STB il faudrait 775 milliard pour apurer sa situation de quoi lancer 7 nouvelles banques !!
L'état Tunisien ne peut de toute manière pas renflouer les caisses des banques publiques étant lui même en manque de ressources et de cash frais.
Il y a 2 solutions : soit fusionner ces banques pour améliorer leurs ratios soit renforcer leur capital avec un partenaire stratégique .
Mais qui prendrait des risques pour des banques poubelles non assainies?
Un casse tête chinois !

