
Six-cents millions de dinars destinés à des projets de développement n’ont jusqu’ici pas été exploités. C’est qu’a affirmé Adel Ghozi, président de l’Association des cadres de contrôle d’inspection et d’audit dans les structures publiques (ACCIA), lors d’une déclaration samedi 23 mai à Jawhara Fm.
Ce blocage tient, selon M. Ghozi, à plusieurs facteurs dont les lois régissant la gestion des affaires publiques ainsi que l’insuffisance des moyens et le manque du personnel. Et d’ajouter comme d’autres facteurs, l’instabilité du climat social et l’absence d’un système permettant le suivi de ces projets.
Pour y remédier, le président de l’ACCIA propose la création de registres publics traçant l’avancement de la réalisation pour chaque projet et qui soient accessibles au public « y compris à la société civile et aux journalistes. Ainsi, en cas de dysfonctionnement on attire l’attention immédiatement sur le problème » a-t-il déclaré.
on évoque souvent les problèmes fonciers, la procédure des marchés publics, c'est faux!les études sont souvent mal faites ou incomplètes, les cahiers des charges aussi, ...avnt de budgétiser; il faut s'assurer de la faisabilité du projet sur tous les plans et confier au gouverneur la responsabilité du suivi de leur réalisation selon un calendrier d'exécution préalablement établi.Le gouverneur doit avoir un pouvoir hiérarchique renforcé sur les directeurs régionaux

