
Le secrétaire général du syndicat national des journalistes tunisiens, Néji Bghouri, a dénoncé la tendance de la présidence de la République à mettre la main sur les médias, en particulier publics.
C’est ce que M. Bghouri a déclaré à Shems FM le 13 avril 2015 en marge d’une conférence sur la déontologie journalistique et la protection des journalistes. Il a indiqué que des ordres parvenaient aux rédacteurs en chef, et parfois même aux journalistes, par téléphone en provenance de la présidence de la République.
Il a alerté contre ce qu’il a qualifié comme « pratiques dangereuses » en ajoutant que les responsables de la communication présidentielle tentent « d’influencer les journalistes » en appelant à l’arrêt immédiat de telles pratiques.
M.A
A-t-on oublié les graphiques bien préparés d'avance, au profit de Nidaa Tounes et de Béji Caïd Essebsi, que la télévision nationale Tunis 1, nous présenta à un seul quart d'heure après la fermeture des bureaux de vote, en conformité aux anciennes méthodes de "i-tè-tè" et de "Tunis 7"?
Qui aurait pu le faire ou même le penser, hormis les Foulouls et les Azlems ancrés au sein des médias étatiques?
Maintenant qu'ils constatent que le léchage de bottes, n'est plus de la même rentabilité qu'aux temps de Mohamed-Raouf Yaïch ou d'Adâala Khancha, ils se transforment en de journalistes qui voudraient faire honneur à leur métier.
Une utopie enrobée dans le mensonge et l'hypocrisie.
Le peuple sera avec vous, levez vous seulement!
Les médias public sont les voix de leur maîtres du gouvernement !!!
Cette merdolution à enfanté beaucoup de béni oui oui !!!qui pensent encore que le monde peut être beau et gentil.
Que nenni !!!
HUGH !!!