
Les enseignants du supérieur observeront, mardi 14 avril 2015, une grève générale pour protester contre la non-application des accords signés entre le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et la Fédération générale de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, relevant de l’UGTT.
Cette décision intervient à l’issue de la réunion du Conseil sectoriel de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique tenue, samedi après-midi. Conclus, il y a trois ans, ces accords prévoient des revendications financières et morales, a expliqué, en ce samedi 4 avril 2015, à la TAP, le secrétaire général de la Fédération, Houcine Boujarra.
Le responsable a déclaré que les revendications financières, portent notamment sur la prime d’encouragement des enseignants affectés dans les régions intérieures, la prime de la rentrée universitaire et l’unification de la prime d’encadrement de mémoires de fin d’études, de masters professionnel et de recherche et de thèses.
Houcine Boujarra précise qu’il s’agit également, du paiement des arriérés dus au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, au profit des comités de recrutement, des directeurs des équipes et des laboratoires de recherche.
Concernant les revendications morales, on apprend qu’elles portent sur l’attribution de vacances de recherche payées aux enseignants technologues et aux agrégés, mais aussi sur la mise en place de structures de recherche au sein des établissements universitaires intérieurs et des Instituts supérieurs des études technologiques. Il s’agit, en outre, de la réglementation des recrutements effectués dans le cadre de l’amnistie générale, conclut M. Boujarra.


Vive la liberté et le syndicalisme.... Je suis tenté de dire miskina Tounes lorsqu'on voit le panel mis en scène entre le primaire, le secondaire e le supérieur.... Quelle belle brochette.
Et puisque les prêteurs nous font toujours confiance, pourquoi pas ?
Et puisque ces pauvres prof. du Sup. meurent de faim pourquoi ne pas mettre la main dans le sac ?
Et puisque ces gens là n'ont pas encore rencontré l'homme de fer, il ne faut pas se gêner !
Et puisque l'indécence est devenue la marque de fabrique du tunisien en général pourquoi faut-il relever son pantalon ?
s'ils veulent des salaires augmentés de plusieurs millions qu'ils se créent des universités privés comme au etats unis avec des entrés très chères et pour être bien sur de défoncer la gueule et casser les jambes de nos enfants!!
Foutu révolution! Ils veulent une prime de rentré universitaire!!! c'est vrai que pour revenir travaillé après juin, juillet aout et septembre il leur faut une prime pour les encouragés!!!
Ceux qui sont affecté dans les régions travaillent 2 jours par semaine! pourquoi ne pas choisir des professeurs qui habitent dans ces régions au lieu de leur faire le grand huit! (comme pour les enseignant du secondaire)
Le chef de bande du Syndicat de l'Enseignement Supérieur, un certain Houcine Boujarra, qui ne fournit aucune production scientifique digne d'un universitaire, passe tout son temps à chercher des opportunités sociales, pour marcher sur les pieds du Ministère de l'Enseignement Supérieur, et ce, sur instructions de son parti politique Al Massar.
Juste après la révolution, les universitaires, et je sais de quoi je parle, ont reçu une augmentation salariale de 860 dinars par mois (grade de professeur). Malgré une telle augmentation, qui vaut un véritable salaire dans certains autres secteurs, notre charlatan Boujarra trouve le culot d'appeler ses collègues à une grève générale. Que Boujarra se détrompe, les universitaires, sont dans l'ensemble, rationnels et responsables, et j'ai la conviction qu'il sera seul, avec ses camarades bolcheviques du Massar, à observer cette grève.
J'appelle Boujerra à réfléchir sur la dégradation du classement des universités tunisiennes à l'échelle, non pas mondiale, mais africaine, plutôt que de continuer à tirer nos institutions universitaires vers l'arrière.
il faut revaloriser le certificat de baccalauréat tunisien : enlever lors des épreuves finales l'épreuve du sport , enlever les 25% de la moyenne annuelle .
changer le contenu pédagogique et surtout avoir trois grands types de baccalauréat : général /technologique / professionnel. en tunisie 250 000 chômeurs en possession d'un DE ( diplôme d'état ) , conclusion l'état délivre trop de diplômes . il faut repenser et changer tout le système de l'enseignement et de la formation et suivre le marché de l'emploi . il faut améliorer les salaires des enseignants , lutter et stopper les cours privés particuliers , il faut éduquer les enfants sur les valeurs de la paix de l'amour des libertés de la démocratie et de la tolérance .
Ils sont conscients des difficultés notamment budgétaires, par lesquelles passe le pays et n'ont aucune revendication. Exiger des augmentations de salaires est aujourd'hui indécent et irresponsable.
Ils sont conscients des tentatives de déstabilisation de l'UGTT et ne veulent pas être du bétail.