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Les instituteurs demandent des augmentations et annoncent une grève générale le 15 avril
03/04/2015 | 18:34
1 min
Les instituteurs demandent des augmentations et annoncent une grève générale le 15 avril

La commission administrative sectorielle de l’enseignement de base a décidé de tenir une grève générale mercredi 15 avril 2015. Dans une déclaration accordée, aujourd’hui, vendredi 3 avril 2015, à Mosaïque Fm, le secrétaire général du syndicat de l’enseignement de base, Mastouri Gamoudi a indiqué que cette grève vient suite à plusieurs revendications, notamment, des demandes d’augmentation de primes, de salaires des instituteurs et des promotions.

 

Et d’ajouter que le ministère de l’Education n’a pas activé des accords, déjà conclus. D’autre part, il a affirmé que le pouvoir d’achat de l’instituteur s’est dégradé, appelant le ministère de tutelle à examiner de près la situation des instituteurs qui « ne se tairont plus », selon ses dires.

03/04/2015 | 18:34
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Commentaires (13) Commenter
Droit vers la faillite !
Najib
| 04-04-2015 17:36
La faillite ,là où va ce gouvernement conduire la Tunisie.Impuissant face à l'anarchie des margoulins de l'UGTTT et de ses pseudo syndicats ,le gouvernement a cédé aux revendications ,offrant des promotions non méritées et des augmentations de montant sans précédent aux profs. Vue la situation budgétaire ces augmentations vont certainement ètre prélevées sur les préts, initialement destinés à l'investissement et à l'infrastructure .D'autres syndicats revendiqueront des promos et des augmentations et feront le mème chantage ,à commencer par les instituteurs ,que le résultat de leurs cousins profs leurs a coulé la salive. Satisfaire généreusement ,à ce rythme les revendications des syndicats ne mène le pays qu'à la faillite .
Pays "miné" !
Najib
| 04-04-2015 16:06
Où va la Tunisie avec un gouvernement impuissant ,incapable de neutraliser les mines qu'avaient poser Ennahdha et ses collabos avant de s'éclipser .Mines soigneusement piégées ,posées dans les centres nevralgiques
Ces des marchands de cascroutes
Raad
| 04-04-2015 14:40
Ils n'ont rien à foutre de l'enseignement, comme de leurs premières chemises.
L'enseignement a foutu le camp depuis belle lurette.
Il faut vraiment secouer ce grand mammouth pour trouver quelques choses de saint la dedans.
Quant a l'UGTT, il faut qu'elle balaye ces vieux principes, et regarde de plus près l'intérêt du pays avant toutes choses.
bientôt
bahrila
| 04-04-2015 10:43
la grève des grèvistes
Enseignants trop gâtés
medeve
| 04-04-2015 09:28
Ces enseignants commencent d'abord par donner l'exemple dans leur conduite. Ce mouvement de grève est prémédité puisqu'il va faire boule de neige avec les autres institutions dans un moment très vulnérable où le chômage des diplômés de l'enseignement sup bat son plein et que la capacité de l'état n'est pas en mesure satisfaire.
elchahia t7alet
betta
| 04-04-2015 07:31
Hadhi elbidaya wa mazal mazal.
meskina tunis. Meskine el battal.
la conséquence a tout cela une inflation qui passera a 8 % et ces augmentations n'aura servi a rien sauf une dévaluation du dinars.
Pauvre Tunisie
yasmine
| 04-04-2015 06:52
La "révolution de jasmin" a enfanté 2 monstres :
le terrorisme et la grève !
au suivant
Extra
| 04-04-2015 00:36
Comme je l'ai déjà indiqué, et c'était toujours la méthode de l'ugtt, il commence par le secondaire, et finissent par le primaire, depuis janvier 2011. Si BN peu nous fouiller dans son archive et nous montre la méthode de grève dans l'enseignement chez l'ugtt.
ce n'est qu'un début
HSE 1994
| 03-04-2015 21:45
Lorsque le gouvernement se fait faible et finit par céder à Yaakoubi et Cie les autres corporations vont suivre
Les instituteurs puis les infirmiers après les postiers etc
Pauvre Tunisie
On n'est pas sorti de l'auberge
boule de neige en perspective
carthaginois
| 03-04-2015 20:33
C'etait prévisible, le gouvernement qui a laissé pourir puis cédé aux revendications des enseignants de l'enseignement secondaire doit, aujourd'hui, faire face à d'autres revendications venant d'autres corps de fonctionnaires.



c'est l'effet boule de neige qui va être difficile à gerer et va mettre le gouvernement dans une mauvaise posture.
Il fallait réquisitionner tous les fonctionnaires pour une période determinée dans l'attente d'une reprise significative de l'économie du pays.