
Une équipe de la télévision publique a été agressée hier 6 mars 2015 par une horde de supporters de l’Etoile Sportive de Sousse (ESS). L’agression a eu lieu quelques temps avant la conférence de presse que l’ESS avait organisée dans ses locaux, selon Mohamed Ali Bouzgarou, journaliste de la chaîne nationale, présent sur les lieux.
Intervenant sur Mosaïque Fm, M. Bouzgarou a indiqué que les supporters étaient en état d’ivresse et qu’ils avaient demandé aux journalistes de la chaîne de quitter la salle. Ils se sont, par la suite, déchainés avec fureur et les ont agressé physiquement. « Ils ont même couru derrière nous » a-t-il ajouté, poursuivant que son collègue Nasser Letaïef, cadreur, a été gravement blessé au niveau du visage ce qui lui a occasionné 14 points de suture.
Le journaliste n’a pas manqué de préciser que les dirigeants du club se sont interposés pour dissuader les agresseurs.
Le foot fut l'école de la rébellion nourrie de haine envers la réussite des autres, bien instrumentalisée par les forces étrangères qui allaient faire la révolution des gueux. Tout cela à cause de quelques haineux n'ayant pas supporté en 2008 la brillante prestation de leurs compatriotes au Japon.
J'avais vu les réactions des habitants de Tunis et d'autres régions et j'avais prédit une guerre civile proche dès 2008.
Je croyais que l'on y était le 14 janvier maudit mais Dieu merci on y a échappé. Sans le foot la révolution n'aurait certainement pas eu lieu, et sans un 5 à 1 le dimanche précédant la révolution, il n'y aurait jamais eu de révolution.
J'ai donc appelé à maintes reprises à l'arrêt pur et simple du foot, sport vecteur de haine et de régionalisme et surtout, sport impossible dans un pays de gueux injustes, à la magouille facile, et manquant manifestement de fair-play comme 90% des tunisiens.
Alors tout cela était bien prévisible sans l'arrêt du foot auquel j'avais appelé plusieurs fois, ne serait-ce que sur les ligne de ce journal.
Suite à l'un de mes appels sur Tunisie secret, Abdelaziz Belkhodja avait apparemment enquêté et essayé de minimiser l'impact du foot mais dit avoir été surpris d'apprendre par des ourses officielles que des comités de supporters avaient travaillé avec les blogueurs à la base de la révolution et que moi j'appelle les cyber-collabos.
Lorsque je lui ai demandé de préciser quels étaient ces clubs, il s'est bien sûr abstenu de répondre. Son silence répond indirectement à ma question.
Alors encourageons les supporters de l'ESS à maintenir leur décision et à laisser le foot pour les gueux colonisés jusqu'au jour où le pays recouvre son indépendance. C'est tout à l'honneur de leur club et de son militantisme patriotique.
Vive la Tunisie des Hommes Libres.
À bas les traîtres qui ont applaudi en même temps que le congress et qu'Al Khinzira, Nessmerde, Hanni-trou-de-balle et France 24 la destitution forcée de leur président.
À tous ces haineux révolutionnaires je dis: regardez le fruit de votre révolution.
Si elle était pure et juste son fruit aurait été bon. Mais elle n'était que haine et jalousie, alors sont fruit et puant, comme nous le résume si bien le
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Léon.
Je propose d'annuler le professionalisme dans notre footbal et retourner à un championnat amateur. Je propose aussi la création de trois championnats amateur pour les régions du nord, du centre et du sud. Nos équipe dont les finances vassilent depuis la pseudo révolution auraient tout à gagner ne serait-ce sur les frais de deplacement et d'hébergement dans les hotels