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Kalthoum Kannou souhaite témoigner sur les violations commises par Nejem Gharsalli

La juge Kalthoum Kannou, ancienne présidente de l’Association des magistrats tunisiens, a réitéré ses réserves quant à la nomination de Nejem Gharsalli au ministère de l’Intérieur au sein du nouveau gouvernement de Habib Essid. Dans un communiqué adressé aujourd’hui, mercredi 4 février 2015, aux députés du Parlement, la juge a appelé à être entendue par un comité d’investigation qui sera formé au sein de l’ARP.
Tout en rappelant « les importantes réserves émises contre la nomination de Nejem Gharsalli par des parties judiciaires dont notamment l’Association des magistrats tunisiens et l’Observatoire tunisien de l’indépendance de la magistrature », Mme Kannou accuse M. Gharsalli d’avoir été responsable, durant l’ancien régime, de répression contre ses confrères.
En effet, toujours selon Mme Kannou, Nejem Gharsalli aurait empêché les juges d’exercer leur droit de s’exprimer et de se réunir et aurait perpétré d’autres « graves violations de la loi et des droits de l’Homme » et ce, en suivant des directives émises, à l’époque par le ministère de la Justice.
Tout en rappelant « les importantes réserves émises contre la nomination de Nejem Gharsalli par des parties judiciaires dont notamment l’Association des magistrats tunisiens et l’Observatoire tunisien de l’indépendance de la magistrature », Mme Kannou accuse M. Gharsalli d’avoir été responsable, durant l’ancien régime, de répression contre ses confrères.
En effet, toujours selon Mme Kannou, Nejem Gharsalli aurait empêché les juges d’exercer leur droit de s’exprimer et de se réunir et aurait perpétré d’autres « graves violations de la loi et des droits de l’Homme » et ce, en suivant des directives émises, à l’époque par le ministère de la Justice.
S.T.
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Commentaires (16)
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L'art de la réussite consiste à savoir s'entourer des meilleurs.
Ben Abderrahman
| 13-02-2015 14:25
J'ai toujours eu un grand respect et une grande estime pour cette femme au point que j'ai eu du mal à imaginer un candidat autre que Kannou qui soit aussi digne d'être le nouveau locataire du Palais de Carthage.
Arrivé aux urnes, je n'ai pas hésité une seconde à voter Kannou avec la conviction que la femme tunisienne est capable d'être une Indira Gandhi, Megawati Sukarno, ou encore Corazon Aquino et les autres.
Ce rêve ne m'a jamais quitté même après sa défaite cinglante aux présidentielles, croyant ainsi au slogan « yes we kannou » et qu'un autre « demain » existera toujours.
Mais depuis que j'ai appris que Kannou ou (Ka-Ka) a contribué avec certains politicards ratés dans la sale propagande de diffamation contre M.Gharsalli alors proposé Ministre de l'Intérieur, tout a été chambardé et ma conviction a pris une tournure inquiétante.
Ka-Ka m'a déçu puisqu'elle a cédé aux tentations de ces immoralistes qui veulent gagner du terrain au détriment de la dignité des autres, alors que celui qui jette de la saleté toujours perd du terrain.
Pourquoi Ka-Ka a pris part dans cette campagne de stigmatisation dénué de tout fondement et réalité alors qu'elle veut gouverner tout un peuple?
Pourquoi Ka-Ka qui aurait pu être présidente de république se permet-elle d'être contaminée par certains politicards qui vont souvent et sans vergogne à l'encontre des valeurs et des principes moraux ?
Patriote jusqu'à la moelle des os, M.Gharsalli a été toujours un homme intègre, loyal et honnête contrairement à ce que ses détracteurs immoralistes le décrivent bien qu'ils sachent au fond d'eux- mêmes que ce monsieur a des qualités indéniables qui lui ont values le respect et la considération de tous les citoyens de Kasserine, de Gafsa et de Mahdia là où il s'est forgé une carrière d'un responsable qui mérite soutien et encouragement.
Autre chose, ce n'est pas de la sorte qu'on doit agir contre M.Gharsalli s'il prend une position honnête et légale vis-à-vis de certaines actions malhonnêtes et illégales.
M.Gharsalli n'a fait que son devoir pour servir la patrie et sévir les escrocs.
Arrivé aux urnes, je n'ai pas hésité une seconde à voter Kannou avec la conviction que la femme tunisienne est capable d'être une Indira Gandhi, Megawati Sukarno, ou encore Corazon Aquino et les autres.
Ce rêve ne m'a jamais quitté même après sa défaite cinglante aux présidentielles, croyant ainsi au slogan « yes we kannou » et qu'un autre « demain » existera toujours.
Mais depuis que j'ai appris que Kannou ou (Ka-Ka) a contribué avec certains politicards ratés dans la sale propagande de diffamation contre M.Gharsalli alors proposé Ministre de l'Intérieur, tout a été chambardé et ma conviction a pris une tournure inquiétante.
Ka-Ka m'a déçu puisqu'elle a cédé aux tentations de ces immoralistes qui veulent gagner du terrain au détriment de la dignité des autres, alors que celui qui jette de la saleté toujours perd du terrain.
Pourquoi Ka-Ka a pris part dans cette campagne de stigmatisation dénué de tout fondement et réalité alors qu'elle veut gouverner tout un peuple?
Pourquoi Ka-Ka qui aurait pu être présidente de république se permet-elle d'être contaminée par certains politicards qui vont souvent et sans vergogne à l'encontre des valeurs et des principes moraux ?
Patriote jusqu'à la moelle des os, M.Gharsalli a été toujours un homme intègre, loyal et honnête contrairement à ce que ses détracteurs immoralistes le décrivent bien qu'ils sachent au fond d'eux- mêmes que ce monsieur a des qualités indéniables qui lui ont values le respect et la considération de tous les citoyens de Kasserine, de Gafsa et de Mahdia là où il s'est forgé une carrière d'un responsable qui mérite soutien et encouragement.
Autre chose, ce n'est pas de la sorte qu'on doit agir contre M.Gharsalli s'il prend une position honnête et légale vis-à-vis de certaines actions malhonnêtes et illégales.
M.Gharsalli n'a fait que son devoir pour servir la patrie et sévir les escrocs.
Des patriotes qui ne le sont pas
Ben Abderrahman
| 09-02-2015 23:30
D'après les dires :
Lors des campagnes présidentielles, certains candidats ont demandé à M.Gharsalli de leur prêter main forte à Kasserine, à Gafsa et à Mahdia, les régions où il s'est forgé une carrière respectable et respectée.
« En tant que Gouverneur, je n'ai pas le droit d'influencer ni de près ni de loin les campagnes électorales pour quelque raison que ce soit. Je dois être à égale distance de tous les acteurs de la scène politique ».
Cette réponse a été très mal accueillie par ces candidats opportunistes qui veulent gouverner le peuple tunisien.
Ils n'ont pas hésité à lancer une sale campagne visant à discréditer M.Gharsalli, en réponse à son refus légal et honorable.
On dit : « On ne jette les pierres qu'à l'arbre qui porte des fruits »
Cette campagne de diffamation de M.Gharsalli a été déclenchée juste après sa nomination proposée à la tête du Ministère de l'Intérieur.
Contrairement aux apparences trompeuses, c'est cette horde de malhonnêtes qui a voulu gouverner un peuple qui a beaucoup souffert et qui ne veut plus souffrir.
Lors des campagnes présidentielles, certains candidats ont demandé à M.Gharsalli de leur prêter main forte à Kasserine, à Gafsa et à Mahdia, les régions où il s'est forgé une carrière respectable et respectée.
« En tant que Gouverneur, je n'ai pas le droit d'influencer ni de près ni de loin les campagnes électorales pour quelque raison que ce soit. Je dois être à égale distance de tous les acteurs de la scène politique ».
Cette réponse a été très mal accueillie par ces candidats opportunistes qui veulent gouverner le peuple tunisien.
Ils n'ont pas hésité à lancer une sale campagne visant à discréditer M.Gharsalli, en réponse à son refus légal et honorable.
On dit : « On ne jette les pierres qu'à l'arbre qui porte des fruits »
Cette campagne de diffamation de M.Gharsalli a été déclenchée juste après sa nomination proposée à la tête du Ministère de l'Intérieur.
Contrairement aux apparences trompeuses, c'est cette horde de malhonnêtes qui a voulu gouverner un peuple qui a beaucoup souffert et qui ne veut plus souffrir.
Quand l'escroc devient victime
Ben Abderrahman
| 07-02-2015 17:44
On peut habiter à Bizerte ou à Nabeul et travailler à Tunis.
Mais habiter à Tunis et travailler à Kasserine, c'est une mission impossible même pour Spiderman.
D'après les dires, un certain juge qui travaillait au Tribunal de Kasserine, au lieu de rapprocher son domicile de son lieu de travail, il s'est permis de passer seulement une nuitée par semaine dans un hôtel à Kasserine pour travailler un ou deux jours et rentrer à son domicile à Tunis.
M.Gharsalli Président du Tribunal à cette époque s'est refusé de rester réfractaire à cette violation grave de la loi en vigueur, surtout que ses invitations au respect de la loi ont été vaines.
Il s'est trouvé alors dans l'obligation de prendre les mesures de dissuasion nécessaires.
Sans vergogne, le juge en question appuyé par des opportunistes, s'est permis aussi de protester auprès de certains organismes et partis contre les salaires tronqués à cause de ses absences.
La victimisation dudit juge a été menée et soutenue par des fieffés menteurs et politicards à travers une injuste campagne médiatique de mensonges et de diffamations contre M.Gharsalli juste après sa nomination proposée à la tête du Ministère de l'Intérieur.
Montesquieu disait : « Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous. »
Mais habiter à Tunis et travailler à Kasserine, c'est une mission impossible même pour Spiderman.
D'après les dires, un certain juge qui travaillait au Tribunal de Kasserine, au lieu de rapprocher son domicile de son lieu de travail, il s'est permis de passer seulement une nuitée par semaine dans un hôtel à Kasserine pour travailler un ou deux jours et rentrer à son domicile à Tunis.
M.Gharsalli Président du Tribunal à cette époque s'est refusé de rester réfractaire à cette violation grave de la loi en vigueur, surtout que ses invitations au respect de la loi ont été vaines.
Il s'est trouvé alors dans l'obligation de prendre les mesures de dissuasion nécessaires.
Sans vergogne, le juge en question appuyé par des opportunistes, s'est permis aussi de protester auprès de certains organismes et partis contre les salaires tronqués à cause de ses absences.
La victimisation dudit juge a été menée et soutenue par des fieffés menteurs et politicards à travers une injuste campagne médiatique de mensonges et de diffamations contre M.Gharsalli juste après sa nomination proposée à la tête du Ministère de l'Intérieur.
Montesquieu disait : « Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous. »
Alte à ces foutaises
Kasserinois
| 05-02-2015 15:17
Quand Najem GHARSALLi travaillait d'arrache pieds au sein du Tribunal de Kasserine, Kennou s'occupait de la promotion de sa vie associative dont elle se servait comme tremplin pour grimper les échelons préparant à une carrière politique.
Ceci se vérifiera après la révolution, déclenchée chez nous, à Téla et Kasserine, et non dans le fief politique auquel elle a toujours appartenu mis à nu par sa présence active, bien remarquée, au sit-in du Bardo.
Ceci se vérifiera après la révolution, déclenchée chez nous, à Téla et Kasserine, et non dans le fief politique auquel elle a toujours appartenu mis à nu par sa présence active, bien remarquée, au sit-in du Bardo.
Même les sourds finissent par bien entendre !
Mansour Lahyani
| 05-02-2015 12:14
Habib Essid ne pourra s'en prendre qu'à lui-même, et à sa surdité omnidirectionnelle relative à la compositionde son gouvernement ! L'occasion était propice à une nouvelle vérification de ses données personnelles relatives à son candidat au ministère de l'intérieur, il pouvait très bien la saisir et se faire définitivement sa religion à ce propos, en prêtant pour une fois l'oreille à des accusations trop graves et portées en public par des gens censés être bien informés. Non, il a préféré continuer à ignorer les lanceurs d'alerte, et poursuivre son chemin solitaire. Il est aujourd'hui devant une offre de service publique, il ne peut plus l'ignorer : que va-t-il faire ?
Un Ministre de l'Intérieur dont les Magistrats contestent l'honnêteté ?
Abel Chater
| 05-02-2015 11:15
Pourquoi Habib Essid insiste à maintenir un homme au poste de ministre de l'Intérieur, dont même ses collègues les Magistrats, témoignent avec foi et vigueur de sa traîtrise, de sa malhonnêteté et de son esprit corrompu?
Si tous ces juges et leur association, dont le juge Kalthoum Kannou, témoignent avec fermeté et beaucoup d'énergie morale, de la labilité et de la mauvaise foi de Nejm Gharsalli, qui ne lui permettent en aucun cas d'accéder à la tête d'un ministère quelconque, surtout pas à un ministère de la valeur du ministère de l'Intérieur, pourquoi donc ne pas l'échanger, quitte à laisser ce moustagache de Lotfi Ben Jeddou continuer à son poste, puisqu'il paraît être aimé et respecté par tout le monde?
De toutes les façons, on ne peut pas croire les juges dans tout ce qu'ils prononcent de jugements dans l'ensemble des tribunaux de la République, mais lorsqu'ils parlent d'un soi-disant ministre, ils deviennent objet d'incrédibilité, de manque de sérieux et personne au sommet de l'état ne veut les entendre.
A la place de la Magistrature tunisienne, j'ouvre tout de suite une enquête judiciaire au sujet de toutes les accusations, déjà en forme d'inculpations contre Nejm Gharsalli et j'oblige le gouvernement de le présenter à un jugement équitable.
Ou que notre Magistrature est crédible, ou qu'elle ne l'est pas. On ne peut pas la croire lorsque c'est contre de simples citoyens non "pistonnés", mais lorsque c'est contre un ministre, personne ne les entend, ni qu'il leur donne la moindre importance.
Si tous ces juges et leur association, dont le juge Kalthoum Kannou, témoignent avec fermeté et beaucoup d'énergie morale, de la labilité et de la mauvaise foi de Nejm Gharsalli, qui ne lui permettent en aucun cas d'accéder à la tête d'un ministère quelconque, surtout pas à un ministère de la valeur du ministère de l'Intérieur, pourquoi donc ne pas l'échanger, quitte à laisser ce moustagache de Lotfi Ben Jeddou continuer à son poste, puisqu'il paraît être aimé et respecté par tout le monde?
De toutes les façons, on ne peut pas croire les juges dans tout ce qu'ils prononcent de jugements dans l'ensemble des tribunaux de la République, mais lorsqu'ils parlent d'un soi-disant ministre, ils deviennent objet d'incrédibilité, de manque de sérieux et personne au sommet de l'état ne veut les entendre.
A la place de la Magistrature tunisienne, j'ouvre tout de suite une enquête judiciaire au sujet de toutes les accusations, déjà en forme d'inculpations contre Nejm Gharsalli et j'oblige le gouvernement de le présenter à un jugement équitable.
Ou que notre Magistrature est crédible, ou qu'elle ne l'est pas. On ne peut pas la croire lorsque c'est contre de simples citoyens non "pistonnés", mais lorsque c'est contre un ministre, personne ne les entend, ni qu'il leur donne la moindre importance.
dommage
kintas
| 04-02-2015 21:43
pretendre a un poste de ministre sans pouvoir l avoir diffamer un confrere c est pas honnete NAJEM GHARSSALI refute d adherer a l association des juges c est aussi son droit et apres tout sur 1800 juges qu ai la tunisie 230 seulement ont adheré a cette association et tout ce qu a dit cette K annou c est de la desinformation car ennajem a ete tjrs un honnete juge
Je lui pose une question a cette kannou depuis 2011 elle n a jamais ete dans son bureau alors que les contribuables les payent ne croit elle pas qu elle est en effraction en recevant une paye dont elle n a jamais rendu service
Quelle se taise on ne desire plus entendre ou mm voir ces energumens
Je lui pose une question a cette kannou depuis 2011 elle n a jamais ete dans son bureau alors que les contribuables les payent ne croit elle pas qu elle est en effraction en recevant une paye dont elle n a jamais rendu service
Quelle se taise on ne desire plus entendre ou mm voir ces energumens
De quoi tu te mêles?
E.CHOURABI
| 04-02-2015 19:05
Il n y a pas lieu d'être juriste, petit ou grand, pour conclure à la clochardisation de la justice, depuis le 14/01/2011, du fait de décisions populistes, de contrats de claques et de mises en scènes de bas étage organisées par des pseudos révolutionnaires en quête de revanche contre une justice sur laquelle ils n'avaient jamais pu prendre le dessus, une justice qui faisait, tant bien que mal, son travail en toute neutralité loin des sphères politiques et médiatiques.
La justice a fait l'objet, depuis le 14/01/2011, à une action de destruction systématique débouchant sur l'effritement de l'appareil judiciaire et de la mise à la retraite des hauts magistrats, ceux-là même qui auraient pu tenir l'organe judiciaire loin des querelles et des influences politiques.
Les artisans de cette débâcle sont bien connus des gens de justice, toutes professions confondues, avec à leur tête les anciens membres du bureau exécutif de l'association des magistrats, l'ancien bâtonnier des avocats, certains droits de l'Hommiste telle que Ben Sedrine et comparses et bien évidemment Mohamed Ghanouchi qui, pour sauver sa tête, était prêt à donner tout le monde.
À voir la situation actuelle, il semble qu'elle illustre bien l'état de la justice tunisienne, jamais aussi mise à mal par ses propres enfants en quête de positionnement pour des postes de fonction et de privilèges plutôt que pour redorer le blason d'une justice qui était bien plus au service du citoyen et de la préservation des intérêts de l'État du temps de Bourguiba et de Ben Ali et ce quels que soient les griefs qu'on lui attribue.
La justice a fait l'objet, depuis le 14/01/2011, à une action de destruction systématique débouchant sur l'effritement de l'appareil judiciaire et de la mise à la retraite des hauts magistrats, ceux-là même qui auraient pu tenir l'organe judiciaire loin des querelles et des influences politiques.
Les artisans de cette débâcle sont bien connus des gens de justice, toutes professions confondues, avec à leur tête les anciens membres du bureau exécutif de l'association des magistrats, l'ancien bâtonnier des avocats, certains droits de l'Hommiste telle que Ben Sedrine et comparses et bien évidemment Mohamed Ghanouchi qui, pour sauver sa tête, était prêt à donner tout le monde.
À voir la situation actuelle, il semble qu'elle illustre bien l'état de la justice tunisienne, jamais aussi mise à mal par ses propres enfants en quête de positionnement pour des postes de fonction et de privilèges plutôt que pour redorer le blason d'une justice qui était bien plus au service du citoyen et de la préservation des intérêts de l'État du temps de Bourguiba et de Ben Ali et ce quels que soient les griefs qu'on lui attribue.
L EXPERIENCE NE SUFFIT PAS IL FAUT DE L AUDACE
STRASBOUG
| 04-02-2015 17:22
La montagne a accouché d une souris. La fin ne doit en aucun cas justifier l injustifiable. Cette formation gouvernementale est biaisée dés le départ La troïka ou plus exactement R. Ghannouch a inscrit dans le marbre la proportionnelle dans le système politique tunisien. Signifiant ainsi qu' il s est enraciné dans là sphère politique pour des décennies . Nida tounes a gagné les élections mais pas la confiance totale des pays européens et américains( grands bayeurs de fonds, indispensables au pays), . Mais en politique il y a aussi de l éthique et la crédibilité de la parole donnée. Il faudrait dorénavant en tenir compte. La Grèce( avec son audace) elle est en train de tout transformer en Europe et ailleurs. Ayez Mr le président ce même audace et ce même courage pour dire non à Mr Ghannouchi et appliquer et concrétiser le programme sur lequel le peuple vous a élu . J.J. ROUSSEAU a dit dans son ouvrage les contrats sociales SEULE LA VOLONTE LIBRE DU PEUPLE ASSURE LA LEGTIMITE DU POUVOIR. Quant à Mme Kannou je ne peut que vous soutenir et vous encourager.De Strasbourg ville de la cours des droits de l homme.
Pépites

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