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Cellule de crise du gouvernement : tout pour mettre en échec les menaces contre les sécuritaires
15/01/2015 | 20:51
1 min
Cellule de crise du gouvernement : tout pour mettre en échec les menaces contre les sécuritaires
La cellule de crise, chargée du suivi de la situation sécuritaire dans le pays, s’est réunie cet après-midi du jeudi 15 janvier 2015 sous la présidence de Mehdi Jomâa et en présence des ministres de l’Intérieur, de la Justice, de la Défense et du ministre chargé de la Sécurité ainsi que des conseillers sécuritaire et diplomatique auprès du chef du gouvernement.

La cellule de crise, indique un communiqué rendu public à l’issue de cette réunion, a passé en revue la situation sécuritaire générale dans le pays et la multiplication des menaces adressés aux sécuritaires et aux militaires ainsi que les moyens pour s’y opposer.
La cellule de crise a décidé d’accorder à ce dossier une priorité absolue et de tout mettre en œuvre pour protéger les sécuritaires en leur fournissant les armes nécessaires à des conditions bien déterminées. La mise sur pied de stratégies pour une lutte efficace contre le terrorisme a été, également, examinée tout en mettant l’accent sur la nécessité de renforcer le pôle sécuritaire de lutte contre le terrorisme.
La cellule de crise, conclut le même communiqué, a passé en revue la situation en Libye et les derniers développements du dossier des deux journalistes tunisiens enlevés qui bénéficie d’une priorité totale.
15/01/2015 | 20:51
1 min
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Commentaires (7) Commenter
La cellule de crise n'assume pas
DHEJ
| 16-01-2015 18:31
Par ignorance et lacheté!


Le port d'armes à feu est autorisées par la loi ainsi que son usage!

La circulaire de Lotfi Ben Jeddou doit porter obligatoirement les signatures de


- Président de la république commandant en chef des forces de l'ordre

- Le président du gouvernement

- Le ministre de la justice

- Le ministre de la défense nationale


Dois-je lire entre les lignes que les incompétents présent dans la réunion n'assument pas!


Le cercle du mal
1/raisonnable
| 16-01-2015 16:08
***. Le fait que Ganouchi avait insisté pour que Ben Jeddou reste à la tête du ministère de l'intérieur. Cela a interpellé l'ensemble des tunisiens. La raison est la suivante, primo, suivre les consignes du gourou et encadrer ceux qui sont infiltrés dans la sécurité. Secundo, dissiper les soupesons qui susceptibles de porter préjudice au bon déroulement des complots. (ne pas dévoiler sur les pratiques de Laryaadh et ses complices). Preuve que ceux-là étaient, les affaires d'assassinats politiques, où les enquêtes avaient été transmises à la justice de manières abusives et erronées. De surcroît que le suspect ait été vivant, or que, la police et le MI le déclarent mort suite aux interventions de la force de l'ordre pour le maîtriser'. Il convient de rappeler que, les quatre soldats tués à la maison de ce même MI. l'avenir nous dira un jour, si ce n'est pas Ben Jeddou par la complicité de LAryaad et sa meute que l'affaire ait été orchestrée. Cette stratégie a pour but d'écarter le soupçon qui pèse sur Cet ancien magistrat, A savoir complice d'Ennhda. En faite pour se monter victime de terrorisme et est persécuté
De tout coeur avec vous
Gg
| 16-01-2015 09:52
Je mesure le problème, la Tunisie subit en très grand et sur le long terme ce que la France a connu localement en trois jours.
C'est colossal.
Cela ne sert à rien bien sûr, mais de tout coeur je suis avec vous.
un combat éternel
Tounsi watani
| 16-01-2015 09:42
Bien armé notre police et notre armée avec des actions groupées contre les cellules dormantes des terroristes pour anticiper et éviter des catastrophes humaines. Il ne faut jamais avoir pitié des ces diables, pas de droit de l'homme et pas de philosophie stérile, ce sont des personnes dangereuses qui ne reculent jamais, ils tuent sans scrupule et ne se mettent jamais en danger. Ils veulent se donner à la mort pour aller au paradis, alors n'hésitez pas à leur faire plaisir et les envoyer dans un autre monde.Vive la Tunisie et abat ces traitres et ces assassins qui nous rendent la vie amère en Tunisie et à l'étranger.
Un Etat fort,une armée forte,une police forte.
muma
| 16-01-2015 08:13
La Tunisie-depuis 2011- avec l'anarchie,la violence,la corruption et le terrorisme était menacée par des barbares et des lâches islamistes ( qui se reconnaitront ) qui voulaient mettre le pays à feu et à sang.
Depuis le 1er janvier 2015,la tactique et la stratégie de notre armée ainsi que de nos forces de sécurité- mieux équipé(e)s,plus motivé(e) et encourgé(e)s- sont (re) passé(e)s à l'attaque pour liquider et éradiquer cette vermine de fanatiques,qui menaçaient la stabilité et l'existance du pays.
Maintenant que l'Etat devienne plus fort,avec une armée forte et une police forte ( qui recrutent à tour de bras ),les forces du mal et les apprenti(e)s-terroristes n'ont qu'à bien se tenir ou disparaitre.
La nouvelle stratégie c'est d'éliminer toute menace et assurer la paix sociale et le bien-être de la population,quelquesoit le coût de ces interventions.
Nous avons obligation et un devoir de soutenir notre police,notre armée et notre Etat,pour (sur)vivre.
PAS DE REPIT,PAS DE PARDON,PAS D'OUBLI,PAS DE NEGOCIATION,PAS DE MENACE.
Renforcer les effectifs
veritas
| 15-01-2015 22:54
La meilleur réponse c'est le renforcement des effectifs un peut partout sur le territoire et surtout tout le long des frontières ,il faut mettre en place des unités mobiles civile tout le long des routes tunisiennes,un scanner mobile doit sillonner le pays sur plusieurs routes pour faire des contrôles inopinés au niveau de tout type de véhicule a fin de décourager tout transfert ou transport d'armes vers les cités populaire un peut partout dans le pays car il y'a des poches comme hay ettadhamine douar hicher zahrouni el kram jbel lahmar et bien d'autres endroits car dans ces endroit on profite de la misère des gens pour les acheters a bas prix a fin de les entraîner dans la nébuleuse du terrorisme .
Les trainées ou le vestige du wahabisme.
Stouko
| 15-01-2015 21:37

Des menaces contre 4 agents de la garde nationale et leurs familles, ont été relevées au cours d'une semaine, par le biais de lettres glissées sous la porte. Cela se passe à Jendouba, où les unités de la garde nationale effectuent un travail colossal pour garantir la sécurité des citoyens, en combattant "ce qui reste" des fils de RG.

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