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BCE: Les causes de la révolution ne doivent plus avoir lieu d'être
14/01/2015 | 11:49
2 min
BCE: Les causes de la révolution ne doivent plus avoir lieu d'être
Le président de la République Béji Caïd Essebsi a prononcé un discours dans le cadre d’une cérémonie qui a été organisée ce matin du 14 janvier 2015 au Palais de Carthage.

Rappelant que la Tunisie fête en ce jour la révolution des jeunes et de la dignité, M. Caïd Essebsi a rappelé la première révolution qu’a été l'indépendance et a ajouté que la 2ème a été la libération de la société et de la femme, le tout grâce à Bourguiba.


D’autres problèmes ont eu lieu en 2010 comme la corruption, la pauvreté et le chômage qui ont provoqué une révolution ayant fait 330 martyrs et 4000 blessés et 16 morts parmi les membres des forces de l’ordre.

BCE a rendu hommage à Lotfi Naguedh qui a été lynché et à Chokri Belaid et Mohamed Brahmi sur les meurtres desquels on n’est pas arrivés à faire la lumière. « On doit enlever la marque de la honte que nous portons et trouver qui les a tués », a-t-il clamé.

Citant les militaires morts dans la lutte contre le terrorisme, BCE a réaffirmé qu’il tiendra ses promesses et qu’il place la lutte contre le terrorisme dans les priorités de la Tunisie.

« Il faut travailler pour éliminer les causes de la révolution », a enchaîné M. Caïd Essebsi. Il a promis de lutter contre la pauvreté et la marginalisation et d’être présent aux côtés de ceux qui en ont besoin.

Après avoir passé en revue des événements marquants comme les élections législatives et la mise en place d’instance nationales importantes, BCE a salué la femme tunisienne et son apport dans l’édifice de la démocratie.

Il a évoqué des sujets d’ordre international comme la situation de la Palestine et de la région du Maghreb arabe et sa conscience quant à l’importance de ces deux dossiers.

Rappelant que les promesses qu’on a faites doivent être tenues, BCE a insisté sur l’importance d’un travail en harmonie avec les différentes parties pour la mise en place de la justice transitionnelle susceptible de garantir que les problèmes du passé n’aient plus lieu d’être.
14/01/2015 | 11:49
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Commentaires (11) Commenter
@ AH
Citoyen_H
| 15-01-2015 00:55

Restons poli et courtois.
Évitez de prononcer le mot interdit de "travail", mot définitivement absent du dictionnaire de ces piranhas terrestres.

Vous risquez de vous retrouver avec une fatwa sur le dos.
Salutations et bonne chance.


LE MÉMOIRE INOUBLIABLE
NOUIFISY / BERBERE / FIERE
| 14-01-2015 23:13
Par mes respects mon ami ,François Marie Arouet , la cause la première cause réelle du soulèvement populaire du 14 Janvier 2011 ,
Certains invisibles avaient un programme de la destruction du monde arabe , qui ont classé les pays arabes par ordre décroisant en commençant par la Tunisie en investissant la pauvreté de certains villes tel que Sidi Bouzid, el Kef par une vague de propagande lancer par certains médiats qui avaient trouvé d'écho .
et comme vous le constater c'est vague de propagande ne s'arrêtait dans la limite de la Tunisie , l'Égypte la Libye , le Yemene , .la Syrie . . . .
Mais grâce à la sagesse mdes élites Tunisiens une prévention pour mettre fin à cette situation hérité de ladite révolution , par la création de L'A N C par Ben djaàfar Mustapha et son équipage .
La Tunisie n'a jamais était sous régime Dictature , en peut dire un régime de rigueur
de la première République que les Tunisiens avaient récolté ces fruits .
En a de l'éspoire à B C E de créer une autre méthode de gouvernance autre que celui des deux Présidents Bourguiba et Ben Ali , pour éviter ces fausses acquisitions ,
Bientôt le retour eminant de l'ancien Président Ben Ali qui avait épuisé sa jeunesse pour servir les Tunisiens comme en ne peut pas le comparaître avec esclave au service de treize millions d'habitants ,ces supporteurs sont nombreux à l'intérieur qu'à l'extérieur qui reconnaissaient leur efforts dans le domaine de gouvernance durant sa règne .
PAS DE RÉVOLUTION NI CONTRE RÉVOLUTION ? il n y que le travail pour sortir de la crise actuelle .
et Si Amar 404 04 reste toujours le slogan de la sécurité de la Tunisie . . .

Manque de mémoire?
François Marie Arouet
| 14-01-2015 16:19
M. Essebsi oublie la première cause réelle du soulèvement populaire du 14 Janvier 2011: la répression féroce d'un dictateur.
Signe de l'âge avancé ou oubli volontaire?
QUICONQUE NE PEUT PAS DÉPASSER LE PROGRÈS DE BEN ALI
TOUAGUINE
| 14-01-2015 15:04
Ceux qui ont en révolté par mes respects étaient à tord et ce 'est pas de leur faute ,ils connaissaient pas que la réalité de la situation économique, La Tunisie à des moyens limités en économie et malgré ces peu d'économie la machine social et sécuritaire était en marche avec un résultat très positif par rapport aux pays voisins qui possèdent des production en hydrocarbures .
a mon avis le moque de sensibilisation et l'influence de quelques médiats sont à l'origine de la dite révolution ,et comme la Tunisie est un point stratégique dans la région ,certains parties encastrés en encourager ladite révolution pour saute le président Z. A Ben Ali
( l'ami intime de Maamar Kaddafi pour les intérêts des Tunisiens ) et l'obliger a quitté le pouvoir pour qu'ils s'occupaient de l'opération de déracinement du pouvoir tyrannique de Maàmar Kaddafi avant qu'il cédera le pouvoir à son fils Saife qui porte un caractère humanitaire et qui etait mille fois mieux que son père ,

Est-ce que j'ai cru
DHEJ
| 14-01-2015 15:01
Que BCE allait me nommer ambassadeur de la Tunisien en Chine?
NABBIROU autant que vous voulez,***
Hamedmeg
| 14-01-2015 14:44
Même un magicien ne peut réussir en, à peine un mois ce que vous demandez, vous avez fermé vos G durant trois années et vous avez omis de bousculer la député d'Ennakba,Yamina Zoghlemi, chargée de vos dossiers depuis trois années, et maintenant vous voulez tout en un mois, allez maintenant consulter ceux qui vous ont poussé à faire cette comédie, si non et si CHEHID LAAKAL RJAALILKOM, demandez pardon à BCE ou TAH EL KEF ALA DHILLOU.
FIASCO DE LA CEREMONIE DES MARTYRS : UNE NATION DE GUEUX ?
JOHN WAYNE
| 14-01-2015 13:08
Parfois, c'est la mort dans l'âme que je dois me séparer de certains de mes caleçons blancs en coton peigné d'Egypte et achetés a Monoprix il y a de cela 30 années au moins. Car même après d'innombrables rafistolages, les sous-vêtements en questions deviennent inutilisables même après être passés entre les mains des couturières du Bardo, vêtues de hijab ou non et aux haleines fétides ou non, les plus habiles.
Même les mains de fée de ces femmes portant un foulard et qui semblent faire le Ramadan tous les jours et à l'année longue tant leurs relents 'sophagiens et leurs soupirs sont épicés, ne parviennent pas à redonner à ces reliques de mes jeunes années de fonctionnaire marié, leur blancheur et leurs apparences d'antan.
Les caleçons ayant dépassé la trentaine sont comme certaines de ces femmes pionnières des droits de l'homme et grandes admiratrices de George W. Bush : aucun lifting ne peut leur rendre leur fraicheur et leurs années perdues.
Et donc il m'arrive parfois dans l'étroite cour de ma base anti-impérialiste et anticolonialiste du Bardo de procéder solennellement a des autodafés de ces sous-vêtements ayant servi indirectement mais loyalement la Nation Tunisienne.
Et voyez-vous peuple de gueux, les Nations quelque part peuvent être comparées a des caleçons, les deux mots rimant élégamment dans leurs syllabes.
L'on a beau parfois rafistoler une Nation de ses trahisons multiples, rien n'y fera. Surtout si cette Nation agonisante et fripée est rafistolée par des faux Bourguiba et des faux leaders.
Les nations sont comme des femmes jalouses. Elles me permettent pas le partage et ne pardonnent jamais.
La Nation Tunisienne a été trahie par un peuple sot, inculte, bas, et dont la soumission coloniale est devenue légendaire dans le monde.
Les Tunisiens, quatre années après un putsch de la CIA qui a vu se pavaner les plus grands sionistes de ce bas monde arrivés en pays conquis à l'aéroport désaffecté de Tunis Carthage, continuent à faire la promotion sans spectateurs et sans admirateurs, d'une révolution « exemplaire » dans le monde.
La cérémonie des martyrs ou dois-je dire des faux martyrs, a vu un leader déjà fatigué même s'il n'occupe le lit de Bourguiba que depuis quelques semaines, retourner dare dare a sa chambre à coucher et à sa bouillotte après avoir prononcé d'une voie tremblotante un discours dont le thème n'intéresse plus.
Car le véritable slogan secret du peuple n'est plus « dégage » mais « Khobz ou Ma Wa Thouara La ! »
La Nation Tunisienne est non seulement guidée par des traitres et des opportunistes mais également par des somnambules.
Il y quelque chose de ridicule et de loufoque chez les Tunisiens qui ne cessent d'accumuler les humiliations dont les raisons ne sont autre que cette arrogance et cette bassesse coloniale devenues insupportables.
Comme ce jeune Tunisien tombé a Paris sous les balles de beurres assassins et dégoutants et dont les déclarations du Père meurtri et d'un stoïcisme admirable, m'ont véritablement ému.
Un homme tombé à la fleur de l'âge et au physique de jeune premier que nombreuses de Tunisiennes aux vies nocturnes de désolation sexuelle ont admiré pour ensuite découvrir que le même jeune homme avait comme véritable pays Israël et des intentions de rejoindre Tsahal qui excelle dans les crimes contre l'humanité depuis sa création en 1948.
La Tunisie est un caleçon délabré et dont la différence notable avec les caleçons que JOHN WAYNE incinère dans sa cour du Bardo, est l'état d'hygiène.
La Tunisie est un caleçon sale dont le peuple traitre continu à se pavaner et à exiger des sionistes de ce bas monde soutien et poignées de main.
Il est peut être grand temps pour l'armée et la Garde Nationale d'incinérer ce caleçon sale nommé « Nation Tunisienne » et de sauver un peuple déraisonnable ayant perdu le sien depuis le 14 Janvier 2011.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Où est passée la spontanéité ?
Scarabée
| 14-01-2015 12:59
Nous n'avons pas eu droit à un discours rassembleur, à de la chaleur, à une osmose avec les présents et le reste du peuple.
Juste un discours qui n'était qu'une lecture, plate et monocorde, ponctuée d'erreurs, de lapsus et de raclements de gorge, en langage officiel et rébarbatif.
Oubliées, les promesses de faire la lumière sur les assassinats des Belaïd, Brahmi et autres Nagdh. Leurs veuves se contenteront de médailles.
En résumé, circulez, il n'y a rien à voir !
Aidons notre nouveau gouvernement
ABDELWAHAB
| 14-01-2015 12:57
Nous devons TOUS nous remettre au travail.
Nos compatriotes ont fait preuve de maturité,nous sommes CAPABLES de remonter la pente ensemble avec de la DISCIPLINE de la bonne GOUVERNANCE et de la GESTION efficace..
La situation s'empire, Il n'a plus de temps pour les promesses
Hayy Ibn Yagdhan
| 14-01-2015 12:45
Des promesses et encore des promesses. Il faut des projets concrets qui aboutissent rapidement.

Les conditions qui ont menées au déclenchement de la revolution s' empirent. L' inflation des quatre dernières année a réduit le pouvoir d'achat, le chômage n'a pas baisse, et la corruption a augmente. Après quatre ans on a plus de chômage, plus de corruption, plus de pauvreté. Que compte faire BCE, il n'a pas termine son discours donc il faut attendre encore un jour, une semaine, un mois, une année ou plus.

Les forces qui monopolisent le pouvoir et la rente en Tunisie veulent seulement preserver leur avantages. Les exclus ont besoin d'attendre. L' UGTT paralyse le pays et exige des primes pour ses adherent meme si le gouvernement doit emprunter pour payer des primes de rendement des employés de sociétés déficitaires. Les professionnels refusent de payer les taxes. Les monopolistes bloquent toute reformes . Les enseignants bloquent les reformes de l'education pour préserver le marche lucratif des courts particuliers. Les étudiants bloquent la creation des Universites privées pour éliminer une competition potentielle.

Une épidémie d'égoïsme, chaque groupe protege son petit fief et tout le monde souffre.