Aux lecteurs qui suivent mes analyses, les membres des forces de police ont bel et bien agi comme je l'ai décrit dans une situation qui serait selon mon expérience avec le gouvernement Tunisien, idéale. Sachant que les forces de police du temps de Ben Ali étaient parmi les meilleures au monde sans avoir de grands moyens.
Ceci est un extrait du rapport du patron de la BRI, Christophe Molmy :
« Au top départ, la colonne d'assaut de la BRI fait donc «sauter à l'explosif la porte de livraison sur le côté de l'Hyper Cacher, bloquée par un diable et une palette de paquets de farine» : «Coulibaly nous engagé immédiatement au fusil d'assaut kalachnikov, et blessé un de mes hommes au mollet. On a répliqué fortement et Coulibaly a reculé. Quelques secondes après, la colonne du Raid attaque côté rue. Du coup, le terroriste qui avance vers le Raid se trouve pris entre deux feux, devant et derrière lui. Je ne sais pas ce qui lui est passé par la tête mais Coulibaly est sorti dans la rue en tirant, blessant trois policiers du Raid. Puis on l'a abattu sur le trottoir. Dans cet assaut d'une extrême violence, aucun otage n'a été blessé. Je suis fier du courage et du professionnalisme de mes hommes». Pour la première fois en France, les trois forces d'intervention GIGN, RAID et BRI ont «travaillé main dans la main en parfaite coordination. On a vraiment été des frères d'armes. »

Ces hommes ont bel et bien utilisé deux entrées, l'une d'elle ayant été forcée par des explosifs comme je l'ai si bien écrit dans mes analyses qui décrivent comment moi-même j'aurais agi si j'avais été le chef de cette opération.
Ma critique du GIGN demeure entière toutefois. La porte d'entrée principale et qui a vu l'assaut final et la mort du terroriste a été ouverte trop lentement ce qui a donné le temps au terroriste de tirer et de peut-être toucher des membres des forces de l'ordre. Cette même porte aurait du être ouverte aussi à l'aide d'explosifs. L'utilisation d'un blindé léger pour forcer la porte est aussi idéale car elle permet de forcer la porte rapidement, de déplacer tout objet lourd (dans ce cas des réfrigérateurs qui bloquaient la porte) et de servir de bouclier aux forces de l'ordre contre les balles de Kalachnikov qui traversent la plupart des gilets pare balles et même les boucliers en plexiglas renforcé.
Autre erreur grotesque et qui dénote que le GIGN est moins bien entrainé que la police Tunisienne de Ben Ali : aucune opération de déminage ce qui aurait causé un carnage !
A la place du GIGN, j'aurais utilisé une caméra endoscopique flexible à travers un trou dans la porte afin d'évaluer la situation de façon tactique et de déceler des explosifs éventuels.
Il s'agissait comme je l'ai mentionné bel et bien du GIGN.
En conclusion, les membres du GIGN doivent effectuer des stages en Tunisie.
A ceux qui me critiquent, je suis l'élite, celle qui a bâti un pays et battu les islamistes en Tunisie avec de petits moyens.
Vous ne disposez d'aucune chance de me battre que ce soit en connaissances politiques ou en connaissances militaires.
Retournez à vos mamans dans vos banlieues sales de Paris ou de Tel Aviv !

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

Nos forces spéciales de l'armée ont pris le dessus-depuis quelques semaines- sur les terroristes qui croyaient à tort mettre la Tunisie à feu et à sang.
Notre pays pacifiste et moderne se tient du côté des sécuritaires qui font des efforts gigantesques pour combattre et éradiquer cette vermine d'ignorant(e)s et de criminel(le)s lâches 24h/24 et 365j/an qu'il faut absolument abattre et éliminer.
Les succès se succèdent en matière de lutte et le peuple vous encourage dans cette voie afin que la Tunisie puisse avancer et respirer.
Nous avons confiance dans l'avenir de ce pays.Soyons uni(e)s contre le terrorisme.

Depuis que les pingouins ont détruit notre NATION ces trois dernières années, je me méfies de mon ombre.

Qui a connu le Paris de la fin des années 1950 et du début des années 1960 ?
C'était au temps béni ou même si la France nous colonisait, ce pays et son peuple suscitaient quelque part l'admiration.
La classe politique d'un état est représentative de son peuple.
Les Français du temps des années 1960 étaient un peuple plus homogène, plus cultivé, plus intéressant, et plus gracieux.
Et je dirais même plus qu'en ce temps-là, même les gangsters avaient de la classe.
Ceux-ci étaient en général du milieu Marseillais ou du milieu Corse et agissaient selon des règles d'honneur, un honneur qui n'incluait pas une religion désignée comme supérieure aux autres.
En ce temps-là, même les prostituées Françaises étaient belles et élégantes. J'en ai même aimé une ou plusieurs.
Quand a la classe politique, elle était un véritable Académie Française vivante.
La classe politique Française d'aujourd'hui est à l'image des Français devenus aujourd'hui aussi insignifiants que les Tunisiens.
Je ne désire pas m'attarder sur un mauvais sujet, trois jours après une tragédie qui nous a décrit en direct des policiers hurlant de douleur achevés comme l'on achève une bête d'abattoir, et des Présidents aux costumes démodés et rétrécis par des nettoyages à sec effectués avec soin et délicatesse par les beurres de l'Elysée, bégayant des discours que ***
La France est un pays dégénéré, lâche, faible, inculte, et surtout sioniste.
Mais surtout elle accuse le monde Arabo-musulman sans regarder son visage fripé de vielle peau dévergondée dans un miroir.
La France d'aujourd'hui est une putain que même le flic solitaire et a la retraite que je suis, ne daignerais pas approcher dans mes moments de plus grande solitude.
Une classe politique aussi terne que son peuple et dont les actions mondiales sont aussi inconséquentes et irresponsables que celles de l'oncle Sam.
La France n'a plus qu'un seul nom pour moi. Ce nom est Jean Marie Le Pen, l'homme qui ose dire tout, qui n'a peur de rien, et qui garde jusqu'à ce jour un courage politique que peu d'hommes au monde possèdent après des géants comme De Gaulle et Edgar Faure.
Je rends hommage en ce jour sombre pour la France, son peuple d'épiciers, d'éboueurs, d'opportunistes, de lâches, et de saltimbanques, a cet homme qui ne se rend pas et qui dans ces moments ou l'histoire se penchait du cote des gagnants, a osé dire tout ce que les nations les plus fortes n'ont pas osé dire.
Le Pen c'est ce Saddam Hussein encerclé qu'il a défendu par des visites en pleine guerre du Golfe, c'est ce Kadhafi assiégé à Syrte à qui il a rendu honneur, c'est surtout cette pauvre France son pays natal qu'il a défendu toute sa vie des envahisseurs, des bandits, des profiteurs, des sionistes véreux, et de ces Français qui ne l'ont jamais été.
Le Pen c'est moi et ce n'est pas vous !
Aujourd'hui, dans cette France qui n'est plus, et de cette Tunisie qui n'a jamais été, je dis tout haut :
Je suis JOHN WAYNE, orphelin de Bourguiba et flic de Ben Ali digne.
Mais je suis plus que jamais JEAN MARIE LE PEN !

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.