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BCE : s’il y avait un candidat valable je ne me serais jamais présenté à la présidentielle

Le chef du parti Nidaa Tounes Béji Caïd Essbesi a été, aujourd’hui, jeudi 6 novembre 2014, l’invité de Boubaker Ben Akacha, dans le cadre de son émission « Chokran ala el houdhour » sur Al Wataniya 1.
M. Caïd Essebsi a indiqué, à propos des derniers actes terroristes, que le combat de ce fléau ne peut se faire sans le rétablissement du prestige de l’Etat et l’instauration d’un Etat de droit. « Nous avons mis au point une stratégie pour combattre le terrorisme, nous procèderons d’une manière progressive et surtout préventive », a-t-il précisé. Il a ajouté, qu’en ce moment, il existe une absence totale « de l’Etat ». « Il y a même un candidat à la présidentielle qui a fait appel, aux LPR (ligues de protection de la révolution) pour le soutenir dans sa campagne électorale, en usant de moyens violents, et ce, malgré l’existence d’une décision de justice interdisant toute activité de ces ligues », a-t-il ajouté au sujet de Moncef Marzouki, sans toutefois le nommer.
Interrogé sur les futures alliances, le chef de Nidaa Tounes a réitéré sa position de ne se prononcer sur aucune possibilité d’alliance ni d’éventuelle forme de soutien avant le résultat de la présidentielle, précisant que les deux scrutins sont étroitement liés.
Concernant les rumeurs, selon lesquelles M. Caïd Essebsi serait prêt à céder sa place pour un autre candidat, il a affirmé que s’il y avait sur la scène politique un candidat qui mérite son soutien, il n’aurait jamais présenté sa candidature à la magistrature suprême.
Dans le même contexte, il a ajouté qu’il espère gagner dès le premier tour. « Dans une guerre, il faut prévoir tous les moyens pour gagner, et gagner comme il se doit », a-t-il dit en substance
Il est à signaler que le candidat du parti de l’Union patriotique libre, Slim Riahi, était également invité à cette émission, sauf qu’il a envoyé une lettre pour s’excuser de ne pouvoir y assister, selon les précisions de l’animateur.
M. Caïd Essebsi a indiqué, à propos des derniers actes terroristes, que le combat de ce fléau ne peut se faire sans le rétablissement du prestige de l’Etat et l’instauration d’un Etat de droit. « Nous avons mis au point une stratégie pour combattre le terrorisme, nous procèderons d’une manière progressive et surtout préventive », a-t-il précisé. Il a ajouté, qu’en ce moment, il existe une absence totale « de l’Etat ». « Il y a même un candidat à la présidentielle qui a fait appel, aux LPR (ligues de protection de la révolution) pour le soutenir dans sa campagne électorale, en usant de moyens violents, et ce, malgré l’existence d’une décision de justice interdisant toute activité de ces ligues », a-t-il ajouté au sujet de Moncef Marzouki, sans toutefois le nommer.
Interrogé sur les futures alliances, le chef de Nidaa Tounes a réitéré sa position de ne se prononcer sur aucune possibilité d’alliance ni d’éventuelle forme de soutien avant le résultat de la présidentielle, précisant que les deux scrutins sont étroitement liés.
Concernant les rumeurs, selon lesquelles M. Caïd Essebsi serait prêt à céder sa place pour un autre candidat, il a affirmé que s’il y avait sur la scène politique un candidat qui mérite son soutien, il n’aurait jamais présenté sa candidature à la magistrature suprême.
Dans le même contexte, il a ajouté qu’il espère gagner dès le premier tour. « Dans une guerre, il faut prévoir tous les moyens pour gagner, et gagner comme il se doit », a-t-il dit en substance
Il est à signaler que le candidat du parti de l’Union patriotique libre, Slim Riahi, était également invité à cette émission, sauf qu’il a envoyé une lettre pour s’excuser de ne pouvoir y assister, selon les précisions de l’animateur.
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