Dernières news
Nabil Karoui au Foreign Policy: HAICA is a joke !

{legende_image}
Le magazine Foreign Policy a publié, dans son édition électronique du mois de juin 2014, un article intitulé « A tale of two decrees" (un conte de deux décrets) dans lequel l’auteur Fadil Aliriza revient sur les décrets 115 et 116 en vertu duquel la HAICA a été créée.
Après avoir dressé brièvement un tableau de l’état des lieux du secteur des médias en Tunisie d’avant et après la révolution, l’accent a été mis, dans cet article, sur l’institution de la HAICA et les retombées sur les différents organismes médiatiques de la place. A cet effet, Nabil Karoui, directeur de la chaîne de télévision Nessma, a indiqué que les membres de la HAICA ne s’y connaissent pas dans le secteur qu’ils entendent réguler. « Le cahier des charges imposé par cette instance décline des restrictions qui menacent la rentabilité en matière de publicité » regrette Nabil Karoui qui déclare qu’il a perdu 70% de ses recettes publicitaires au cours des trois dernières années. « Ils (membres de la HAICA) pensent que nous sommes tous des Murdoch mais nous sommes tous si malheureux » déplore le patron de Nessma TV.
Par ailleurs, Nabil Karoui a déclaré au Foreign Policy que la HAICA est une blague (HAICA is a joke) ajoutant qu’en tant qu’instance, elle est temporaire et il demeure confiant que l’Assemblée nationale constituante finira par l’éliminer à la suite des prochaines élections législatives et présidentielle. « Nous, en tant qu'opérateurs du secteur médiatique, nous avons vu le danger provenant de cette instance et les députés de l’ANC l’ont également vu » souligne Nabil Karoui tout en précisant qu’avec ses collègues, ils sont en train d’élaborer une nouvelle loi portant sur les médias qui protégera leurs intérêts.
Après avoir dressé brièvement un tableau de l’état des lieux du secteur des médias en Tunisie d’avant et après la révolution, l’accent a été mis, dans cet article, sur l’institution de la HAICA et les retombées sur les différents organismes médiatiques de la place. A cet effet, Nabil Karoui, directeur de la chaîne de télévision Nessma, a indiqué que les membres de la HAICA ne s’y connaissent pas dans le secteur qu’ils entendent réguler. « Le cahier des charges imposé par cette instance décline des restrictions qui menacent la rentabilité en matière de publicité » regrette Nabil Karoui qui déclare qu’il a perdu 70% de ses recettes publicitaires au cours des trois dernières années. « Ils (membres de la HAICA) pensent que nous sommes tous des Murdoch mais nous sommes tous si malheureux » déplore le patron de Nessma TV.
Par ailleurs, Nabil Karoui a déclaré au Foreign Policy que la HAICA est une blague (HAICA is a joke) ajoutant qu’en tant qu’instance, elle est temporaire et il demeure confiant que l’Assemblée nationale constituante finira par l’éliminer à la suite des prochaines élections législatives et présidentielle. « Nous, en tant qu'opérateurs du secteur médiatique, nous avons vu le danger provenant de cette instance et les députés de l’ANC l’ont également vu » souligne Nabil Karoui tout en précisant qu’avec ses collègues, ils sont en train d’élaborer une nouvelle loi portant sur les médias qui protégera leurs intérêts.
Na. B
sur le fil
13:25
Double imposition des Tunisiens à l’étranger : un député pointe des pratiques fiscales controversées
08:32
Tensions à la CPG
Dans la même Rubrique
Commentaires
Pépites

À combien équivaut le don de blé irakien ?
07/05/2025
3

Mourad Zeghidi, fino alla fine*
07/05/2025