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L'A.P.T.B.E.F refuse de publier la liste des crédits révélée par Néjib Mrad

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L'Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers (A.P.T.B.E.F) a exprimé dans un communiqué, jeudi 13 mars 2014, son refus de publier la liste des crédits des principaux opérateurs économiques du secteur privé.
Par ailleurs, l’association a tenu à préciser dans son communiqué, que la liste présentée par le député d’Ennahdha et rapporteur général de la Commission de la réforme administrative et de la lutte contre la corruption au sein de l’Assemblée Nationale Constituante le lundi 10 mars 2014, Néjib Mrad, remonte à l’année 2003. Elle a indiqué, également, que ces crédits concernent tout le secteur bancaire et non seulement les banques publiques, dénonçant, ainsi, la confusion délibérée entre les obligations et les dettes classées.
Cette confusion laisse entendre que la totalité de ces dettes ne peut être recouvrable, alors qu’en réalité elle a été, en majorité, remboursée. D’autre part, il a été souligné que le taux d’endettement ne peut être considéré trop élevé qu’après avoir évalué les investissements réalisés, ainsi que le niveau d’activité de ces institutions économiques.
Au final, l’association a révélé que la contribution du secteur bancaire et financier dans le financement de l’économie, durant la période de transition, a atteint les 53 milliards de dinars jusqu’à l’année 2013.
Par ailleurs, l’association a tenu à préciser dans son communiqué, que la liste présentée par le député d’Ennahdha et rapporteur général de la Commission de la réforme administrative et de la lutte contre la corruption au sein de l’Assemblée Nationale Constituante le lundi 10 mars 2014, Néjib Mrad, remonte à l’année 2003. Elle a indiqué, également, que ces crédits concernent tout le secteur bancaire et non seulement les banques publiques, dénonçant, ainsi, la confusion délibérée entre les obligations et les dettes classées.
Cette confusion laisse entendre que la totalité de ces dettes ne peut être recouvrable, alors qu’en réalité elle a été, en majorité, remboursée. D’autre part, il a été souligné que le taux d’endettement ne peut être considéré trop élevé qu’après avoir évalué les investissements réalisés, ainsi que le niveau d’activité de ces institutions économiques.
Au final, l’association a révélé que la contribution du secteur bancaire et financier dans le financement de l’économie, durant la période de transition, a atteint les 53 milliards de dinars jusqu’à l’année 2013.
S.H
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