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Campagne de soutien à Imed Deghij avec le slogan "le chaos est la solution"
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Suite à l’arrestation du leader de la section du Kram des Ligues de protection de la révolution, dans la soirée du mercredi 26 février 2014, une véritable campagne de soutien a été organisée sur les réseaux sociaux afin d’appeler à sa libération.
Les partisans des LPR ont scandé comme slogan « le chaos est la solution » et ont appelé à la mobilisation de toutes les régions tunisiennes. Maître mot de ces manifestations : « la colère, et encore la colère ». Les protestataires dénoncent une campagne contre « les jeunes de la révolution », en citant, Aymen Ben Ammar, Yassine Ayari et Imed Deghij.
On notera que des affrontements ont actuellement lieu au Kram suite à l'arrestation de Deghij où les forces de l'ordre ont recours au gaz lacrymogène pour disperser les manifestants.
Rappelons qu'Imed Deghij est connu pour ses appels à la violence et au lynchage. Dans une vidéo publiée hier sur sa page Facebook, il a exprimé son mépris face aux syndicats des forces de l'ordre qu'il a qualifiés de "criminels" et a défié les magistrats qu'il a accusé de "recourir aux pratiques de l'ancien régime". "Nous ne mourrons pas avant de vous avoir éradiqués", a-t-il conclu son discours.
Les partisans des LPR ont scandé comme slogan « le chaos est la solution » et ont appelé à la mobilisation de toutes les régions tunisiennes. Maître mot de ces manifestations : « la colère, et encore la colère ». Les protestataires dénoncent une campagne contre « les jeunes de la révolution », en citant, Aymen Ben Ammar, Yassine Ayari et Imed Deghij.
On notera que des affrontements ont actuellement lieu au Kram suite à l'arrestation de Deghij où les forces de l'ordre ont recours au gaz lacrymogène pour disperser les manifestants.
Rappelons qu'Imed Deghij est connu pour ses appels à la violence et au lynchage. Dans une vidéo publiée hier sur sa page Facebook, il a exprimé son mépris face aux syndicats des forces de l'ordre qu'il a qualifiés de "criminels" et a défié les magistrats qu'il a accusé de "recourir aux pratiques de l'ancien régime". "Nous ne mourrons pas avant de vous avoir éradiqués", a-t-il conclu son discours.
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