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La bataille des élections

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Par Mehdi Rebaï*
Après presque trois ans de lutte continue entre première élection, projet de Constitution et mise en place du nouveau gouvernement, au sein des partis constituant la scène politique, l’organisation est quasi militaire. Les différents « généraux » ainsi que leurs lieutenants savent qu’à partir de maintenant, c’est la dernière ligne droite, celle pour laquelle leurs « armées » respectives ont été créées : LES ELECTIONS.
Formidable enjeu pour tout politique- politicien, un jour, où la population donne confiance à celui qu’elle pense être le plus méritant. Celui à qui elle va donner la clef du pouvoir pour les cinq prochaines années. Rarement miracle a eu lieu : pour remporter la bataille des élections, il faut avoir la meilleure armée. Dans une armée au sein de la structure d’un parti, il y a d’abord les généraux et, force est de constater qu’ils sont vraiment différents répartis entre les pragmatiques (peu nombreux), les rêveurs (assez courant) et les pessimistes (rares). Certains ont beaucoup plus d’expérience, d’autres moins. Leurs décisions stratégiques permettront à leurs armées de gagner des points lors de la cette bataille. Avoir de bons généraux est important mais est très loin d’être suffisant. Ces troupes bien formées et bien structurées doivent savoir qui fait quoi, comment et pourquoi.
Alors dans les quartiers généraux des partis qui se respectent c’est le branlebas de combat. Les stratèges déroulent les chiffres, les communicateurs ajustent le tir, les troupes sont en formation, les cadres motivent les adhérents et les généraux discutent les tactiques. Une chose est sûre, AUCUNE des armées se présentant actuellement sur la scène actuelle n’est encore prête pour la bataille. Certaines plus que d’autres sont encore loin du niveau de perfection requis. La bataille des élections est l’apothéose de la démocratie, chacun de nous a des idées et mérite donc sa place dans la construction de notre pays. Chacun de nous est utile dans cette bataille avec ses idées et sa présence sur du terrain. Engageons-nous dans ce combat si nous croyons en la démocratie, car celle-ci ne peut être réalisée qu’avec des hommes et des femmes qui y croient et qui s’y engagent. Tout est encore à bâtir et à conquérir. « Les gens célèbres sont des gens ordinaires qui se sont engagés vers des buts extraordinaires», disait Robert Schuller.
*Mehdi Rebaï est membre du bureau politique du parti Afek
Après presque trois ans de lutte continue entre première élection, projet de Constitution et mise en place du nouveau gouvernement, au sein des partis constituant la scène politique, l’organisation est quasi militaire. Les différents « généraux » ainsi que leurs lieutenants savent qu’à partir de maintenant, c’est la dernière ligne droite, celle pour laquelle leurs « armées » respectives ont été créées : LES ELECTIONS.
Formidable enjeu pour tout politique- politicien, un jour, où la population donne confiance à celui qu’elle pense être le plus méritant. Celui à qui elle va donner la clef du pouvoir pour les cinq prochaines années. Rarement miracle a eu lieu : pour remporter la bataille des élections, il faut avoir la meilleure armée. Dans une armée au sein de la structure d’un parti, il y a d’abord les généraux et, force est de constater qu’ils sont vraiment différents répartis entre les pragmatiques (peu nombreux), les rêveurs (assez courant) et les pessimistes (rares). Certains ont beaucoup plus d’expérience, d’autres moins. Leurs décisions stratégiques permettront à leurs armées de gagner des points lors de la cette bataille. Avoir de bons généraux est important mais est très loin d’être suffisant. Ces troupes bien formées et bien structurées doivent savoir qui fait quoi, comment et pourquoi.
Alors dans les quartiers généraux des partis qui se respectent c’est le branlebas de combat. Les stratèges déroulent les chiffres, les communicateurs ajustent le tir, les troupes sont en formation, les cadres motivent les adhérents et les généraux discutent les tactiques. Une chose est sûre, AUCUNE des armées se présentant actuellement sur la scène actuelle n’est encore prête pour la bataille. Certaines plus que d’autres sont encore loin du niveau de perfection requis. La bataille des élections est l’apothéose de la démocratie, chacun de nous a des idées et mérite donc sa place dans la construction de notre pays. Chacun de nous est utile dans cette bataille avec ses idées et sa présence sur du terrain. Engageons-nous dans ce combat si nous croyons en la démocratie, car celle-ci ne peut être réalisée qu’avec des hommes et des femmes qui y croient et qui s’y engagent. Tout est encore à bâtir et à conquérir. « Les gens célèbres sont des gens ordinaires qui se sont engagés vers des buts extraordinaires», disait Robert Schuller.
*Mehdi Rebaï est membre du bureau politique du parti Afek
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