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Les représentants d'Akher Khabar convoqués simultanément par deux brigades différentes

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La journaliste d’Akher Khabar, Dorra Gharbi, et le représentant juridique du journal, Sofiène Chourabi, ont reçu des convocations à se présenter devant la brigade des recherches et d’inspection de la Garde nationale d’Enfidha, le 26 décembre 2013, suite à une plainte déposée par l’Imam de la mosquée d’Enfidha les accusant de diffamation pour avoir publié un article intitulé «Carte géographique des mosquées dominées par les terroristes», publié le 11 décembre 2013.
Mme Gharbi à indiqué au Centre de Tunis pour la liberté de la presse (CTLP) que «la convocation ne mentionne ni le motif ni l’identité de la partie plaignante, sauf qu’elle a pu le deviner, car elle a cité, dans l’article incriminé, son prénom». Elle a précisé qu’elle a décidé avec M. Chourabi de ne pas se présenter devant la brigade concernée.
Pour sa part, le rédacteur en chef du même journal, Taoufik Ayachi, affirme avoir reçu une convocation pour le mardi 24 décembre 2013, pour comparaître devant la brigade des recherches et d’inspection d’El Aouina, mais qu’il ne s’y est pas rendu, précisant qu’il n’a aucune idée du motif de la convocation.
A cette occasion, le Centre de Tunis pour la liberté de la presse a exprimé son entière solidarité avec Mme Gharbi, M. Chourabi et M. Ayachi, craignant que la convocation de ces trois journalistes soit due à la ligne éditoriale du journal, d’autant plus qu’il existe des anomalies juridiques dans les différentes convocations et qui ne peuvent que renforcer ces craintes.
Le Centre réitère son appel à mettre à l’écart les brigades sécuritaires et les instances judiciaires quand il s’agit de débattre des contenus médiatiques et de se limiter au droit de réponse et les débats, à ce sujet, dans les espaces publics.
Mme Gharbi à indiqué au Centre de Tunis pour la liberté de la presse (CTLP) que «la convocation ne mentionne ni le motif ni l’identité de la partie plaignante, sauf qu’elle a pu le deviner, car elle a cité, dans l’article incriminé, son prénom». Elle a précisé qu’elle a décidé avec M. Chourabi de ne pas se présenter devant la brigade concernée.
Pour sa part, le rédacteur en chef du même journal, Taoufik Ayachi, affirme avoir reçu une convocation pour le mardi 24 décembre 2013, pour comparaître devant la brigade des recherches et d’inspection d’El Aouina, mais qu’il ne s’y est pas rendu, précisant qu’il n’a aucune idée du motif de la convocation.
A cette occasion, le Centre de Tunis pour la liberté de la presse a exprimé son entière solidarité avec Mme Gharbi, M. Chourabi et M. Ayachi, craignant que la convocation de ces trois journalistes soit due à la ligne éditoriale du journal, d’autant plus qu’il existe des anomalies juridiques dans les différentes convocations et qui ne peuvent que renforcer ces craintes.
Le Centre réitère son appel à mettre à l’écart les brigades sécuritaires et les instances judiciaires quand il s’agit de débattre des contenus médiatiques et de se limiter au droit de réponse et les débats, à ce sujet, dans les espaces publics.
D’après communiqué
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