Le 1er novembre, les Algériens commémorent le début de la Révolution de 1954. A cette occasion, l'ambassade d'Algérie à Tunis a organisé en début de la soirée d'aujourd'hui vendredi 1er novembre 2013, une réception avec plusieurs centaines d'invités dont de nombreuses personnalités très connues dans le monde politique, médiatique, du monde des affaires et plusieurs diplomates et ambassadeurs étrangers.
L'ambassadeur de l'Algérie à Tunis, Abdelkader Hajjar a très chaleureusement accueilli ses hôtes en dépit de la file interminable des invités et le flux impressionnant de personnes conviées.





Etaient présents à cette cérémonie plusieurs personnalités à l'instar de Rached Ghannouchi, Ali Lâarayedh, Ahmed Néjib Chebbi, Mohamed Ben Salem, Noureddine Bhiri, Ameur Lâarayedh, Noureddine Khademi, Zied Lâadheri, Mustapha Ben Jaâfar, Khalil Zaouia, Elyes Fakhfakh, Béji Caïd Essebsi, Taïb Baccouche, Chokri Yaïche, Mehdi Ben Gharbia, Othmen Jarandi, Hamma Hammemi, Mohamed Ennasser, Ahmed Mestiri, Mustapha Kamel Nabli, Imed Deimi, Adnene Mansar, Slim Ben Abdessalem, l'ancien Mufti Othmen Battikh, Mohamed Abbou, Mohamed Kilani, Samira Maraï, Rym Mahjoub …
Et des personnalités de l'ancien régime telles que Slim Tlatli, Sadok Korbi, Hédi Jilani, Abdallah Kallel, Hamed Karoui, Hédi Baccouche, Taher Belkhouja …

On notera cette "surprise", la présence de Bahri Jelassi qui donnait des interviews télévisées pour parler de ces "vendus" présents à l'ambassade.








La cérémonie a été marquée par un discours de M. Hajjar, lors duquel, il a rappelé la gloire de la révolution algérienne et a rendu hommage au million et demi de martyrs qui y ont péri. Il n'a pas omis de rappeler également les liens de fraternité et de collaboration historique entre l'Algérie et la Tunisie et entre les peuples des deux pays.



Lors de cette cérémonie l'ambassadeur algérien a coupé en compagnie du chef du gouvernement Ali Lâarayedh et du président de l'ANC Mustapha Ben Jâafar, un grand gâteau où figuraient les drapeaux des deux pays.

Quant à la présidence de la République, on a noté la présence d'Adnene Mansar qui a subitement pris son cartable et quitté la salle VIP dès l'arrivée de M. Lâarayedh, avec un visage fort tendu. il était pourtant bien normal quand BCE était à ses côtés. Etait-ce une réaction, ou aurait-il eu une urgence nécessitant son départ précipité? On ne dispose encore d'aucune explication.