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Brèves de France et des forces progressistes: Un Euromed de gauche ?

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Comme chaque année, de très nombreuses organisations de la société civile, et l’essentiel des partis politiques de gauche des cinq continents ont l’occasion de se croiser à La fête de l’Humanité, voire même de chercher à mieux se coordonner.
C’est ainsi que des responsables de formations politiques du Maghreb et du sud de l’Europe se sont rencontrés, -sans avoir pour l’instant fait l’objet d’une communication officielle-, échangeant informations et diagnostics de la situation économique et sociale respective de leur pays et des sujets d’intérêt et de préoccupation partagés.
Coté maghrébin, les principaux thèmes abordés étaient: les conséquences de la logique du modèle de développement extraverti sous perfusion d’emprunts. Mais une question centrale et d’actualité brulante a occupé l’essentiel de ces rencontres forts discrètes.
Le lancement des négociations en vue d’un accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA) avec l’Union européenne, -en cours de discussion et en bilatéral avec chacun des pays-, projet émanant de la commission européenne.
Les représentants du sud ont conclu à une mise en concurrence pernicieuse, jugée dangereuse et dommageable qui consiste à vouloir arracher des avantages asymétriques et accentuer les réponses de dumping fiscal et social des « partenaires du sud ».
De leur coté, français espagnols et italiens ont souligné le caractère absurde et désastreux de la politique économique et financière de l’Europe (via la BCE, la BEI, les fonds spéciaux de la CE), une politique qui favorise la délocalisation d’activités à forte intensité de main d’œuvre et ne répond pas à l’urgence d’un rééquilibrage des échanges.

Les représentants des 2 rives de la Méditerranée ont convenu de la nécessité d’une riposte rapide et d’interventions plus « visiblement » coordonnées, auprès des institutions européennes, -sans pour autant en dévoiler les détails-, et ce, afin de peser sur les discussions en cours quasi « secrètes » entre technocrates mandatés des 2 rives.
Ces responsables ont insisté sur la nécessité d’offrir un front uni afin d’obtenir la révision de clauses et de dispositions d’intérêt commun, permettant de faire progresser ces traités et leurs modalités de fonctionnement (règles de fonctionnement de la BEI et des fonds dits structuraux) vers une meilleure prise en compte des exigences d’un réel co-développement.
Fort peu visible tout au long de cette fête, cet « Euromed de gauche » a promis des actions pour alerter les opinions publiques respectives, quelques participants allant même jusqu’à susurrer que certaines d’entre-elles seraient spectaculaires…
C’est ainsi que des responsables de formations politiques du Maghreb et du sud de l’Europe se sont rencontrés, -sans avoir pour l’instant fait l’objet d’une communication officielle-, échangeant informations et diagnostics de la situation économique et sociale respective de leur pays et des sujets d’intérêt et de préoccupation partagés.
Coté maghrébin, les principaux thèmes abordés étaient: les conséquences de la logique du modèle de développement extraverti sous perfusion d’emprunts. Mais une question centrale et d’actualité brulante a occupé l’essentiel de ces rencontres forts discrètes.
Le lancement des négociations en vue d’un accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA) avec l’Union européenne, -en cours de discussion et en bilatéral avec chacun des pays-, projet émanant de la commission européenne.
Les représentants du sud ont conclu à une mise en concurrence pernicieuse, jugée dangereuse et dommageable qui consiste à vouloir arracher des avantages asymétriques et accentuer les réponses de dumping fiscal et social des « partenaires du sud ».
De leur coté, français espagnols et italiens ont souligné le caractère absurde et désastreux de la politique économique et financière de l’Europe (via la BCE, la BEI, les fonds spéciaux de la CE), une politique qui favorise la délocalisation d’activités à forte intensité de main d’œuvre et ne répond pas à l’urgence d’un rééquilibrage des échanges.

Les représentants des 2 rives de la Méditerranée ont convenu de la nécessité d’une riposte rapide et d’interventions plus « visiblement » coordonnées, auprès des institutions européennes, -sans pour autant en dévoiler les détails-, et ce, afin de peser sur les discussions en cours quasi « secrètes » entre technocrates mandatés des 2 rives.
Ces responsables ont insisté sur la nécessité d’offrir un front uni afin d’obtenir la révision de clauses et de dispositions d’intérêt commun, permettant de faire progresser ces traités et leurs modalités de fonctionnement (règles de fonctionnement de la BEI et des fonds dits structuraux) vers une meilleure prise en compte des exigences d’un réel co-développement.
Fort peu visible tout au long de cette fête, cet « Euromed de gauche » a promis des actions pour alerter les opinions publiques respectives, quelques participants allant même jusqu’à susurrer que certaines d’entre-elles seraient spectaculaires…
Hédi Sraïeb
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