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Noureddine Khademi défend, bec et ongles, le nouveau mufti

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Le ministre des Affaires religieuses, Noureddine Khademi s’est exprimé, ce matin du 10 juillet 2013 sur Express Fm, au sujet de différents points, tels que le rôle dont est investi le ministère des Affaires religieuses ou la nomination de Hamda Saïed au poste de Mufti de la République.
Pour Noureddine Khademi, « la responsabilité du ministère des Affaires religieuses, en cette période postrévolutionnaire est légitime, juridique et révolutionnaire. » Et d’ajouter, que «le ministère des Affaires religieuses a besoin d’assainissement parce qu’il a longtemps été tenu à l’écart de la société ». Ce qui fait, que « pendant les cinq dernières années, les tunisiens ont été privés de cours islamiques dispensés dans les mosquées ».
Pour ce qui est du remplacement de l’ancien mufti de la République, Othman Battikh, par Hamda Saïed, le ministre des Affaires religieuses a déclaré que cette nomination est faite par la présidence de la République parce que cela fait partie des prérogatives de Moncef Marzouki.
Concernant le passé RCDiste de Hamda Saïed, Noureddine Khademi a essayé d’éluder la question en affirmant que la personne la plus apte à répondre est le nouveau mufti. Face à l’insistance du journaliste, le ministre des Affaires religieuses a tenu à témoigner du passé patriotique de Hamda Saïed et de dire qu’« il a eu des positions héroïques et a combattu farouchement l’ancien régime ».
Lui ayant fait remarquer que le nouveau mufti a occupé le poste de parlementaire sous Ben Ali, le journaliste s’est vu répéter par Noureddine Khademi que le mieux placé pour répondre à cette question est Hamda Saïed.
Noureddine Khademi a renchéri en disant que Hamda Saïed « a été privé à un certain moment de son immunité parlementaire et a été empêché, notamment du prêche du vendredi et de sa participation au sein des associations coraniques ». Et d’affirmer que si Hamda Saïed « a été au parlement à un moment donné, cela devait certainement être pour une bonne raison, comme essayer de réformer le système de l’intérieur ».
Pour Noureddine Khademi, « la responsabilité du ministère des Affaires religieuses, en cette période postrévolutionnaire est légitime, juridique et révolutionnaire. » Et d’ajouter, que «le ministère des Affaires religieuses a besoin d’assainissement parce qu’il a longtemps été tenu à l’écart de la société ». Ce qui fait, que « pendant les cinq dernières années, les tunisiens ont été privés de cours islamiques dispensés dans les mosquées ».
Pour ce qui est du remplacement de l’ancien mufti de la République, Othman Battikh, par Hamda Saïed, le ministre des Affaires religieuses a déclaré que cette nomination est faite par la présidence de la République parce que cela fait partie des prérogatives de Moncef Marzouki.
Concernant le passé RCDiste de Hamda Saïed, Noureddine Khademi a essayé d’éluder la question en affirmant que la personne la plus apte à répondre est le nouveau mufti. Face à l’insistance du journaliste, le ministre des Affaires religieuses a tenu à témoigner du passé patriotique de Hamda Saïed et de dire qu’« il a eu des positions héroïques et a combattu farouchement l’ancien régime ».
Lui ayant fait remarquer que le nouveau mufti a occupé le poste de parlementaire sous Ben Ali, le journaliste s’est vu répéter par Noureddine Khademi que le mieux placé pour répondre à cette question est Hamda Saïed.
Noureddine Khademi a renchéri en disant que Hamda Saïed « a été privé à un certain moment de son immunité parlementaire et a été empêché, notamment du prêche du vendredi et de sa participation au sein des associations coraniques ». Et d’affirmer que si Hamda Saïed « a été au parlement à un moment donné, cela devait certainement être pour une bonne raison, comme essayer de réformer le système de l’intérieur ».
I.C
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