Alors que son président ne cesse d'appeler à l'unification et à l'arrêt de la propagation de rumeurs, le député CPR Samir Ben Amor agit comme si de rien n'était.
Il vient de publier sur sa page FB une information non étayée par des preuves et qu'aucun journaliste (dont ceux de Business News) n'a relevée lors des élections des membres du Conseil de l'Ordre des avocats. Le député déclare que le parti du Molotov (comme il surnomme Nidaa Tounes depuis des mois) aurait tenté de falsifier ces élections. À l'entendre, on aurait arrêté le dépouillement et on va procéder de nouveau au comptage des voix, à cause d´une histoire de falsification derrière laquelle se trouverait Nidaa Tounes.
Or, comme peut le constater notre correspondant sur place, il y a bel et bien eu falsification de la part de la personne chargée d'inscrire les voix sur le tableau, portant le prénom d'Anis, mais nul dans la salle n'a accusé Nidaa Tounes. C'est même tout le contraire, l'avocat qui a profité de la falsification aurait une tendance radicalement différente et aurait des sympathies islamistes. On a alors arrêté le comptage, au milieu de tout un tohubohu et certains journalistes ont été invités à effacer leurs enregistrements, mais aucune des personnes présentes sur place n'a accusé un parti particulier, contrairement à ce que prétend sans preuves Samir Ben Amor.
Alors que son président ne cesse d'appeler à l'unification et à l'arrêt de la propagation de rumeurs, le député CPR Samir Ben Amor agit comme si de rien n'était.
Il vient de publier sur sa page FB une information non étayée par des preuves et qu'aucun journaliste (dont ceux de Business News) n'a relevée lors des élections des membres du Conseil de l'Ordre des avocats. Le député déclare que le parti du Molotov (comme il surnomme Nidaa Tounes depuis des mois) aurait tenté de falsifier ces élections. À l'entendre, on aurait arrêté le dépouillement et on va procéder de nouveau au comptage des voix, à cause d´une histoire de falsification derrière laquelle se trouverait Nidaa Tounes.
Or, comme peut le constater notre correspondant sur place, il y a bel et bien eu falsification de la part de la personne chargée d'inscrire les voix sur le tableau, portant le prénom d'Anis, mais nul dans la salle n'a accusé Nidaa Tounes. C'est même tout le contraire, l'avocat qui a profité de la falsification aurait une tendance radicalement différente et aurait des sympathies islamistes. On a alors arrêté le comptage, au milieu de tout un tohubohu et certains journalistes ont été invités à effacer leurs enregistrements, mais aucune des personnes présentes sur place n'a accusé un parti particulier, contrairement à ce que prétend sans preuves Samir Ben Amor.