Selon une déclaration faite à Mosaïque FM, aujourd’hui mercredi 19 mai 2013, le président de l’Association centriste pour la sensibilisation et la réforme, Adel Almi, est revenu sur les incidents qui se sont produits hier 18 juin au cours du congrès de lutte contre la violence et le terrorisme.
Il a pointé un doigt accusateur sur le leader du Front Populaire, Hamma Hammami. Selon lui, ce dernier serait responsable du déchaînement de la jeunesse du Front Populaire envers sa personne. Des jeunes à qui, il ne tient pas rigueur car la seule personne qui se cache derrière est le leader du Front Populaire qui, selon lui, a influencé et mal encadré ces jeunes. « J’en veux à Hamma Hammami qui appartient à la tribu d’El H’mamma. Pourtant les gens de cette tribu sont des hommes, mais il n’en fait pas partie», a-t-il dit en substance avant d’ajouter : « le leader du Front populaire a donné des instructions pour me tuer.

Venu répondre présent à l’invitation du coordinateur du congrès, Ghazi Gherairi, Adel Almi dit être victime d’un traquenard. Alors qu’il était à ce congrès pour justement témoigner son opposition à la violence et signer ainsi la charte contre la violence et le terrorisme mais « on m’a provoqué et des étrangers m’ont demandé de dégager », se désole-t-il.