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Tunisie - La CONECT organise des journées d'information dans les régions

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Continuant dans sa démarche dynamique et interactive dont le but premier est le développement régional, la CONECT a organisé récemment des jours d’information à l’échelle régionale et dont ont bénéficié les bureaux CONECT de Mahdia, Sousse, Monastir, Sfax, Kairouan et le Kef.
La journée d’information basée sur Mahdia a réuni des centaines de personnes, d’experts en économie et des opérateurs économiques issues de ces régions. Outre les chefs respectifs des bureaux CONECT de ces villes, l’Union régionale de Mahdia était représentée par le président de l’Union.
La réunion fut assistée par le président de la CONECT, Tarek Chérif et par le président de la CONECT bureau Mahdia, Ali Klébi.
Elle était pour les opérateurs économiques de cette ville, l’occasion de prendre connaissances des nouvelles dispositions de la nouvelle législation du code d’investissement. Des représentants du Comex, comité en charge de la refonte du code, ont d’ailleurs était là pour exposer aux présents les dispositions du nouveau code. Cette partie de la journée d’information fut présidée par Karim Jamoussi chef de cabinet auprès du ministre de Développement et de Coopération.
Les points soulevés sont :
• Le problème des zones industrielles qui demeurent insuffisantes et non accessibles aux opérateurs économiques,
• Si le nouveau code comporte des encouragements pour l’export avec malgré les contraintes existantes avec le port de Radès ;
• Le grand souci de l’infrastructure défectueuse qui demeure un réel problème pour l’encouragement à l’investissement et à l’export ;
• Remettre en valeur le secteur de l’agriculture ;
• Travailler pour instaurer l’équité fiscale ;
• Avoir une vision économique globale pour la Tunisie, vision qui est totalement inexistante ;
• Ne pas éliminer le dégrèvement fiscal pour les réinvestissements physiques (sans la réduction du taux IS). Cette suppression risque de réduire sensiblement la capacité d’autofinancement de nos entreprises et en altérer la compétitivité ;
• Pour les réinvestissements financiers, il serait souhaitable de rajouter au réinvestissement dans les entreprises sises dans les zones de développement régional pour inciter à la création de nouveaux emplois selon des critères à définir (chaque emploi stable créé donne droit à l’exonération d’un montant de 50 mille dinars de l’assiette imposable) ;
• Les activités commerciales devraient être partie intégrante du code des investissements et le CSI devrait disparaitre pour les activités non stratégiques ;
• Les terrains agricoles portant des projets industriels (ayant fait l’objet d’autorisation de bâtir de la part de la commune) ne devraient pas faire l’objet de restrictions au niveau de l’actionnariat de la société dont elles sont propriétaires ;
Les deux questions urgentes qui étaient, également, évoquées sont la décentralisation du pouvoir économique (avec l’urgence de mettre un dead line au niveau régional) et la problématique de la sécurité (critère sine qua none pour l’investissement local et étranger).
La journée d’information basée sur Mahdia a réuni des centaines de personnes, d’experts en économie et des opérateurs économiques issues de ces régions. Outre les chefs respectifs des bureaux CONECT de ces villes, l’Union régionale de Mahdia était représentée par le président de l’Union.
La réunion fut assistée par le président de la CONECT, Tarek Chérif et par le président de la CONECT bureau Mahdia, Ali Klébi.
Elle était pour les opérateurs économiques de cette ville, l’occasion de prendre connaissances des nouvelles dispositions de la nouvelle législation du code d’investissement. Des représentants du Comex, comité en charge de la refonte du code, ont d’ailleurs était là pour exposer aux présents les dispositions du nouveau code. Cette partie de la journée d’information fut présidée par Karim Jamoussi chef de cabinet auprès du ministre de Développement et de Coopération.
Les points soulevés sont :
• Le problème des zones industrielles qui demeurent insuffisantes et non accessibles aux opérateurs économiques,
• Si le nouveau code comporte des encouragements pour l’export avec malgré les contraintes existantes avec le port de Radès ;
• Le grand souci de l’infrastructure défectueuse qui demeure un réel problème pour l’encouragement à l’investissement et à l’export ;
• Remettre en valeur le secteur de l’agriculture ;
• Travailler pour instaurer l’équité fiscale ;
• Avoir une vision économique globale pour la Tunisie, vision qui est totalement inexistante ;
• Ne pas éliminer le dégrèvement fiscal pour les réinvestissements physiques (sans la réduction du taux IS). Cette suppression risque de réduire sensiblement la capacité d’autofinancement de nos entreprises et en altérer la compétitivité ;
• Pour les réinvestissements financiers, il serait souhaitable de rajouter au réinvestissement dans les entreprises sises dans les zones de développement régional pour inciter à la création de nouveaux emplois selon des critères à définir (chaque emploi stable créé donne droit à l’exonération d’un montant de 50 mille dinars de l’assiette imposable) ;
• Les activités commerciales devraient être partie intégrante du code des investissements et le CSI devrait disparaitre pour les activités non stratégiques ;
• Les terrains agricoles portant des projets industriels (ayant fait l’objet d’autorisation de bâtir de la part de la commune) ne devraient pas faire l’objet de restrictions au niveau de l’actionnariat de la société dont elles sont propriétaires ;
Les deux questions urgentes qui étaient, également, évoquées sont la décentralisation du pouvoir économique (avec l’urgence de mettre un dead line au niveau régional) et la problématique de la sécurité (critère sine qua none pour l’investissement local et étranger).
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