Dernières news
Tunisie - Abou Yaâreb Marzouki torpille Ennahdha

{legende_image}
Le constituant et membre d’Ennahdha, Abou Yaâreb Marzouki, a indiqué, dans un post sur sa page Facebook ce mercredi 6 mars 2013, sa position par rapport au nouveau gouvernement. Il considère que la nouvelle composition reprend les mêmes erreurs que celle en place actuellement, ce qui l’a incité, par honnêteté intellectuelle, à sortir de son silence et à quitter la politique pour son ancienne profession.
Pour M. Marzouki, Ennahdha opère une invasion pour combattre une corruption par une autre du même genre. Le pouvoir chez Ennahdha est devenu synonyme de partage de fonctions et de postes au gouvernement et dans les institutions étatiques au profit de ses proches et de ses amis, sans considération au principe de «l'homme qu'il faut à la place qu'il faut».
Si ce principe est appliqué et en prenant compte de la perte de temps, de leurs mauvais jugements et de leurs combats fictifs, la majorité des ministres en place seraient limogés et ne devraient pas être proposés à occuper de nouveaux postes, précise le député, soulignant que s’ils restent cela signifie qu’ils ont peur de partir du pouvoir et non pas qu’ils ont envie de servir le pays.
Abou Yaâreb Marzouki note que tout ceci va faire échouer le projet de réforme car il s’avère que les mouvements islamistes cherchent plus le pouvoir que la réforme.
Ainsi, le député considère que l’élargissement de la coalition n’en est pas un et ressemble plutôt à celui de l’armée mexicaine (renforcer l’armée avec des commandants sans soldats), notant qu’il s’agit d’une répartition partisane un peu plus élargie.
M. Marzouki a appelé à la libéralisation des institutions de l’Etat du monopole du parti et d’adopter le principe de l’égalité entre tous les citoyens dans l’occupation des postes
Pour M. Marzouki, Ennahdha opère une invasion pour combattre une corruption par une autre du même genre. Le pouvoir chez Ennahdha est devenu synonyme de partage de fonctions et de postes au gouvernement et dans les institutions étatiques au profit de ses proches et de ses amis, sans considération au principe de «l'homme qu'il faut à la place qu'il faut».
Si ce principe est appliqué et en prenant compte de la perte de temps, de leurs mauvais jugements et de leurs combats fictifs, la majorité des ministres en place seraient limogés et ne devraient pas être proposés à occuper de nouveaux postes, précise le député, soulignant que s’ils restent cela signifie qu’ils ont peur de partir du pouvoir et non pas qu’ils ont envie de servir le pays.
Abou Yaâreb Marzouki note que tout ceci va faire échouer le projet de réforme car il s’avère que les mouvements islamistes cherchent plus le pouvoir que la réforme.
Ainsi, le député considère que l’élargissement de la coalition n’en est pas un et ressemble plutôt à celui de l’armée mexicaine (renforcer l’armée avec des commandants sans soldats), notant qu’il s’agit d’une répartition partisane un peu plus élargie.
M. Marzouki a appelé à la libéralisation des institutions de l’Etat du monopole du parti et d’adopter le principe de l’égalité entre tous les citoyens dans l’occupation des postes
sur le fil
Commentaires
Pépites

Classement WTA : Ons Jabeur chute à la 36e place
05/05/2025
5

Homo Deus au pays d’Homo Sapiens
05/05/2025
4